DiaporamaPampelune: San Fermin 2015

Pampelune: San Fermin 2015

Diaporama
Revelers pack the Pamplona town square during the launch of the "Chupinazo" rocket, to celebrate the official opening of the 2015 San Fermin fiestas in Pamplona, Spain, Monday, July 6, 2015. Revelers from around the world turned out here to kick off the festival with a messy party in the Pamplona town square, one day before the first of eight days of the running of the bulls. (AP Photo/Andres Kudacki)/AK104/624671440791/1507061307
Revelers pack the Pamplona town square during the launch of the "Chupinazo" rocket, to celebrate the official opening of the 2015 San Fermin fiestas in Pamplona, Spain, Monday, July 6, 2015. Revelers from around the world turned out here to kick off the festival with a messy party in the Pamplona town square, one day before the first of eight days of the running of the bulls. (AP Photo/Andres Kudacki)/AK104/624671440791/1507061307 - Andres Kudacki/AP/SIPA
Charlotte Gonthier

Charlotte Gonthier

Les fêtes de San Fermin à Pampelune ont commencé le 6 juillet 2015. Les Pamplonais et Pamplonaises vont pendant neuf jours participer au déroulement d’une des plus grandes fiestas du monde en nombre de participants. Tous les ans, la fête commence le 6 juillet à midi précises. Les lâchers de taureau de combat dans les rues de Pampelune sont prisés par beaucoup, mais provoquent de nombreuses blessures.

Réalisation: Charlotte Gonthier

 - Andres Kudacki/AP/SIPA

Les fêtes de San Fermin à Pampelune ont commencé le 6 juillet 2015. Les Pamplonais et Pamplonaises vont pendant neuf jours participer au déroulement d’une des plus grandes fiestas du monde en nombre de participants. Tous les ans, la fête commence le 6 juillet à midi précises. Les lâchers de taureau de combat dans les rues de Pampelune sont prisés par beaucoup, mais provoquent de nombreuses blessures.

Réalisation: Charlotte Gonthier

 - Alvaro Barrientos/AP/SIPA

Quelques jours avant, des manifestations anti-lâchers de taureaux ont débuté.

 - Ruben Albarran/REX/SIPA

Le jour J, le coup d'envoi de la fête est donné avec la phrase traditionnelle en espagnol et en basque: «Pamploneses, Pamplonesas, Viva San Fermín, Irunshemes, Gora San Fermín.» Tous les participants tendent à ce moment-là leurs foulards rouges. Au son du premier pétard, les foulards sont noués autour du cou. 

 - Alvaro Barrientos/AP/SIPA

Et la fête commence. Les vêtements sont encore blancs, mais pas pour longtemps.

 - Daniel Ochoa de Olza/AP/SIPA

Et voilà, les tee-shirts qui tournent au rose avec le vin.

 - Alvaro Barrientos/AP/SIPA

Cette année, il y a un peu d'eau aussi car il fait très chaud.

 - Ruben Albarran/REX/SIPA

Tout le monde est venu pour se lâcher après une année bien remplie.

 - Ruben Albarran/REX/SIPA

Alors, il y a un peu de laisser-aller. Mais comme on dit, ce qui se déroule aux fêtes de San Fermin reste aux fêtes de San Fermin.

 - Alvaro Barrientos/AP/SIPA

Pendant cette fête, il y a aussi plusieurs corridas.

 - Andres Kudacki/AP/SIPA

Le soir, un faux taureau est lâché dans la rue pour rigoler. Cela s'appelle la course du Toro de fuego.

 - Andres Kudacki/AP/SIPA

Première journée finie, la sieste s'impose.

 - Ruben Albarran/REX/SIPA

Tous les matins, dès 7 h, commence l'encierro. Certainement l'«attraction» la plus importante de la San Fermin. Le lâcher de taureaux sur un parcours de 800 mètres fait beaucoup d'heureux.

 - EFE AGENCIA/SIPA

Cette année, le nombre de blessés a déjà dépassé les dix personnes dont trois ont étaient encornées.

 - Andres Kudacki/AP/SIPA

Le vin tache et rapproche.

 - Daniel Ochoa de Olza/AP/SIPA

Le toréro espagnol Juan Jose Padilla enfile son habit de lumière.

 - Daniel Ochoa de Olza/AP/SIPA

Les taureaux arrivent dans l'arène.

 - Daniel Ochoa de Olza/AP/SIPA

Le toréro espagnol Pepe Moral face à un taureau du ranch Jandilla.

 - Daniel Ochoa de Olza/AP/SIPA

Lors de la mise à mort.

 - Andres Kudacki/AP/SIPA

Lors des encierros attirant des milliers de participants venus du monde entier, les taureaux partent d'un enclos et achèvent leur course dans les arènes de la ville avant d'être pour la plupart sacrifiés dans des corridas.

 - Daniel Ochoa de Olza/AP/SIPA

Les taureaux du ranch Jandilla, dont celui-ci fait partie, sont connus pour être plus agressifs que les autres. C'est l'un de ces animaux qui est à l'origine du dernier décès lors de la San Fermin de 2009.

 - EFE AGENCIA/SIPA

Un taureau isolé est plus dangereux qu'un groupe car il est facilement désorienté et charge plus facilement.

 - EFE AGENCIA/SIPA

Les touristes, qui sont le plus souvent américains, se font de belles frayeurs.

 - Alvaro Barrientos/AP/SIPA

Beaucoup de blessés ne le sont que légèrement.

 - Alvaro Barrientos/AP/SIPA

Oh, tiens! Si on se faisait sauter par-dessus par un taureau d'un demi-tonne.

 - Andres Kudacki/AP/SIPA

Mauvaise passe pour le matador Jimenez Fortes.

 - Alvaro Barrientos/AP/SIPA

Et le vin continue de couler.

 - Daniel Ochoa de Olza/AP/SIPA

Un Kiliki ou grosse tête arrive pour la parade des géants.

 - Daniel Ochoa de Olza/AP/SIPA

Une petit fille est affolée à la vue d'un Kiliki.

 - Alvaro Barrientos/AP/SIPA

Bon heureusement, il y a encore un peu d'amour dans tout cela. Olé cœur!