ETUDEJeux d'argent: Les Français jouent plus, plus souvent

Jeux d'argent: Les Français jouent plus, plus souvent

ETUDE56,2% des Français ont joué au moins une fois à un jeu en 2014 et les mineurs sont de plus en plus nombreux...
Des jetons de casino présentés au salon international du jeu à Macao, le 20 mai 2014
Des jetons de casino présentés au salon international du jeu à Macao, le 20 mai 2014 - Philippe Lopez AFP
20 Minutes avec agences

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Loto, courses hippiques, poker en ligne... Plus de la moitié des Français (56,2%) a joué au moins une fois à un jeu en 2014, note l'Observatoire des Jeux (ODJ) dans une étude publiée jeudi. En 2010, ils n'étaient que 46,4%.

350 millions d'euros dépensés en campagnes publicitaires

Selon les chercheurs de l'ODJ, cette augmentation «concerne tous les milieux sociaux», est «générale et assez homogène», même si elle est «un peu plus importante parmi (...) les femmes (+11%) et les personnes les plus jeunes et les plus âgées (+12,4% pour les 15-17 ans, +11,5% pour les 45-75 ans)».

Numérique et paris sportifs au cœur des projets de la présidente de la FDJ

Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».

des paris sportifs et hippiques en ligne

Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».


Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

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Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».


Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».


Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».


Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».


Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».


Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».


Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».

e «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes

Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».

dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention,

Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs»

Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

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Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».


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Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Et ce malgré la crise. Il faut dire que depuis 2010, l'offre de jeu s'est étoffée avec notamment la légalisation du poker, des paris sportifs et hippiques en ligne. Et dans l'année qui a suivi cette légalisation, environ 350 millions d'euros ont donc été dépensés en campagnes publicitaires par les opérateurs.

Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs

Alors qui joue le plus souvent? «Les hommes, âgés de 25 à 54 ans, professionnellement actifs», davantage les ouvriers et employés que les cadres ou les professions intellectuelles supérieures. «Les joueurs ont un niveau d'éducation un peu moins élevé que celui des non joueurs», résume également l'étude.

Chaque jeu a son public: les femmes sont plus représentées parmi les pratiquants de jeux de grattage (54,9%), les étudiants sont plus des parieurs sportifs (26,5%) et des joueurs de casino ou poker (respectivement 17,8% et 13,8%), les ouvriers aiment les courses quand les employés grattent et que les cadres, artisans et chefs d'entreprise sont plus adeptes des jeux de casino. A noter également qu'en 2014, 7,3% des joueurs ont joué en ligne, soit environ 2 millions de Français.

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Beaucoup plus de joueurs réguliers

Plus large, la pratique du jeu est surtout plus intense: la part des joueurs dépensant dans l'année moins de 500 euros décroît de 90,1% à 80,9% et celle de ceux qui dépensent plus de 1.500 euros passe de 1,8% à 7,2%».

Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ. Même si «une large majorité des personnes pratiquant des jeux d'argent et de hasard le font de manière occasionnelle (la moitié joue seulement une à quinze fois par an)», la pratique à risques est en progression.

Le nombre de «joueurs excessifs, en grande difficulté avec leur activité» est resté stable à environ 200.000 personnes, mais ceux ayant «des comportements à risques modérés, de ceux qui ne sont pas encore dans l'addiction, mais pourraient être le cœur de cible des campagnes de prévention, lui, a nettement augmenté par rapport à 2010, avec un million de personnes», analyse Jean-Michel Costes.

Accro aux jeux d'argent, elle poursuit son médecin en justice

Enfin, l'ODJ pointe une tendance inquiétante: malgré l'interdiction de la loi, les mineurs jouent, et ils sont de plus en plus nombreux. «Près d'un jeune sur trois joue à des jeux d'argent. On voit bien que l'interdiction n'est pas effective», commente l'expert, ajoutant que, de surcroît, «lorsqu'ils jouent, les jeunes sont deux fois plus problématiques». Pour le spécialiste, c'est là qu'«il faut renforcer le dispositif : pour que les joueurs problématiques modérés ne basculent pas dans l'addiction».