VOILEVendée Globe : Le journal de la course

Vendée Globe : Une « vraie punition » pour Le Diraison… Le Cléac’h creuse encore… Le journal de la course

VOILEC'est qu'on se rapproche doucement du cap Horn, dites donc...
Nicolas Camus

N.C.

Les concurrents du Vendée Globe poursuivent leur petit bonhomme de chemin vers le cap Horn. Armel Le Cléac’h mène toujours la flotte, évidemment, et même plus que jamais. Son avance sur Alex Thomson a dépassé les 500 milles dans la nuit. Derrière, les nouvelles ne sont pas franchement bonnes, notamment pour Thomas Ruyant et Stéphane Le Diraison.

Le classement à 9 h

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Ouf, on a eu peur pour Conrad Colman

On avait perdu Conrad Colman ! Le skipper de Foresight Natural Energy n’apparaît plus sur les cartes, et l’inquiétude a gagné un temps le PC course. Tout va bien, finalement. Le Néo-Zélandais a téléphoné à la direction de course à 4 h 30 lundi matin pour donner des nouvelles. Il a un problème de balise qui n’envoie plus sa localisation, mais à part ça, tout baigne.

La « punition » pour Le Diraison

Le skippeur a cassé son mât, samedi. S’il a réussi à remonter une sorte de poteau de 7 mètres de haut avec les débris récupérés, il est obligé de dérouter pour rejoindre l’Australie. Et ce n’est pas la porte à côté. « C’est bien galère, car je suis à 1 000 milles des côtes, c’est une vraie punition », dit-il. Surtout quand on avance à 4,5 nœuds de moyenne.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Thomas Ruyant et la kermesse des Ofni

Autre navigateur en difficulté, Thomas Ruyant. Le Français navigue à petite vitesse vers le port de Bluff, en Nouvelle-Zélande, après avoir été victime d’une collision ayant provoqué une voie d’eau sur son monocoque. S’il n’a pas abandonné, sa situation est très précaire. Ruyant « est en contact permanent avec la direction de course et son équipe pour surveiller de près les conséquences de cette avarie majeure », précise le site de la course. Ahlalaaaaa, ces Ofni…

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies