EXTREME DROITEJean-Marie Le Pen veut que la commission disciplinaire qui le vise soit publique

Jean-Marie Le Pen veut que la commission disciplinaire qui le vise soit publique

EXTREME DROITELe président d'honneur en sursis sera face aux dirigeants du parti jeudi...
Nicolas Beunaiche

N.Beu.

Jean-Marie Le Pen veut bien laver son linge sale en famille, mais à condition que les portes sont grandes ouvertes. C’est le message qu’a fait passer l’ex-président du Front national, mardi, à deux jours de la commission disciplinaire organisée par le bureau exécutif du parti.

« Je formule le vœu que le débat du bureau exécutif soit public », a déclaré Jean-Marie Le Pen, interrogé par BFMTV. « C’est le principe général de droit français. Toutes les juridictions doivent juger en public. Jusqu’à présent, [les dirigeants du FN] ont été condamnés trois fois en justice. Ils n’ont pas l’air d’avoir pour la justice ou pour le droit une considération exceptionnelle », a poursuivi l’eurodéputé.

Une manœuvre politique

Jean-Marie Le Pen risque une nouvelle sanction. Le 2 juillet, la mesure de suspension qui avait été prise à son encontre a pourtant été annulée par la justice. Mais le président d’honneur en sursis du parti qu’il a fondé risque désormais une exclusion pure et simple.

Au Monde, l’entourage de Jean-Marie Le Pen explique s’appuyer sur l’article 6 alinéa 1 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), aux termes duquel un jugement « doit être rendu publiquement », ainsi que sur la jurisprudence européenne. Des conclusions plus générales sur la procédure disciplinaire ont également été rédigées, selon Le Monde, et elles seront transmises à la direction du FN avant la réunion de jeudi.

La manœuvre est évidemment aussi politique. « Cette demande se fait dans un esprit de transparence, M. Le Pen n’a rien à cacher, assure un proche de Jean-Marie Le Pen. S’ils refusent, ce sera une tentative de dissimuler ce qu’ils veulent faire. »


Jean-Marie Le Pen veut bien laver son linge sale en famille, mais à condition que les portes sont grandes ouvertes. C’est le message qu’a fait passer l’ex-président du Front national, mardi, à deux jours de la commission disciplinaire organisée par le bureau exécutif du parti.

« Je formule le vœu que le débat du bureau exécutif soit public », a déclaré Jean-Marie Le Pen, interrogé par BFMTV. « C’est le principe général de droit français. Toutes les juridictions doivent juger en public. Jusqu’à présent, [les dirigeants du FN] ont été condamnés trois fois en justice. Ils n’ont pas l’air d’avoir pour la justice ou pour le droit une considération exceptionnelle », a poursuivi l’eurodéputé.

Une manœuvre politique

Jean-Marie Le Pen risque une nouvelle sanction. Le 2 juillet, la mesure de suspension qui avait été prise à son encontre a pourtant été annulée par la justice. Mais le président d’honneur en sursis du parti qu’il a fondé risque désormais une exclusion pure et simple.

Au Monde, l’entourage de Jean-Marie Le Pen explique s’appuyer sur l’article 6 alinéa 1 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), aux termes duquel un jugement « doit être rendu publiquement », ainsi que sur la jurisprudence européenne. Des conclusions plus générales sur la procédure disciplinaire ont également été rédigées, selon Le Monde, et elles seront transmises à la direction du FN avant la réunion de jeudi.

La manœuvre est évidemment aussi politique. « Cette demande se fait dans un esprit de transparence, M. Le Pen n’a rien à cacher, assure un proche de Jean-Marie Le Pen. S’ils refusent, ce sera une tentative de dissimuler ce qu’ils veulent faire. »

interrogé par BFMTV

Jean-Marie Le Pen veut bien laver son linge sale en famille, mais à condition que les portes sont grandes ouvertes. C’est le message qu’a fait passer l’ex-président du Front national, mardi, à deux jours de la commission disciplinaire organisée par le bureau exécutif du parti.

« Je formule le vœu que le débat du bureau exécutif soit public », a déclaré Jean-Marie Le Pen, interrogé par BFMTV. « C’est le principe général de droit français. Toutes les juridictions doivent juger en public. Jusqu’à présent, [les dirigeants du FN] ont été condamnés trois fois en justice. Ils n’ont pas l’air d’avoir pour la justice ou pour le droit une considération exceptionnelle », a poursuivi l’eurodéputé.

Une manœuvre politique

Jean-Marie Le Pen risque une nouvelle sanction. Le 2 juillet, la mesure de suspension qui avait été prise à son encontre a pourtant été annulée par la justice. Mais le président d’honneur en sursis du parti qu’il a fondé risque désormais une exclusion pure et simple.

Au Monde, l’entourage de Jean-Marie Le Pen explique s’appuyer sur l’article 6 alinéa 1 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), aux termes duquel un jugement « doit être rendu publiquement », ainsi que sur la jurisprudence européenne. Des conclusions plus générales sur la procédure disciplinaire ont également été rédigées, selon Le Monde, et elles seront transmises à la direction du FN avant la réunion de jeudi.

