MONDEFusillade de Charleston: Polémique sur le drapeau confédéré

Fusillade de Charleston: Polémique sur le drapeau confédéré

MONDEMême Barack Obama réclame qu'il cesse de flotter sur le capitole de Caroline du Sud...
Maud Pierron

M.P. avec AFP

Après la tuerie de Charleston, la polémique enfle sur le drapeau confédéré, symbole controversé des Etats du sud américain, qui flotte toujours sur le capitole de Caroline du Sud. Barack Obama, tout comme l’ex-candidat républicain à la présidentielle Mitt Romney, ont demandé qu’il soit abaissé. Et plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés samedi, à Columbia, en Caroline du Sud en exigeant le retrait du drapeau devenu pour beaucoup le symbole du racisme.

« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.

#ConfederateFlag

« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.

#Charleston

« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.

June 20, 2015

« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.

http://t.co/4HG9CPuz92

« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.

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« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.

June 20, 2015

« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.


« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.

son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud

« Descendez-le », a scandé la foule jeune et métissée, qui a aussi entonné « We Shall Overcome » (« Nous triompherons »), un chant emblématique des marches pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, et brandi des pancartes exigeant le retrait du drapeau confédéré, décision qui est du ressort du parlement local. « Nous ne pouvons plus tolérer » que le drapeau continue d’être un flambeau pour ceux qui ont de « mauvaises opinions », a déclaré l’avocate et militante Sarah Leverette, 95 ans, recueillant les applaudissements de la foule.

Le débat sur le drapeau confédéré, symbole durable de la fierté et de l’héritage du Sud pour ses partisans, celui du racisme et de la théorie de la suprématie blanche pour ses détracteurs, est relancé depuis la tuerie raciste dans la ville historique et touristique de Charleston mercredi, l’une des pires de l’histoire récente des Etats-Unis. Une autre manifestation était prévue à Charleston, organisée par le mouvement « Black lives matter » (« la vie des Noirs compte »).

Jeb Bush moins affirmé

Une pétition nationale a rassemblé plus de 370.000 signatures sur le site MoveOn.org, dénonçant le drapeau confédéré comme un « symbole de la rébellion et du racisme » et appelant à « de meilleurs Etats-Unis d’Amérique ». Pour le président Barack Obama, cité par son porte-parole Eric Schultz, « le drapeau confédéré appartient au musée ».

Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, a tweeté « Descendez le drapeau confédéré du parlement de Caroline du Sud. Pour beaucoup, c’est un symbole de la haine raciale. Retirez-le maintenant, en hommage aux victimes de #Charleston. »

« Bonne remarque, Mitt », lui a répondu Barack Obama sur Twitter. Quant à Jeb Bush, sa position est moins affirmée : il a rappelé que dans son Etat, la Floride, ils avaient mis le drapeau confédéré au musée mais que pour ce qui est de la Caroline du Sud, il appartient aux autorités locales d’avoir un débat sur le sujet pour faire ce qu’il faut :

Par ailleurs, ce drame qui a coûté la mort à 9 personnes a relancé pour la énième fois le débat sur les armes à feu. Vendredi soir à San Francisco (Californie), Barack Obama a aussi accusé le Congrès à Washington, aux mains des républicains, de ne pas avoir légiféré plus sévèrement sur les armes à feu. « Nous ne savons pas si cela aurait évité Charleston, mais il y aurait quelques Américains de plus avec nous », a-t-il tonné.

« Inculpé de terrorisme intérieur » ?

Également à San Francisco, Hillary Clinton, candidate démocrate à la Maison Blanche, a réclamé une « réforme des armes » après une tuerie qui « oblige une fois de plus la nation à s’efforcer de donner un sens à une violence fondamentalement insensée ».

Le massacre a eu lieu mercredi soir à Charleston lorsque Dylann Roof, 21 ans, a pu s’introduire dans une soirée de lecture biblique de l’église. Après avoir sagement assisté à une heure d’étude, le jeune homme à la coupe au bol s’est levé et a ouvert le feu, touchant à plusieurs reprises ses victimes. Dylan Roof a été inculpé vendredi pour les neuf meurtres et pour « détention d’arme à feu dans le cadre d’un crime violent ». Il est maintenu en détention.

Les enquêteurs cherchent toujours à en savoir plus sur son mobile et sa personnalité, ce qui pourrait permettre à la justice fédérale, qui étudie la piste d’un acte de « terrorisme intérieur », de requalifier les faits. A cet égard, son apparente nostalgie de l’apartheid en Afrique du Sud, les témoignages de ces amis et la découverte de son blog raciste et suprématiste -- s’il est authentifié -- donnent de premiers éléments.