ETUDEGrossesse: La pollution mise en cause dans la malformation génitale du nouveau-né

Grossesse: La pollution mise en cause dans la malformation génitale du nouveau-né

ETUDEPlus les parents sont exposés à des produits nocifs, plus les nouveaux-nés risquent de développer une anomalie génitale, notamment le micro pénis...
20 Minutes avec agences

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Les femmes exposées à différents polluants (solvants, détergents et pesticides, etc.) pendant la grossesse ont un risque nettement accru d’avoir des garçons atteints de malformations génitales, selon une étude de deux professeurs du Centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Montpellier.

femmes exposées à différents polluants

Les femmes exposées à différents polluants (solvants, détergents et pesticides, etc.) pendant la grossesse ont un risque nettement accru d’avoir des garçons atteints de malformations génitales, selon une étude de deux professeurs du Centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Montpellier.

Ce travail a été mené par Nicolas Kalfa (chirurgie pédiatrique) et Charles Sultan (endocrinologie pédiatrique) pendant 5 ans dans les CHRU de Marseille, Bordeaux, Nice et Montpellier et sur 600 enfants, dont 300 atteints d’« hypospadias » (1), une anomalie congénitale de la verge du nouveau-né (l’orifice de l’urètre est anormalement positionné). « L’étude démontre pour la première fois que l’exposition professionnelle, habitationnelle ou domestique, et a fortiori leur association, augmente fortement le risque de malformation génitale », assure le Pr Charles Sultan.

Etude : La pollution menace le QI des enfants

Une liste des professions à risque

Un résumé de l’étude, paru dans la revue spécialisée European Urology, précise que les garçons ont globalement trois fois plus de risque de naître avec un hypospadias s’ils ont été exposés à des perturbateurs endocriniens dans le ventre de leur mère au moment de la différenciation sexuelle. Les professions des deux parents ainsi que leurs lieux d’habitation jouent un rôle dans cette exposition.

L’étude liste les professions à risque (ordre décroissant) : activité de nettoyage/ménage, coiffeuse, esthéticiennes, travail en laboratoire… pour la mère ; agriculteur, travail en laboratoire, activité de ménage/nettoyage, mécanique (moteurs) et peinture… pour le père. « La présence d’une usine d’incinération, d’une décharge, d’une usine chimique ou de culture intensive dans un rayon de 3 kilomètres autour du lieu d’habitation est également plus fréquente dans le cas d’enfants hypospades », ajoute le Pr Charles Sultan.

« Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis »

« Longtemps, il y avait eu des données contradictoires entre causes génétiques et causes environnementales », rappelle encore le Pr Sultan qui s’apprête également à faire une étude sur la précocité pubertaire chez les filles, « un phénomène inquiétant » et « de plus en plus important dans le sud de la France » avec pour cause aussi la pollution de l’environnement, notamment les pesticides.

« 68 % des petites filles qui ont connu une puberté très jeune vivent dans un environnement à risque », remarque-t-il, soulignant par ailleurs que la pollution entraîne chez le garçon « un problème de micropénis et l’apparition de glande mammaire à la puberté ». « Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis », se désole le médecin, appelant « au respect du Grenelle de l’environnement » et à « l’arrêt urgent de l’utilisation des pesticides » alors qu’ils ont augmenté « de 11 % en 2014 ».

(1). L’hypospadias, qui concerne 3 nouveau-nés sur 1.000, peut être traité chirurgicalement. Cette malformation peut en outre avoir un impact sur la fertilité ultérieure à l’âge adulte.

European Urology

Un résumé de l’étude, paru dans la revue spécialisée European Urology, précise que les garçons ont globalement trois fois plus de risque de naître avec un hypospadias s’ils ont été exposés à des perturbateurs endocriniens dans le ventre de leur mère au moment de la différenciation sexuelle. Les professions des deux parents ainsi que leurs lieux d’habitation jouent un rôle dans cette exposition.

L’étude liste les professions à risque (ordre décroissant) : activité de nettoyage/ménage, coiffeuse, esthéticiennes, travail en laboratoire… pour la mère ; agriculteur, travail en laboratoire, activité de ménage/nettoyage, mécanique (moteurs) et peinture… pour le père. « La présence d’une usine d’incinération, d’une décharge, d’une usine chimique ou de culture intensive dans un rayon de 3 kilomètres autour du lieu d’habitation est également plus fréquente dans le cas d’enfants hypospades », ajoute le Pr Charles Sultan.

« Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis »

« Longtemps, il y avait eu des données contradictoires entre causes génétiques et causes environnementales », rappelle encore le Pr Sultan qui s’apprête également à faire une étude sur la précocité pubertaire chez les filles, « un phénomène inquiétant » et « de plus en plus important dans le sud de la France » avec pour cause aussi la pollution de l’environnement, notamment les pesticides.

« 68 % des petites filles qui ont connu une puberté très jeune vivent dans un environnement à risque », remarque-t-il, soulignant par ailleurs que la pollution entraîne chez le garçon « un problème de micropénis et l’apparition de glande mammaire à la puberté ». « Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis », se désole le médecin, appelant « au respect du Grenelle de l’environnement » et à « l’arrêt urgent de l’utilisation des pesticides » alors qu’ils ont augmenté « de 11 % en 2014 ».

(1). L’hypospadias, qui concerne 3 nouveau-nés sur 1.000, peut être traité chirurgicalement. Cette malformation peut en outre avoir un impact sur la fertilité ultérieure à l’âge adulte.


Un résumé de l’étude, paru dans la revue spécialisée European Urology, précise que les garçons ont globalement trois fois plus de risque de naître avec un hypospadias s’ils ont été exposés à des perturbateurs endocriniens dans le ventre de leur mère au moment de la différenciation sexuelle. Les professions des deux parents ainsi que leurs lieux d’habitation jouent un rôle dans cette exposition.

L’étude liste les professions à risque (ordre décroissant) : activité de nettoyage/ménage, coiffeuse, esthéticiennes, travail en laboratoire… pour la mère ; agriculteur, travail en laboratoire, activité de ménage/nettoyage, mécanique (moteurs) et peinture… pour le père. « La présence d’une usine d’incinération, d’une décharge, d’une usine chimique ou de culture intensive dans un rayon de 3 kilomètres autour du lieu d’habitation est également plus fréquente dans le cas d’enfants hypospades », ajoute le Pr Charles Sultan.

« Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis »

« Longtemps, il y avait eu des données contradictoires entre causes génétiques et causes environnementales », rappelle encore le Pr Sultan qui s’apprête également à faire une étude sur la précocité pubertaire chez les filles, « un phénomène inquiétant » et « de plus en plus important dans le sud de la France » avec pour cause aussi la pollution de l’environnement, notamment les pesticides.

« 68 % des petites filles qui ont connu une puberté très jeune vivent dans un environnement à risque », remarque-t-il, soulignant par ailleurs que la pollution entraîne chez le garçon « un problème de micropénis et l’apparition de glande mammaire à la puberté ». « Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis », se désole le médecin, appelant « au respect du Grenelle de l’environnement » et à « l’arrêt urgent de l’utilisation des pesticides » alors qu’ils ont augmenté « de 11 % en 2014 ».

(1). L’hypospadias, qui concerne 3 nouveau-nés sur 1.000, peut être traité chirurgicalement. Cette malformation peut en outre avoir un impact sur la fertilité ultérieure à l’âge adulte.


Un résumé de l’étude, paru dans la revue spécialisée European Urology, précise que les garçons ont globalement trois fois plus de risque de naître avec un hypospadias s’ils ont été exposés à des perturbateurs endocriniens dans le ventre de leur mère au moment de la différenciation sexuelle. Les professions des deux parents ainsi que leurs lieux d’habitation jouent un rôle dans cette exposition.

L’étude liste les professions à risque (ordre décroissant) : activité de nettoyage/ménage, coiffeuse, esthéticiennes, travail en laboratoire… pour la mère ; agriculteur, travail en laboratoire, activité de ménage/nettoyage, mécanique (moteurs) et peinture… pour le père. « La présence d’une usine d’incinération, d’une décharge, d’une usine chimique ou de culture intensive dans un rayon de 3 kilomètres autour du lieu d’habitation est également plus fréquente dans le cas d’enfants hypospades », ajoute le Pr Charles Sultan.

« Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis »

« Longtemps, il y avait eu des données contradictoires entre causes génétiques et causes environnementales », rappelle encore le Pr Sultan qui s’apprête également à faire une étude sur la précocité pubertaire chez les filles, « un phénomène inquiétant » et « de plus en plus important dans le sud de la France » avec pour cause aussi la pollution de l’environnement, notamment les pesticides.

« 68 % des petites filles qui ont connu une puberté très jeune vivent dans un environnement à risque », remarque-t-il, soulignant par ailleurs que la pollution entraîne chez le garçon « un problème de micropénis et l’apparition de glande mammaire à la puberté ». « Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis », se désole le médecin, appelant « au respect du Grenelle de l’environnement » et à « l’arrêt urgent de l’utilisation des pesticides » alors qu’ils ont augmenté « de 11 % en 2014 ».

(1). L’hypospadias, qui concerne 3 nouveau-nés sur 1.000, peut être traité chirurgicalement. Cette malformation peut en outre avoir un impact sur la fertilité ultérieure à l’âge adulte.


Un résumé de l’étude, paru dans la revue spécialisée European Urology, précise que les garçons ont globalement trois fois plus de risque de naître avec un hypospadias s’ils ont été exposés à des perturbateurs endocriniens dans le ventre de leur mère au moment de la différenciation sexuelle. Les professions des deux parents ainsi que leurs lieux d’habitation jouent un rôle dans cette exposition.

L’étude liste les professions à risque (ordre décroissant) : activité de nettoyage/ménage, coiffeuse, esthéticiennes, travail en laboratoire… pour la mère ; agriculteur, travail en laboratoire, activité de ménage/nettoyage, mécanique (moteurs) et peinture… pour le père. « La présence d’une usine d’incinération, d’une décharge, d’une usine chimique ou de culture intensive dans un rayon de 3 kilomètres autour du lieu d’habitation est également plus fréquente dans le cas d’enfants hypospades », ajoute le Pr Charles Sultan.

« Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis »

« Longtemps, il y avait eu des données contradictoires entre causes génétiques et causes environnementales », rappelle encore le Pr Sultan qui s’apprête également à faire une étude sur la précocité pubertaire chez les filles, « un phénomène inquiétant » et « de plus en plus important dans le sud de la France » avec pour cause aussi la pollution de l’environnement, notamment les pesticides.

« 68 % des petites filles qui ont connu une puberté très jeune vivent dans un environnement à risque », remarque-t-il, soulignant par ailleurs que la pollution entraîne chez le garçon « un problème de micropénis et l’apparition de glande mammaire à la puberté ». « Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis », se désole le médecin, appelant « au respect du Grenelle de l’environnement » et à « l’arrêt urgent de l’utilisation des pesticides » alors qu’ils ont augmenté « de 11 % en 2014 ».

(1). L’hypospadias, qui concerne 3 nouveau-nés sur 1.000, peut être traité chirurgicalement. Cette malformation peut en outre avoir un impact sur la fertilité ultérieure à l’âge adulte.


Un résumé de l’étude, paru dans la revue spécialisée European Urology, précise que les garçons ont globalement trois fois plus de risque de naître avec un hypospadias s’ils ont été exposés à des perturbateurs endocriniens dans le ventre de leur mère au moment de la différenciation sexuelle. Les professions des deux parents ainsi que leurs lieux d’habitation jouent un rôle dans cette exposition.

L’étude liste les professions à risque (ordre décroissant) : activité de nettoyage/ménage, coiffeuse, esthéticiennes, travail en laboratoire… pour la mère ; agriculteur, travail en laboratoire, activité de ménage/nettoyage, mécanique (moteurs) et peinture… pour le père. « La présence d’une usine d’incinération, d’une décharge, d’une usine chimique ou de culture intensive dans un rayon de 3 kilomètres autour du lieu d’habitation est également plus fréquente dans le cas d’enfants hypospades », ajoute le Pr Charles Sultan.

« Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis »

« Longtemps, il y avait eu des données contradictoires entre causes génétiques et causes environnementales », rappelle encore le Pr Sultan qui s’apprête également à faire une étude sur la précocité pubertaire chez les filles, « un phénomène inquiétant » et « de plus en plus important dans le sud de la France » avec pour cause aussi la pollution de l’environnement, notamment les pesticides.

« 68 % des petites filles qui ont connu une puberté très jeune vivent dans un environnement à risque », remarque-t-il, soulignant par ailleurs que la pollution entraîne chez le garçon « un problème de micropénis et l’apparition de glande mammaire à la puberté ». « Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis », se désole le médecin, appelant « au respect du Grenelle de l’environnement » et à « l’arrêt urgent de l’utilisation des pesticides » alors qu’ils ont augmenté « de 11 % en 2014 ».

