Mondiaux d’athlétisme: Qu’est-ce qui peut faire perdre Renaud Lavillenie ?
PEKIN•Le Français est l’immense favori de la finale de saut à la perche, mais il n’a jamais gagné de titre mondial…Julien Laloye avec R. B.
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis athletisme/1669675-20150820-mondiaux-athletisme-rassurez-renaud-lavillenie-serein" target="_blank">beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
« En 2013, j’arrivais à Moscou pour des Mondiaux où je n’avais pas le droit de perdre. Là, je m’en suis beaucoup plus détaché. C’est aussi l’expérience et la maturité. Je m’attache à moins de points importants. Je suis serein ». Renaud Lavillenie, immense favori de la finale de saut à la perche prévue ce lundi en début d’après-midi, a choisi le discours du vieux sage. Qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de remporter le premier titre mondial de sa carrière ? 20 Minutes s’est creusé le cerveau, en espérant que tout ça n’arrive jamais, évidemment.
Le vent
Renaud est le roi de la perche, mais surtout de la perche en indoor, là où il a battu le record du monde de Bubka. En plein air, par exemple, il n’a jamais franchi la barre des six mètres en grand championnat. Et la moindre contrariété peut le faire dérailler, comme à Lausanne, en juillet, où le vent l’a sorti de son concours à 5m76. « Les trois fois où je pars, je prends une rafale de face aux 20 mètres. C’était impossible de sauter comme ça. D’habitude, ça arrive une fois, on n’a pas de chance et on se dit que ça va passer derrière. Là, ça a été trois fois le même scénario. Ça fout les boules. Eole n’était pas avec moi ce soir ». Ça donne quoi la météo à Pékin ?
La piste
On n’ira pas jusqu’à dire que Renaud est un homme de mauvaise foi, mais disons que parfois, il a une vilaine tendance se chercher des excuses. Ainsi, quand ce n’est pas le vent, c’est la piste qui l’empêche de massacrer tout le monde, comme à Moscou en 2013, où il ne remporte que l’argent. « Je ne veux pas chercher d’excuse mais je me sens désabusé et désemparé. On avait 42 mètres pour s’élancer, contre 53 je crois par exemple aux JO de Londres. Je ne trouve pas ça normal dans un stade de ce type-là. Ce n’est pas mon habitude de faire des erreurs de marque. » Ça peut arriver, hein.
Les autres
Renaud a souvent l’habitude d’être seul au monde tout là-haut. Ce n’est pas rare qu’il démarre son concours lorsque tout le monde l’a terminé. Sauf que le jour J, si la concurrence monte d’un cran, le Français peut paniquer, comme à Daegu en 2011. Le Français enquille les sauts faciles (5,65 m, puis 5,75 m, et encore 5,85 m), mais les adversaires suivent : ils sont encore cinq à effacer la barre à 5,85 m. Tétanisé et en recherche de sensation, Lavillenie bloque. Il est devancé par un Polonais (Wojciechowski), et un Cubain (Borges). Oui, un Cubain.
Le péché d’orgueil
Pour ne rien vous cacher, Renaud a une petite réputation de « gros boulard » qui lui colle aux pointes, alimentée par des déclas du genre de celle lâchée à L’Equipe récemment. « Il ne faut pas non plus être dupe. Je ne peux pas entrer dans la fausse modestie pour faire plaisir. Quand tu es le meilleur, tu es le meilleur. » « Il est assez renfermé, il donne assez peu en retour, confirme sa compagne Anaïs, elle aussi perchiste. Il se détache facilement des autres, même de ceux qu’il aime. Lui pense à lui. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais ça n’en est pas loin. Peut-être qu’il faut ça pour être le meilleur ». Attention à l’excès d’arrogance Renaud, on ne sait jamais….
La pression
Lavillenie est venu à Pékin pour régler une bonne fois pour toutes cette histoire de titre mondial, seul bémol dans un palmarès garni de sacres européens, de l’or olympique et d’un record mondial. Sauf qu’à force de se faire rabattre les oreilles sur le sujet, le Français risque de nous faire une vilaine fixette sur la ligne manquante et se trouer le jour J. Bref, se développer un joli syndrome Djokovic à Roland-Garros. La preuve que ça peut arriver aux plus grands.
Des taquets capricieux
En mars 2013, le Français s’envolait à 6,07 m aux championnats d’Europe indoor mais son saut était invalidé à cause d’une barre venue se poser sur la surface métallique au dessus. Les larmes de Lavillenie ont contribué à modifier le règlement, qui demande désormais à ce que la barre ne puisse plus échouer de la sorte sur ladite surface. « Tous les sautoirs de tous les pays du monde ne seront pas aux normes, s’inquiétait l’intéressé auprès du monde.fr. C’est choquant car ces choses devraient être standardisées. » On espère pour lui que la nouvelle est arrivée en Chine et que le matériel a été changé depuis les JO 2008.
La blessure conne
Imaginez la scène. Facile à 5,80 m, Renaud Lavillenie se vautre à sa réception, se blesse et doit voir la médaille s’envoler le pied dans la glace. Le perchiste a déjà la papatte abîmée. Quelques minutes après son record du monde, le français s’était emballé, avait tenté un saut à 6,21 m et s’était fait très mal à la réception. Résultat, seize points de suture et un retour de Donetsk en béquilles. Alors doucement champion.
