«L’extrême droite progresse partout en Europe, j’ai ma part de responsabilité mais je me bats. »

La France s’est engagée à accueillir 24.000 réfugiés dans les deux ans qui viennent, rappelle-t-il. « En Allemagne, ce sont déjà 500.000 migrants qui sont arrivés ». Le discours du Front national est un discours de « falsification », dit-il, avant de mettre en garde contre un parti qui joue sur la « peur ».

«Une région qui serait dirigée par le FN, ça aurait des conséquences économiques et sur l’image internationale » de la France, assure le Président.

Son action a trois axes, précise le Président : lutter contre trafic d’armes, doter la police de nouveaux moyens, s’assurer de la solidarité de la nation.

«Nos frappes visent des lieux d’entraînement des terroristes », dit simplement François Hollande. Y a-t-il des Français ? Il dit ne pas le savoir. « Il y a 600 Français sur les zones de combat et nous avons la certitude qu’ils peuvent revenir à un moment ou à un autre. Mais on ne peut pas dire qu’on frappe telle ou telle catégorie de terroristes. »

« #RTL #Hollande se gargarise car les retraites sont pérennisées jusque 2030...mais ne dit pas que c'est grâce à la réforme de @NicolasSarkozy — Sébastien Huyghe ‏ن (@SebastienHuyghe) October 19, 2015 »

« Hollande fait du Hollande:croissance est là,France va mieux,exécutif uni,je vois loin..Il vit avec nous?C'est une parodie de"Seul sur Mars"? — Roger KAROUTCHI (@RKaroutchi) October 19, 2015 »

Il appelle de ses vœux de grosses opérations immobilières financées par des investisseurs. Mais il veut aussi faciliter l’accession à la propriété. « Je ferai des propositions » en ce sens, assure-t-il.

Jean-Yves Le Drian « connaît parfaitement la règle » : le non-cumul, dit le chef de l'Etat. Le ministre de la Défense quittera donc le gouvernement s’il rejoint la région Bretagne.

François Hollande annonce que la croissance sera de 1,1 % cette année. Un dixième de point de moins que ce qu’avait annoncé l’Insee en juin.

«Je demande à la direction de tout faire pour éviter les suppressions d'emplois. Mais si elle n'obtient pas les améliorations nécessaires, il y aura des décisions à prendre », dit François Hollande. Un exemple ? « Assurer que le dialogue social sera pleinement respecté ».

Le Président décide, le Premier ministre applique, rappelle le chef de l’Etat. Constitutionnellement incontestable. « Vous ne trouverez pas la moindre différence entre le Premier ministre et moi », insiste François Hollande, au sujet des divergences de ton et de termes entre Manuel Valls et lui sur le sujet Air France. En d'autres termes, «ce que dit le Premier ministre m'engage».

Sa politique consiste à « mettre plus de croissance », dit-il, alors qu'on l'interroge sur la reprise en Europe et la mollesse de la croissance en France. Il fixe trois caps : le soutien au bâtiment et aux travaux publics, la souplesse du marché du travail (« d’où la réforme du Code du travail ») et la transition énergétique.

Le Président défend les « corps intermédiaires », autrement dit les organisations syndicales. « Qu’on ne compte pas sur moi, même s’il y a eu des violences, pour discréditer le combat syndical, qui a sa noblesse », dit-il.

Hollande promet « une formation avec débouché » pour les chômeurs. « Chaque demandeur d’emploi se verra proposer une formation. »

Même s’il doit être amélioré, admet-il.

« RTL la mauvaise foi de Francois Hollande sur l'âge de la retraite est sans limite! — François Fillon (@FrancoisFillon) October 19, 2015 »

« Le dialogue entre un Gvt déconnecté et des syndicats conservateurs non-représentatifs est vide de sens. #dialoguesocial #conférencesociale — Eric Ciotti ن (@ECiotti) October 19, 2015 »

Après l’accord de vendredi. Il affirme qu’il n’y a « plus d’inquiétude à avoir par rapport aux retraites après cette réforme ». « Chacun a fait un pas vers l’autre c’est pour ça qu’il y a eu un accord », explique le président de à propos de l’accord sur les régimes de retraites complémentaires signé vendredi entre le patronat et trois syndicats de salariés.

