Nouvelle tentative pour récupérer le lanceur Falcon 9 de SpaceX
ESPACE•Depuis le 10 janvier, il s'agit de la troisième tentative pour contrôler la descente du premier étage de la fusée Falcon 9 sur une plateforme dans l'Atlantique...20 Minutes avec agences
Un jour à marquer d'une pierre blanche pour SpaceX? La société américaine va effectuer, ce lundi soir, sa sixième mission d'acheminement de fret vers la Station spatiale internationale (ISS) à bord de sa capsule non-habitée Dragon (lire en encadré) et tentera, de nouveau, après le lancement de récupérer une partie du lanceur.
Il s'agira de la troisième tentative pour contrôler la descente du premier étage de la fusée Falcon 9 après sa séparation du reste du lanceur, pour le faire atterrir en douceur sur une barge flottant à plusieurs centaines de kilomètres au large de la Floride. Le lancement de Falcon 9 est prévu à 16h33 (heure locale), du centre de lancement de l'Armée de l'Air de Cap Canaveral (Floride).
SpaceX: Tout comprendre à la nouvelle tentative d'atterrissage de la fusée Falcon 9 sur une barge
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.
Une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère
En cas de succès, Dragon arrivera à l'ISS, mercredi, et sera alors capturé par le bras télémanipulateur de la Station, piloté par l'ingénieur de vol Samantha Cristoforetti, une Italienne, astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA), un des six membres de l'équipage de l'avant-poste orbital. Et le vaisseau sera alors amarré sur le module américain Harmony, qui fait face à la Terre.
Après la séparation du reste du lanceur, trois minutes après le décollage, le premier étage rallumera à plusieurs reprises ses moteurs en rétropropulsion pour effectuer un retour et une descente contrôlée de plus de 125 kilomètres dans l'atmosphère et venir se poser sur une plateforme de 91 mètres de long et de 170 mètres de large dans l'Atlantique.
La précédente tentative remonte au 10 février mais SpaceX y avait renoncé en raison d'une forte houle effectuant seulement un «amerrissage en douceur». Un premier essai de récupération du 1er étage de Falcon 9 avait échoué le 10 janvier. L'engin avait bien atteint la barge, mais s'y était brisé en plusieurs morceaux.
«J'augmente mes probabilités (...) peut-être même 80% à ce stade»
Cette fois les responsables de SpaceX sont plus optimistes en raison de meilleures conditions météo prévues et des améliorations apportées au premier étage pour qu'il tolère mieux des vents forts grâce notamment à un meilleur contrôle des ailerons. «Je pense qu'avec les améliorations du 1er étage, celles effectuées sur la barge elle-même ...et de meilleures conditions météo attendues, j'augmente mes probabilités (de succès) à 75% peut-être même 80% à ce stade», a même déclaré dimanche soir, lors d'une conférence de presse, Hans Koenigsmann, le responsable technique de SpaceX.
Pour rappel, la firme californienne travaille depuis deux ans au développement de technologies permettant de récupérer le premier étage du lanceur, afin de nettement réduire les coûts. Un succès pourrait bouleverser le secteur du lancement des satellites commerciaux dans lequel SpaceX est en concurrence notamment avec la société française Arianespace, le leader mondial.