FOOTBALLMême s'il n'est pas «un chasseur de buts», Ntep est quand même soulagé

Stade Rennais-ASSE: Même s'il n'est pas «un chasseur de buts», Paul-Georges Ntep est quand même soulagé

FOOTBALLL'attaquant rouge et noir a inscrit son premier but en Ligue 1 depuis septembre 2015...
L'émotion de Paul-Georges Ntep après son but face à Saint-Étienne.
L'émotion de Paul-Georges Ntep après son but face à Saint-Étienne. - D. Meyer / AFP
Jeremy Goujon

Jeremy Goujon

Il n’avait plus marqué en Ligue 1 depuis le 18 septembre 2015, une éternité pour un élément de ce calibre. Ce dimanche, Paul-Georges Ntep a (enfin) retrouvé le chemin des filets, en débloquant la situation en faveur du Stade Rennais contre Saint-Étienne (2-0).

Récompensé de ses efforts

Le détonateur de l’attaque rouge et noire s’est ainsi racheté, cinq jours après une prestation catastrophique à Lorient. « Même si je ne suis pas un chasseur de buts, ça enlève toute la frustration accumulée ces derniers mois », reconnaissait Ntep, visiblement ému au moment d’avoir trompé Stéphane Ruffier.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

L’ailier gauche, désormais impliqué dans cinq des huit dernières réalisations du SRFC (un but, quatre passes décisives), a donc fait part de son « soulagement », lui qui avait vendangé une balle d’égalisation dans le Morbihan. Et beaucoup essayé, sans succès, face aux Verts, avant son action de grande classe - crochet intérieur sur l’ancien Rennais Kévin Théophile-Catherine, puis frappe au premier poteau. « Qui ne tente rien n’a rien, répondait Paul-Georges Ntep. C’est compliqué de réaliser des actions fulgurantes, car les mecs en face m’attendent beaucoup. »

Sur la voie de la (totale) guérison

Irrégulier d’un match à l’autre cette semaine, l’international français se dit, en tout cas, proche d’un état de forme maximal. « Le chirurgien m’avait dit "entre huit et dix mois" pour que je retrouve toutes mes sensations », témoignait ainsi l’intéressé.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Après une opération au tibia en mars 2016, on est effectivement entrés dans ladite période. Une bonne nouvelle pour Rennes, qui, d’ailleurs, ne devrait pas tarder à prolonger le contrat de son meneur de clapping