Vendredi en Géorgie, il ne devrait fêter que sa deuxième titularisation chez les Bleus sous l’ère Deschamps. On a longtemps cru que sa carrière en équipe de France, voire sa carrière tout court, avait connu une fin brutale et définitive après sa greffe du foie en 2012. Eloigné des terrains pendant près d'un an, Eric Abidal a progressivement repris la compétition avec le FC Barcelone au printemps avant un départ pour Monaco où il réalise un bon début de saison en charnière centrale. Rappelé et titularisé contre la Belgique en amical en août, «Abi», comme ses équipiers le surnomment, impressionne. «De par le joueur et de par ce qui lui est arrivé, ça reste un symbole pour tous», souligne Bakary Sagna.

Vendredi en Géorgie, il ne devrait fêter que sa deuxième titularisation chez les Bleus sous l’ère Deschamps. On a longtemps cru que sa carrière en équipe de France, voire sa carrière tout court, avait connu une fin brutale et définitive après sa greffe du foie en 2012. Eloigné des terrains pendant près d'un an, Eric Abidal a progressivement repris la compétition avec le FC Barcelone au printemps avant un départ pour Monaco où il réalise un bon début de saison en charnière centrale. Rappelé et titularisé contre la Belgique en amical en août, «Abi», comme ses équipiers le surnomment, impressionne. «De par le joueur et de par ce qui lui est arrivé, ça reste un symbole pour tous», souligne Bakary Sagna.

Vendredi en Géorgie, il ne devrait fêter que sa deuxième titularisation chez les Bleus sous l’ère Deschamps. On a longtemps cru que sa carrière en équipe de France, voire sa carrière tout court, avait connu une fin brutale et définitive après sa greffe du foie en 2012. Eloigné des terrains pendant près d'un an, Eric Abidal a progressivement repris la compétition avec le FC Barcelone au printemps avant un départ pour Monaco où il réalise un bon début de saison en charnière centrale. Rappelé et titularisé contre la Belgique en amical en août, «Abi», comme ses équipiers le surnomment, impressionne. «De par le joueur et de par ce qui lui est arrivé, ça reste un symbole pour tous», souligne Bakary Sagna.

Vendredi en Géorgie, il ne devrait fêter que sa deuxième titularisation chez les Bleus sous l’ère Deschamps. On a longtemps cru que sa carrière en équipe de France, voire sa carrière tout court, avait connu une fin brutale et définitive après sa greffe du foie en 2012. Eloigné des terrains pendant près d'un an, Eric Abidal a progressivement repris la compétition avec le FC Barcelone au printemps avant un départ pour Monaco où il réalise un bon début de saison en charnière centrale. Rappelé et titularisé contre la Belgique en amical en août, «Abi», comme ses équipiers le surnomment, impressionne. «De par le joueur et de par ce qui lui est arrivé, ça reste un symbole pour tous», souligne Bakary Sagna.

Pour son sélectionneur national, c’est surtout un joueur d’expérience dans une équipe qui en manque cruellement. Avec Franck Ribéry et Mickaël Landreau, il est le seul joueur de l’actuelle sélection à avoir connu l'épopée du Mondial 2006 en Allemagne. Avec soixante-deux capes, il est le plus expérimenté du groupe derrière le milieu offensif du Bayern Munich. Même s'il a été en première ligne lors de la grève de Knysna en 2010, Abidal a l'expérience pour faire partie des incontournables. «Pour être un cadre, il faut avoir un nombre de sélections assez important, glisse Didier Deschamps. Des joueurs qui en ont une cinquantaine, il n’y en a pas beaucoup.» A bientôt trente-quatre ans, Eric Abidal profite aujourd’hui de son aura sur le groupe pour s’y installer de nouveau. Suffisant pour lui permettre de partir au Brésil si la France se qualifie pour la Coupe du monde.

Pour son sélectionneur national, c’est surtout un joueur d’expérience dans une équipe qui en manque cruellement. Avec Franck Ribéry et Mickaël Landreau, il est le seul joueur de l’actuelle sélection à avoir connu l'épopée du Mondial 2006 en Allemagne. Avec soixante-deux capes, il est le plus expérimenté du groupe derrière le milieu offensif du Bayern Munich. Même s'il a été en première ligne lors de la grève de Knysna en 2010, Abidal a l'expérience pour faire partie des incontournables. «Pour être un cadre, il faut avoir un nombre de sélections assez important, glisse Didier Deschamps. Des joueurs qui en ont une cinquantaine, il n’y en a pas beaucoup.» A bientôt trente-quatre ans, Eric Abidal profite aujourd’hui de son aura sur le groupe pour s’y installer de nouveau. Suffisant pour lui permettre de partir au Brésil si la France se qualifie pour la Coupe du monde.

Pour son sélectionneur national, c’est surtout un joueur d’expérience dans une équipe qui en manque cruellement. Avec Franck Ribéry et Mickaël Landreau, il est le seul joueur de l’actuelle sélection à avoir connu l'épopée du Mondial 2006 en Allemagne. Avec soixante-deux capes, il est le plus expérimenté du groupe derrière le milieu offensif du Bayern Munich. Même s'il a été en première ligne lors de la grève de Knysna en 2010, Abidal a l'expérience pour faire partie des incontournables. «Pour être un cadre, il faut avoir un nombre de sélections assez important, glisse Didier Deschamps. Des joueurs qui en ont une cinquantaine, il n’y en a pas beaucoup.» A bientôt trente-quatre ans, Eric Abidal profite aujourd’hui de son aura sur le groupe pour s’y installer de nouveau. Suffisant pour lui permettre de partir au Brésil si la France se qualifie pour la Coupe du monde.

Pour son sélectionneur national, c’est surtout un joueur d’expérience dans une équipe qui en manque cruellement. Avec Franck Ribéry et Mickaël Landreau, il est le seul joueur de l’actuelle sélection à avoir connu l'épopée du Mondial 2006 en Allemagne. Avec soixante-deux capes, il est le plus expérimenté du groupe derrière le milieu offensif du Bayern Munich. Même s'il a été en première ligne lors de la grève de Knysna en 2010, Abidal a l'expérience pour faire partie des incontournables. «Pour être un cadre, il faut avoir un nombre de sélections assez important, glisse Didier Deschamps. Des joueurs qui en ont une cinquantaine, il n’y en a pas beaucoup.» A bientôt trente-quatre ans, Eric Abidal profite aujourd’hui de son aura sur le groupe pour s’y installer de nouveau. Suffisant pour lui permettre de partir au Brésil si la France se qualifie pour la Coupe du monde.

Pour son sélectionneur national, c’est surtout un joueur d’expérience dans une équipe qui en manque cruellement. Avec Franck Ribéry et Mickaël Landreau, il est le seul joueur de l’actuelle sélection à avoir connu l'épopée du Mondial 2006 en Allemagne. Avec soixante-deux capes, il est le plus expérimenté du groupe derrière le milieu offensif du Bayern Munich. Même s'il a été en première ligne lors de la grève de Knysna en 2010, Abidal a l'expérience pour faire partie des incontournables. «Pour être un cadre, il faut avoir un nombre de sélections assez important, glisse Didier Deschamps. Des joueurs qui en ont une cinquantaine, il n’y en a pas beaucoup.» A bientôt trente-quatre ans, Eric Abidal profite aujourd’hui de son aura sur le groupe pour s’y installer de nouveau. Suffisant pour lui permettre de partir au Brésil si la France se qualifie pour la Coupe du monde.