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Terminé
EN DIRECT. Schumacher a choisi «délibérement» de faire du hors-piste... Le balisage «aux normes»... Revivez la conférence de presse du procureur d'Albertville en direct
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A.M, B.V.
11h45
En conclusion, il semble assez clair que l'enquête tend à prouver que la station n'a pas commis de faute dans les règles de sécurité. Schumacher, lui, skiait hors-piste en connaissance de cause.
11h40
C'est la fin de cette conférence de presse. Pour résumer, voilà ce que l'on a appris aujourd'hui: - On ne peut pas déterminer la vitesse de Michael Schumacher au moment de l'accident - La norme de balisage a été respectée par la station - Il n'y a aucune preuve que Schumacher était parti secourir quelqu'un - Le matériel n'est pas mis en cause
11h38
Dernière question: Le casque était-il bien cassé après l'accident? «Oui, le casque n'était plus en un seul morceau».
11h35
Les prochaines étapes? «Poursuivre l'enquête jusqu'à ce que nous ayons receuilli le plus d'informations possibles. Ensuite, il y aura un délai de reflexion pour savoir si il y a des suites à l'enquête.»
11h33
Avait-t-il conscience qu'il était hors piste? Le balisage est conforme à la recommandation, un balisage latéral de piquet rouge le long, si vous sortez de ce balisage, vous avez conscience que n'êtes plus sur la piste.
11h30
«Il y a des normes qui fixent les règles en matière de signalisation. Sauf élément nouveau ou contraire, elles ont été respectées» insiste le procureur, Patrick Quincy.
11h29
«S'il y a une faute qui pourrait être retenue, ce serait car il y a une faute, notamment sur un défaut de signalisation de la part de l'exploitant. Pour l'instant, nous n'en sommes pas là . Ce n'est qu'à la fin de l'enquête...»
11h28
«Nous sommes dans l'incapacité de donner une fourchette sur la vitesse de Michael Schumacher».
11h25
Déjà des accidents dans cette zone-là? «Pas particulièrement dans cette zone-là, mais dans tous le domaine, nous avons l'habitude de gérer ce genre d'accident-là.»
11h24
Peut-il y avoir une responsabilité de l'exploitant? «Dès qu'il y a une enquête, il peut y avoir une responsabilité.»
11h22
Etait-il parti secourir quelqu'un hors piste? «A ma connaissance, nous n'avons pas cet élément dans l'enquête . On ne voit pas ça dans la vidéo. Elle dure deux minutes et le champ de vision est très limité. On ne voit personne ayant un accident dans le champ de vision de la caméra.»
11h20
«La vitesse n'est pas un élément particulièrement déterminant pour nous. Cela ne changera pas les conclusions que nous tirerons à la fin de l'enquête».
11h18
A-t-il commis une imprudence? «En l'état de l'enquête, je n'envisage pas de répondre à cette question», explique Patrick Quincy.
11h15
«Schumacher évoluait dans un espace non balisé avec les dangers de la montagne sur un terrain vierge»
11h13
Une question sur le matériel de ski de Michael Schumacher. Ils sont actuellement à l'étude et l'analyse, les conclusions de l'expertise seront bientôt connues. A priori, les skis étaient neufs, mais l'étude a montré un endommagement en dessous de la semelle, sur les skis. Pour autant, le matériel n'est pas en cause dans l'accident.
11h10
Des éléments sur la vitesse lors de la chute? «J'ai vu ce film, les enquêteurs le connaissent bien, l'examinent. Il est difficile pour moi d'examiner cette vitesse.» Il passe la parole au commandant Bozon: «M. Schumacher a l'évidence est un très bon skieur. Il évoluait sur un terrain avec peu d'amplitude. On ne peut pas mettre un chiffre sur la vitesse , c'est difficile à évaluer. Le terrain était peu pentu mais ne permettait pas de faire les courbes pour réduire cette vitesse.» Par ailleurs, le balisage était conforme, précise le commandant Bozon.
11h09
Place aux questions...
11h08
«Schumacher perd l'équilibre sur un rocher affleure et chute le corps en avant. Il heurte alors un rocher avec sa tête. Au moment de la chute, il est à neuf mètres des pistes balisées» résume-t-il. «Le film confirme les éléments que nous avions déjà.»
11h07
«J'ai entendu évoquer un film pris par un skieur le jour des faits, je n'ai pas plus d'éléments. C'est le journal Spiegel qui l'a évoqué. A ce jour nous n'avons évoqué aucun message que ce soit, je reste dubitatif sur le sujet», explique Patrick Quincy.
11h05
« L'enquête est bien avancée . Nous avons procédé à plusieurs auditions. Nous avons fait des constatations sur les lieux et des mises en situations. Nous avons aussi étudié le film réalisé avec la caméra sur le casque de Michael Schumacher.»
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