Les représentants de l’Etat ont approuvé le plan social il y a quelques semaines, rappelle François Langlet. Puis François Hollande a évoqué la brutalité des décisions de certains dirigeants, à l’antenne de RTL ce matin. Où se situe précisément le chef de l’Etat entre ces deux pôles ? Ce dernier défend le « dialogue », la « négociation ». Mais il n’a jamais parlé de brutalité au sujet d’Air France, ajoute-t-il. Pour lui, il n’y a « pas eu assez de dialogue » au sein de la compagnie. « Nous pouvons éviter les licenciements », estime-t-il.

Son action a trois axes, précise le Président : lutter contre trafic d’armes, doter la police de nouveaux moyens, s’assurer de la solidarité de la nation.

«Nos frappes visent des lieux d’entraînement des terroristes », dit simplement François Hollande. Y a-t-il des Français ? Il dit ne pas le savoir. « Il y a 600 Français sur les zones de combat et nous avons la certitude qu’ils peuvent revenir à un moment ou à un autre. Mais on ne peut pas dire qu’on frappe telle ou telle catégorie de terroristes. »

François Hollande annonce que la croissance sera de 1,1 % cette année. Un dixième de point de moins que ce qu’avait annoncé l’Insee en juin.

Le Président décide, le Premier ministre applique, rappelle le chef de l’Etat. Constitutionnellement incontestable. « Vous ne trouverez pas la moindre différence entre le Premier ministre et moi », insiste François Hollande, au sujet des divergences de ton et de termes entre Manuel Valls et lui sur le sujet Air France. En d'autres termes, «ce que dit le Premier ministre m'engage».

Sa politique consiste à « mettre plus de croissance », dit-il, alors qu'on l'interroge sur la reprise en Europe et la mollesse de la croissance en France. Il fixe trois caps : le soutien au bâtiment et aux travaux publics, la souplesse du marché du travail (« d’où la réforme du Code du travail ») et la transition énergétique.

Hollande promet « une formation avec débouché » pour les chômeurs. « Chaque demandeur d’emploi se verra proposer une formation. »

Après l’accord de vendredi. Il affirme qu’il n’y a « plus d’inquiétude à avoir par rapport aux retraites après cette réforme ». « Chacun a fait un pas vers l’autre c’est pour ça qu’il y a eu un accord », explique le président de à propos de l’accord sur les régimes de retraites complémentaires signé vendredi entre le patronat et trois syndicats de salariés.

Les représentants de l’Etat ont approuvé le plan social il y a quelques semaines, rappelle François Langlet. Puis François Hollande a évoqué la brutalité des décisions de certains dirigeants, à l’antenne de RTL ce matin. Où se situe précisément le chef de l’Etat entre ces deux pôles ? Ce dernier défend le « dialogue », la « négociation ». Mais il n’a jamais parlé de brutalité au sujet d’Air France, ajoute-t-il. Pour lui, il n’y a « pas eu assez de dialogue » au sein de la compagnie. « Nous pouvons éviter les licenciements », estime-t-il.

François Hollande avance évidemment l’indépendance de la justice. Puis ajoute : « Il y a d’autres méthodes pour interpeller, mais ce n’est pas à moi de le dire. »

«La politesse, c’est important », commence-t-il. « Mais ce que j’attends des syndicats, c’est l’engagement pour le dialogue. » Hollande apaise aussi la population à vivre dans une « société apaisée ». Sur l'incident en lui-même, le Président explique : « Je vais m'en aller ? Je vais proposer une phrase vulgaire et grossière - il y en a eu ? Sûrement pas. »