Les Républicains: Un meeting de soutien à Pécresse aux allures de campagne pour la primaire
POLITIQUE•Nicolas Sarkozy a distribué quelques tacles à Bruno Le Maire et Alain Juppé...T.L.G. avec AFP
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.
Les ténors de la droite et du centre se sont rassemblés dimanche à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) autour de Valérie Pécresse, candidate à la présidence de l'Ile-de-France aux élections de décembre, pour un meeting de soutien qui a pris des allures de campagne pour la primaire.
Il y avait longtemps qu'on ne les avait vus ensemble sur la même estrade: Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, Alain Juppé et François Fillon, anciens Premiers ministres, Bruno le Maire, ancien ministre, entourant leur candidate pour le scrutin de décembre, aux côtés du président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, et de Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem.
Alain Juppé, cette fois pas sifflé
«Face à une gauche divisée et déboussolée, nous voici tous rassemblés pour l'alternance», a souligné Valérie Pécresse, promettant que si elle devenait présidente de la région Ile-de-France, il n'y aurait «ni territoires de non-droit ni de bénéficiaires de passe-droits».
La photo est destinée à illustrer le «rassemblement» de la droite et «des centres», comme l'a dit Alain Juppé, chaud partisan de l'alliance avec le MoDem, que Nicolas Sarkozy abhorre depuis que son président François Bayrou a choisi François Hollande en 2012.
Contrairement à ce qu'il s'est plusieurs fois produit dans le passé, Alain Juppé n'a cette fois pas été sifflé par le public, manifestement à dominante sarkozyste -à en juger par les applaudissements à l'entrée en scène de l'ex-chef de l'État. Pas de huées non plus pour François Fillon, qui avait également été sifflé lors du congrès des Républicains, fin mai.
Tous les ténors rassemblés
La quasi-totalité des ténors de droite et du centre étaient entrés ensemble au début du meeting, sauf Nicolas Sarkozy arrivé une heure plus tard, Valérie Pécresse à ses côtés. Si chacun est dans les starting-blocks pour la primaire de novembre 2016, le plus explicite a été Nicolas Sarkozy, pour lequel il faut «l'alternance aux régionales et, après, on commencera l'année suivante avec beaucoup d'appétit». Il devrait déclarer sa candidature à la primaire en septembre 2016.
L'ancien président de la République a jugé qu'il n'était «pas possible de réformer notre pays». «Il faut le refonder. En 1958, le général de Gaulle s'est retrouvé dans une situation où il fallait réinventer des institutions, réinventer une monnaie, réinventer un projet. Nous allons nous retrouver dans cette situation-là.»
Le Maire, le plus applaudi...après Sarkozy
«On aura besoin de la solidité de chacun d'entre vous. Il ne faudra pas se faire de procès entre nous», a-t-il ajouté, à l'adresse de ses concurrents, tout en distribuant quelques tacles, envers Bruno Le Maire, partisan, contrairement à lui, du non-cumul des mandats, et Alain Juppé.
Bruno Le Maire, le plus applaudi des futurs candidats à la primaire après Nicolas Sarkozy, a pronostiqué une «victoire» de Valérie Pécresse, parce qu'elle a «su rassembler» et qu'elle incarne le «renouveau des pratiques» qu'il défend en étant opposée au cumul des mandats.
L'ancienne ministre, la seule à n'avoir parlé que des régionales et de sa volonté de mettre fin à l'«immense gâchis» de la gauche, a promis de démissionner de son mandat de députée (des Yvelines) si elle était élue en décembre. «Fonce, Valérie, fonce», a lancé François Fillon, avant de dérouler ses critiques envers la politique du gouvernement.