Présidentielle: revivez le meeting de François Hollande au Bourget en direct
Le premier grand raout du PS à suivrem inute par minute...
M.Go. et M.P. au Bourget
Meeting du Bourget
18h29
Ce direct est maintenant terminé. Merci de nous avoir suivis et à bientôt.
16h43
La vise aux ténors, notamment à Aubry et Jospin. Et rapidement à Valérie Treirweiler, sa compagne.
16h40
Hollande, rejoint sur scène par des jeunes militants, arpente la scène. Il va saluer des militants sur l'extrême gauche de la scène... pour le plus grand bonheur du service d'ordre du PS.
16h38
"Nous ferons gagner la gauche. Le changement j'y suis prêt. Vive la République et vive la France". La Marseillaise retentit. Les 10.000 militants entonnent l'hymne.
I16h36: l parle de sa France, "une france du travail, du mérite, de l'effort. Une France de la justice, où l'argent sera remis à sa place, celle d'un serviteur et non du maître, une France où on est fier, fier d'être Français. La France n'est pas un problème, la France est la solution". Fin de discours enlevée. Les militants sont en feu.
16h35
Il parle aussi de son "rêve français". "Je ne vous appelle pas à mettre votre tête dans les étoiles, je vous appelle à retrouver le récit républicain, celui de la Révolution française , ce récit républicain qui s'est poursuivi avec la IIIe République, la résistance, Mai-68, le 10 mai 1981", enumère Hollande. Il cite alors Shakespeare: "ils ont échoué car ils n'ont pas commencé par le rêve" et promet une "démocratie plus forte que l'argent, que la finance".
16h31
S'il est élu, prévient-il, "je ne veux être jugé que sur un seul objectif: est-ce qu'au terme du mandat qui me serait confié, les jeunes vivront mieux en 2017 qu'en 2012"
16h30
Il promet la création de 150.000 emplois d'avenir. Soit deux fois moins que ce que prévoit le projet du PS.
16h28
C'est bientôt la fin et Hollande en vient enfin à son grand thème, "la jeunesse". "C'est pour la jeunesse de notre pays que je veux présider la France", rappelant que "la promesse républicaine", c'est que les générations futures vivent mieux que les précédentes. Il rappelle la création des 60.000 postes dans l'Education nationale. "On me dit c'est trop, moi je dis, ce n'est peut-être pas assez". Il veut qu'à la fin du quinquennat, le nombre de jeunes qui sortent sans qualification de l'Education nationale soit divisé par deux. "Personne ne sera laissé de côté, abandonné, oublié", promet-il.
16 h24: "Je ne promettrai que ce que je suis capable de tenir", avertit de nouveau Hollande, qui cite Pierre Mendès-France. "Si les Français m'en donnent mandat, mon premier déplacement sera pour rencontrer la chancelière allemande", annoce-t-il. Dans ses premières mesures: "contre la finance" et pour "la réforme bancaire". "Le quinquennat ne sera pas un zig-zag, une volte-face. Nous savons où nous voulons aller. Nous savons que nous avons des moyens limités mais nous avons la volonté", prévient-il encore..
16h18
Que ce soit les "fraudeurs" en col blanc et les "petits caïds", "la République vous rattrapera", avertit Hollande
16h18
"L'égalité c'est aussi la sécurité pour tous". Hollande n'oublie pas ce pan là dans son discours.
16h16
Il veut que personne en France ne soit à plus d'une demi-heure d'un hôpital. Les dépassements d'honoraires seront encadrés aussi. "L'égalité, c'est le même salaire quand on a les mêmes compétences", lance-t-il.
16h12
"Je sais que le combat sera rude, qu'on cherchera à faire peur, à effrayer les classes moyennes" alors qu'elles auront tout à gagner de ses réformes, dit-il. Il rééxplique sa réforme de la retraite à 60 ans. "L'égalité, c'est le logement pour tous en France". L 'Etat mettra immédiatement à la disposition des collectivités locales tous ses terrains pour construire de nouveaux logements. Il faut plus "de logements sociaux", donc le Livret A (qui sert à financer les logements sociaux) "verra son plafond doubler". "J'encadrerais les loyers là où les prix sont manifestement excessifs" "je multiplierai par cinq les sanctions qui pèsent sur les villes qui bafouent la loi" en vigueur.
16h07
"Je serai le président de la fin des privilèges". Et après on ne sait pas, on n'entend rien, la parole de Hollande est couverte par les militants.
"L'égalité ce n'est pas l'égalitarisme, l'égalité ce n'est pas l'assistanat, l'égalité c'est la soilidarité", reprend-il. La question qu'il se posera avant chaque décision: "est-ce que ce que l'on me propose est juste".
"Qui peut trouver normal qu'on gagne plus d'argent en dormant qu'en travaillant?", demande-t-il? Il fait la liste de ses réformes fiscales: nouvelle tranche de l'impôt sur le revenu, fin des niches fiscales, etc.
16h05
"Chaque nation a une âme. L'âme de la France, c'est l'égalité, c'est pour l'égalité que la France a fait sa révolution en 1789, que la France s'est soulevée en 1848", lance Hollande. Il cite Camus en exemple, qui a eu un prix Nobel de la Paix.
16h03
"Je rétablirai l'équilibre budgétaire en fin de mandat, pour cela, il supprimera les "cadeaux fiscaux" et les niches fiscales. Il sera "mis fin à la règle aveugle du non remplacement d'un fonctionnaire sur deux à la retraite".
16h00
Hollande évoque la transition énergétique, thèmes de frictions avec Aubry pendant les primaires ret avec les écologistes. "Nous avons besoin des énergies renouvelables", lance Hollande qui rappelle son objectif: ramener la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75% à 50% d'ici 2025.
15h59
Hollande oriente maintenant son discours sur un de ses thèmes forts de campagne: la réindustrilisation. "J'exigrai des entreprises qui délocalisent qu'elles remboursent immédiatement les aides publiques reçues."
15h57
"En janvier 2013, si les Français m'en donnent mandat, je proposerai aux allemands un nouveau traité franco-allemand." Fin d'un long passage sur l'Europe, "notre bien commun à tous".
16h38
"Nous ferons gagner la gauche. Le changement j'y suis prêt. Vive la République et vive la France". La Marseillaise retentit. Les 10.000 militants entonnent l'hymne.
16h35
Il parle aussi de son "rêve français". "Je ne vous appelle pas à mettre votre tête dans les étoiles, je vous appelle à retrouver le récit républicain, celui de la Révolution française , ce récit républicain qui s'est poursuivi avec la IIIe République, la résistance, Mai-68, le 10 mai 1981", enumère Hollande. Il cite alors Shakespeare: "ils ont échoué car ils n'ont pas commencé par le rêve" et promet une "démocratie plus forte que l'argent, que la finance".
16h31
S'il est élu, prévient-il, "je ne veux être jugé que sur un seul objectif: est-ce qu'au terme du mandat qui me serait confié, les jeunes vivront mieux en 2017 qu'en 2012"
16h28
C'est bientôt la fin et Hollande en vient enfin à son grand thème, "la jeunesse". "C'est pour la jeunesse de notre pays que je veux présider la France", rappelant que "la promesse républicaine", c'est que les générations futures vivent mieux que les précédentes. Il rappelle la création des 60.000 postes dans l'Education nationale. "On me dit c'est trop, moi je dis, ce n'est peut-être pas assez". Il veut qu'à la fin du quinquennat, le nombre de jeunes qui sortent sans qualification de l'Education nationale soit divisé par deux. "Personne ne sera laissé de côté, abandonné, oublié", promet-il.
16h18
Que ce soit les "fraudeurs" en col blanc et les "petits caïds", "la République vous rattrapera", avertit Hollande
16h18
"L'égalité c'est aussi la sécurité pour tous". Hollande n'oublie pas ce pan là dans son discours.
16h16
Il veut que personne en France ne soit à plus d'une demi-heure d'un hôpital. Les dépassements d'honoraires seront encadrés aussi. "L'égalité, c'est le même salaire quand on a les mêmes compétences", lance-t-il.
16h12
"Je sais que le combat sera rude, qu'on cherchera à faire peur, à effrayer les classes moyennes" alors qu'elles auront tout à gagner de ses réformes, dit-il. Il rééxplique sa réforme de la retraite à 60 ans. "L'égalité, c'est le logement pour tous en France". L 'Etat mettra immédiatement à la disposition des collectivités locales tous ses terrains pour construire de nouveaux logements. Il faut plus "de logements sociaux", donc le Livret A (qui sert à financer les logements sociaux) "verra son plafond doubler". "J'encadrerais les loyers là où les prix sont manifestement excessifs" "je multiplierai par cinq les sanctions qui pèsent sur les villes qui bafouent la loi" en vigueur.
16h07
"Je serai le président de la fin des privilèges". Et après on ne sait pas, on n'entend rien, la parole de Hollande est couverte par les militants.
"L'égalité ce n'est pas l'égalitarisme, l'égalité ce n'est pas l'assistanat, l'égalité c'est la soilidarité", reprend-il. La question qu'il se posera avant chaque décision: "est-ce que ce que l'on me propose est juste".
"Qui peut trouver normal qu'on gagne plus d'argent en dormant qu'en travaillant?", demande-t-il? Il fait la liste de ses réformes fiscales: nouvelle tranche de l'impôt sur le revenu, fin des niches fiscales, etc.
16h05
"Chaque nation a une âme. L'âme de la France, c'est l'égalité, c'est pour l'égalité que la France a fait sa révolution en 1789, que la France s'est soulevée en 1848", lance Hollande. Il cite Camus en exemple, qui a eu un prix Nobel de la Paix.
16h00
Hollande évoque la transition énergétique, thèmes de frictions avec Aubry pendant les primaires ret avec les écologistes. "Nous avons besoin des énergies renouvelables", lance Hollande qui rappelle son objectif: ramener la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75% à 50% d'ici 2025.
15h57
"En janvier 2013, si les Français m'en donnent mandat, je proposerai aux allemands un nouveau traité franco-allemand." Fin d'un long passage sur l'Europe, "notre bien commun à tous".
15h54
"Je renégocierais le traité européen" du 9 novembre, confirme Hollande. En demandant l'intervention de la BCE, la création des euro-obligations notamment. "Je proposerais une nouvelle politique commerciale", avec "une contribution écologique aux frontières de l'Europe", que la monnaie chinoise ne soit plus inconvertible. "L'Europe a bien des défauts mais défendons là, elle en a besoin". Mais pour la pousser vers une Europe "de croissance, de solidarité".
15h48
"Mon véritable histoire n'a pas de nom, pas de visage, il ne présentera jamais sa candidature, cet adversaire, c'est le monde de la finance".
15h41
François Hollande rappelle le 21 avril 2002. "Ce soir terrible où l'extrême droite a mis hors jeu la gauche. Je ne lasserai pas faire. Je ne laisserai pas les ouvriers aller vers une famille politique qui n'a jamais rien fait" pour elle.
15h33
"Rien ne m'a été donné, ce que j'ai arraché, je l'ai conquis et fait fructifié", insiste-t-il. Il reprend tout son parcours, depuis sa réélection au Conseil général, jusqu'au primaires, saluant Martine Aubry. "Vous me connaissez depuis trente ans, c'est un bail. Je ne m'exhibe pas, je reste moi même, c'est ma force. Ce que vous voyez ici, c'est ce que je suis".
15h24
"Présider la République c'est ne pas inviter des dictateurs à Paris", ajoute-t-il. Pour l'instant, Hollande se livre à un réquisitoire anti-Sarkozy en creux.
15h20
"Présider la République, c'est accepter de partager le pouvoir de nomination aux plus hautes fonctions, c'est aussi ne pas nommer les présidents des chaînes de télévision". Bref, être président, si l'on suit Hollande, c'est l'inverse de ce que fait Nicolas Sarkozy. Sa voix est couverte par "François président!". Le "non-cumul des mandats", il le fera, annonce-t-il Enorme succès auprès des militants socialistes très attachés à cette mesure.
15h16
Sa tâche: "incarner le changement, faire gagner la gauche" pour "changer le destin de notre pays". "Je suis prêt à assumer cette responsabilité"
15h08
Hollande entre dans la salle. Tout le monde est debout. Il serre des mains, fait la bise, salue les tribunes.... Entrée de rock-star oblige sur la nouvelle musique de campagne, très rythmée, "le changement"