Voila la cicatrice de ma blessure de samedi. 16 points de sutures, mais la cicatrisation est bonne et rapide. pic.twitter.com/LvrzBxkPSr
— Renaud LAVILLENIE ® (@airlavillenie) February 20, 2014
La pollution
Jusqu’ici tout va bien. Il fait beau, le ciel est bleu et les athlètes sont contents. Redoutée par beaucoup, la pollution pékinoise n’est pas venue perturber ces Mondiaux. Espérons que le périphérique ne se bouche pas lundi et vienne gêner notre Renaud, pas inquiet par le taux de CO2 local. « Je ne suis pas venu là pour faire un bilan écologie, glisse-t-il à France Info. Je suis là pour faire un championnat du monde d’athlétisme. » Et nous ramener enfin cette petite médaille d’or.
En mars 2013, le Français s’envolait à 6,07 m aux championnats d’Europe indoor mais son saut était invalidé à cause d’une barre venue se poser sur la surface métallique au dessus. Les larmes de Lavillenie ont contribué à modifier le règlement, qui demande désormais à ce que la barre ne puisse plus échouer de la sorte sur ladite surface. « Tous les sautoirs de tous les pays du monde ne seront pas aux normes, s’inquiétait l’intéressé auprès du monde.fr. C’est choquant car ces choses devraient être standardisées. » On espère pour lui que la nouvelle est arrivée en Chine et que le matériel a été changé depuis les JO 2008.
La blessure conne
Imaginez la scène. Facile à 5,80 m, Renaud Lavillenie se vautre à sa réception, se blesse et doit voir la médaille s’envoler le pied dans la glace. Le perchiste a déjà la papatte abîmée. Quelques minutes après son record du monde, le français s’était emballé, avait tenté un saut à 6,21 m et s’était fait très mal à la réception. Résultat, seize points de suture et un retour de Donetsk en béquilles. Alors doucement champion.
Voila la cicatrice de ma blessure de samedi. 16 points de sutures, mais la cicatrisation est bonne et rapide. pic.twitter.com/LvrzBxkPSr
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La pollution
Jusqu’ici tout va bien. Il fait beau, le ciel est bleu et les athlètes sont contents. Redoutée par beaucoup, la pollution pékinoise n’est pas venue perturber ces Mondiaux. Espérons que le périphérique ne se bouche pas lundi et vienne gêner notre Renaud, pas inquiet par le taux de CO2 local. « Je ne suis pas venu là pour faire un bilan écologie, glisse-t-il à France Info. Je suis là pour faire un championnat du monde d’athlétisme. » Et nous ramener enfin cette petite médaille d’or.
En mars 2013, le Français s’envolait à 6,07 m aux championnats d’Europe indoor mais son saut était invalidé à cause d’une barre venue se poser sur la surface métallique au dessus. Les larmes de Lavillenie ont contribué à modifier le règlement, qui demande désormais à ce que la barre ne puisse plus échouer de la sorte sur ladite surface. « Tous les sautoirs de tous les pays du monde ne seront pas aux normes, s’inquiétait l’intéressé auprès du monde.fr. C’est choquant car ces choses devraient être standardisées. » On espère pour lui que la nouvelle est arrivée en Chine et que le matériel a été changé depuis les JO 2008.
La blessure conne
Imaginez la scène. Facile à 5,80 m, Renaud Lavillenie se vautre à sa réception, se blesse et doit voir la médaille s’envoler le pied dans la glace. Le perchiste a déjà la papatte abîmée. Quelques minutes après son record du monde, le français s’était emballé, avait tenté un saut à 6,21 m et s’était fait très mal à la réception. Résultat, seize points de suture et un retour de Donetsk en béquilles. Alors doucement champion.
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La pollution
Jusqu’ici tout va bien. Il fait beau, le ciel est bleu et les athlètes sont contents. Redoutée par beaucoup, la pollution pékinoise n’est pas venue perturber ces Mondiaux. Espérons que le périphérique ne se bouche pas lundi et vienne gêner notre Renaud, pas inquiet par le taux de CO2 local. « Je ne suis pas venu là pour faire un bilan écologie, glisse-t-il à France Info. Je suis là pour faire un championnat du monde d’athlétisme. » Et nous ramener enfin cette petite médaille d’or.
En mars 2013, le Français s’envolait à 6,07 m aux championnats d’Europe indoor mais son saut était invalidé à cause d’une barre venue se poser sur la surface métallique au dessus. Les larmes de Lavillenie ont contribué à modifier le règlement, qui demande désormais à ce que la barre ne puisse plus échouer de la sorte sur ladite surface. « Tous les sautoirs de tous les pays du monde ne seront pas aux normes, s’inquiétait l’intéressé auprès du monde.fr. C’est choquant car ces choses devraient être standardisées. » On espère pour lui que la nouvelle est arrivée en Chine et que le matériel a été changé depuis les JO 2008.
La blessure conne
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La pollution
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En mars 2013, le Français s’envolait à 6,07 m aux championnats d’Europe indoor mais son saut était invalidé à cause d’une barre venue se poser sur la surface métallique au dessus. Les larmes de Lavillenie ont contribué à modifier le règlement, qui demande désormais à ce que la barre ne puisse plus échouer de la sorte sur ladite surface. « Tous les sautoirs de tous les pays du monde ne seront pas aux normes, s’inquiétait l’intéressé auprès du monde.fr. C’est choquant car ces choses devraient être standardisées. » On espère pour lui que la nouvelle est arrivée en Chine et que le matériel a été changé depuis les JO 2008.
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