(1). L’hypospadias, qui concerne 3 nouveau-nés sur 1.000, peut être traité chirurgicalement. Cette malformation peut en outre avoir un impact sur la fertilité ultérieure à l’âge adulte.


Un résumé de l’étude, paru dans la revue spécialisée European Urology, précise que les garçons ont globalement trois fois plus de risque de naître avec un hypospadias s’ils ont été exposés à des perturbateurs endocriniens dans le ventre de leur mère au moment de la différenciation sexuelle. Les professions des deux parents ainsi que leurs lieux d’habitation jouent un rôle dans cette exposition.

L’étude liste les professions à risque (ordre décroissant) : activité de nettoyage/ménage, coiffeuse, esthéticiennes, travail en laboratoire… pour la mère ; agriculteur, travail en laboratoire, activité de ménage/nettoyage, mécanique (moteurs) et peinture… pour le père. « La présence d’une usine d’incinération, d’une décharge, d’une usine chimique ou de culture intensive dans un rayon de 3 kilomètres autour du lieu d’habitation est également plus fréquente dans le cas d’enfants hypospades », ajoute le Pr Charles Sultan.

« Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis »

« Longtemps, il y avait eu des données contradictoires entre causes génétiques et causes environnementales », rappelle encore le Pr Sultan qui s’apprête également à faire une étude sur la précocité pubertaire chez les filles, « un phénomène inquiétant » et « de plus en plus important dans le sud de la France » avec pour cause aussi la pollution de l’environnement, notamment les pesticides.

« 68 % des petites filles qui ont connu une puberté très jeune vivent dans un environnement à risque », remarque-t-il, soulignant par ailleurs que la pollution entraîne chez le garçon « un problème de micropénis et l’apparition de glande mammaire à la puberté ». « Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis », se désole le médecin, appelant « au respect du Grenelle de l’environnement » et à « l’arrêt urgent de l’utilisation des pesticides » alors qu’ils ont augmenté « de 11 % en 2014 ».

(1). L’hypospadias, qui concerne 3 nouveau-nés sur 1.000, peut être traité chirurgicalement. Cette malformation peut en outre avoir un impact sur la fertilité ultérieure à l’âge adulte.


Un résumé de l’étude, paru dans la revue spécialisée European Urology, précise que les garçons ont globalement trois fois plus de risque de naître avec un hypospadias s’ils ont été exposés à des perturbateurs endocriniens dans le ventre de leur mère au moment de la différenciation sexuelle. Les professions des deux parents ainsi que leurs lieux d’habitation jouent un rôle dans cette exposition.

L’étude liste les professions à risque (ordre décroissant) : activité de nettoyage/ménage, coiffeuse, esthéticiennes, travail en laboratoire… pour la mère ; agriculteur, travail en laboratoire, activité de ménage/nettoyage, mécanique (moteurs) et peinture… pour le père. « La présence d’une usine d’incinération, d’une décharge, d’une usine chimique ou de culture intensive dans un rayon de 3 kilomètres autour du lieu d’habitation est également plus fréquente dans le cas d’enfants hypospades », ajoute le Pr Charles Sultan.

« Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis »

« Longtemps, il y avait eu des données contradictoires entre causes génétiques et causes environnementales », rappelle encore le Pr Sultan qui s’apprête également à faire une étude sur la précocité pubertaire chez les filles, « un phénomène inquiétant » et « de plus en plus important dans le sud de la France » avec pour cause aussi la pollution de l’environnement, notamment les pesticides.

« 68 % des petites filles qui ont connu une puberté très jeune vivent dans un environnement à risque », remarque-t-il, soulignant par ailleurs que la pollution entraîne chez le garçon « un problème de micropénis et l’apparition de glande mammaire à la puberté ». « Jamais dans mon service il n’y a eu autant de garçons avec des micros pénis », se désole le médecin, appelant « au respect du Grenelle de l’environnement » et à « l’arrêt urgent de l’utilisation des pesticides » alors qu’ils ont augmenté « de 11 % en 2014 ».

(1). L’hypospadias, qui concerne 3 nouveau-nés sur 1.000, peut être traité chirurgicalement. Cette malformation peut en outre avoir un impact sur la fertilité ultérieure à l’âge adulte.