Pampelune: San Fermin 2015
DiaporamaCharlotte Gonthier
Les fêtes de San Fermin à Pampelune ont commencé le 6 juillet 2015. Les Pamplonais et Pamplonaises vont pendant neuf jours participer au déroulement d’une des plus grandes fiestas du monde en nombre de participants. Tous les ans, la fête commence le 6 juillet à midi précises. Les lâchers de taureau de combat dans les rues de Pampelune sont prisés par beaucoup, mais provoquent de nombreuses blessures.
Réalisation: Charlotte Gonthier
Les fêtes de San Fermin à Pampelune ont commencé le 6 juillet 2015. Les Pamplonais et Pamplonaises vont pendant neuf jours participer au déroulement d’une des plus grandes fiestas du monde en nombre de participants. Tous les ans, la fête commence le 6 juillet à midi précises. Les lâchers de taureau de combat dans les rues de Pampelune sont prisés par beaucoup, mais provoquent de nombreuses blessures.
Réalisation: Charlotte Gonthier
Quelques jours avant, des manifestations anti-lâchers de taureaux ont débuté.
Le jour J, le coup d'envoi de la fête est donné avec la phrase traditionnelle en espagnol et en basque: «Pamploneses, Pamplonesas, Viva San Fermín, Irunshemes, Gora San Fermín.» Tous les participants tendent à ce moment-là leurs foulards rouges. Au son du premier pétard, les foulards sont noués autour du cou.
Et la fête commence. Les vêtements sont encore blancs, mais pas pour longtemps.
Et voilà, les tee-shirts qui tournent au rose avec le vin.
Cette année, il y a un peu d'eau aussi car il fait très chaud.
Tout le monde est venu pour se lâcher après une année bien remplie.
Alors, il y a un peu de laisser-aller. Mais comme on dit, ce qui se déroule aux fêtes de San Fermin reste aux fêtes de San Fermin.
Pendant cette fête, il y a aussi plusieurs corridas.
Le soir, un faux taureau est lâché dans la rue pour rigoler. Cela s'appelle la course du Toro de fuego.
Première journée finie, la sieste s'impose.
Tous les matins, dès 7 h, commence l'encierro. Certainement l'«attraction» la plus importante de la San Fermin. Le lâcher de taureaux sur un parcours de 800 mètres fait beaucoup d'heureux.
Cette année, le nombre de blessés a déjà dépassé les dix personnes dont trois ont étaient encornées.
Le vin tache et rapproche.
Le toréro espagnol Juan Jose Padilla enfile son habit de lumière.
Les taureaux arrivent dans l'arène.
Le toréro espagnol Pepe Moral face à un taureau du ranch Jandilla.
Lors de la mise à mort.
Lors des encierros attirant des milliers de participants venus du monde entier, les taureaux partent d'un enclos et achèvent leur course dans les arènes de la ville avant d'être pour la plupart sacrifiés dans des corridas.
Les taureaux du ranch Jandilla, dont celui-ci fait partie, sont connus pour être plus agressifs que les autres. C'est l'un de ces animaux qui est à l'origine du dernier décès lors de la San Fermin de 2009.
Un taureau isolé est plus dangereux qu'un groupe car il est facilement désorienté et charge plus facilement.
Les touristes, qui sont le plus souvent américains, se font de belles frayeurs.
Beaucoup de blessés ne le sont que légèrement.
Oh, tiens! Si on se faisait sauter par-dessus par un taureau d'un demi-tonne.
Mauvaise passe pour le matador Jimenez Fortes.
Et le vin continue de couler.
Un Kiliki ou grosse tête arrive pour la parade des géants.
Une petit fille est affolée à la vue d'un Kiliki.
Bon heureusement, il y a encore un peu d'amour dans tout cela. Olé cœur!