La manœuvre est évidemment aussi politique. « Cette demande se fait dans un esprit de transparence, M. Le Pen n’a rien à cacher, assure un proche de Jean-Marie Le Pen. S’ils refusent, ce sera une tentative de dissimuler ce qu’ils veulent faire. »


Jean-Marie Le Pen veut bien laver son linge sale en famille, mais à condition que les portes sont grandes ouvertes. C’est le message qu’a fait passer l’ex-président du Front national, mardi, à deux jours de la commission disciplinaire organisée par le bureau exécutif du parti.

« Je formule le vœu que le débat du bureau exécutif soit public », a déclaré Jean-Marie Le Pen, interrogé par BFMTV. « C’est le principe général de droit français. Toutes les juridictions doivent juger en public. Jusqu’à présent, [les dirigeants du FN] ont été condamnés trois fois en justice. Ils n’ont pas l’air d’avoir pour la justice ou pour le droit une considération exceptionnelle », a poursuivi l’eurodéputé.

Une manœuvre politique

Jean-Marie Le Pen risque une nouvelle sanction. Le 2 juillet, la mesure de suspension qui avait été prise à son encontre a pourtant été annulée par la justice. Mais le président d’honneur en sursis du parti qu’il a fondé risque désormais une exclusion pure et simple.

Au Monde, l’entourage de Jean-Marie Le Pen explique s’appuyer sur l’article 6 alinéa 1 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), aux termes duquel un jugement « doit être rendu publiquement », ainsi que sur la jurisprudence européenne. Des conclusions plus générales sur la procédure disciplinaire ont également été rédigées, selon Le Monde, et elles seront transmises à la direction du FN avant la réunion de jeudi.

La manœuvre est évidemment aussi politique. « Cette demande se fait dans un esprit de transparence, M. Le Pen n’a rien à cacher, assure un proche de Jean-Marie Le Pen. S’ils refusent, ce sera une tentative de dissimuler ce qu’ils veulent faire. »


Jean-Marie Le Pen veut bien laver son linge sale en famille, mais à condition que les portes sont grandes ouvertes. C’est le message qu’a fait passer l’ex-président du Front national, mardi, à deux jours de la commission disciplinaire organisée par le bureau exécutif du parti.

« Je formule le vœu que le débat du bureau exécutif soit public », a déclaré Jean-Marie Le Pen, interrogé par BFMTV. « C’est le principe général de droit français. Toutes les juridictions doivent juger en public. Jusqu’à présent, [les dirigeants du FN] ont été condamnés trois fois en justice. Ils n’ont pas l’air d’avoir pour la justice ou pour le droit une considération exceptionnelle », a poursuivi l’eurodéputé.

Une manœuvre politique

Jean-Marie Le Pen risque une nouvelle sanction. Le 2 juillet, la mesure de suspension qui avait été prise à son encontre a pourtant été annulée par la justice. Mais le président d’honneur en sursis du parti qu’il a fondé risque désormais une exclusion pure et simple.

Au Monde, l’entourage de Jean-Marie Le Pen explique s’appuyer sur l’article 6 alinéa 1 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), aux termes duquel un jugement « doit être rendu publiquement », ainsi que sur la jurisprudence européenne. Des conclusions plus générales sur la procédure disciplinaire ont également été rédigées, selon Le Monde, et elles seront transmises à la direction du FN avant la réunion de jeudi.

La manœuvre est évidemment aussi politique. « Cette demande se fait dans un esprit de transparence, M. Le Pen n’a rien à cacher, assure un proche de Jean-Marie Le Pen. S’ils refusent, ce sera une tentative de dissimuler ce qu’ils veulent faire. »


Au Monde

Jean-Marie Le Pen veut bien laver son linge sale en famille, mais à condition que les portes sont grandes ouvertes. C’est le message qu’a fait passer l’ex-président du Front national, mardi, à deux jours de la commission disciplinaire organisée par le bureau exécutif du parti.

« Je formule le vœu que le débat du bureau exécutif soit public », a déclaré Jean-Marie Le Pen, interrogé par BFMTV. « C’est le principe général de droit français. Toutes les juridictions doivent juger en public. Jusqu’à présent, [les dirigeants du FN] ont été condamnés trois fois en justice. Ils n’ont pas l’air d’avoir pour la justice ou pour le droit une considération exceptionnelle », a poursuivi l’eurodéputé.

Une manœuvre politique

Jean-Marie Le Pen risque une nouvelle sanction. Le 2 juillet, la mesure de suspension qui avait été prise à son encontre a pourtant été annulée par la justice. Mais le président d’honneur en sursis du parti qu’il a fondé risque désormais une exclusion pure et simple.

Au Monde, l’entourage de Jean-Marie Le Pen explique s’appuyer sur l’article 6 alinéa 1 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), aux termes duquel un jugement « doit être rendu publiquement », ainsi que sur la jurisprudence européenne. Des conclusions plus générales sur la procédure disciplinaire ont également été rédigées, selon Le Monde, et elles seront transmises à la direction du FN avant la réunion de jeudi.

La manœuvre est évidemment aussi politique. « Cette demande se fait dans un esprit de transparence, M. Le Pen n’a rien à cacher, assure un proche de Jean-Marie Le Pen. S’ils refusent, ce sera une tentative de dissimuler ce qu’ils veulent faire. »


Jean-Marie Le Pen veut bien laver son linge sale en famille, mais à condition que les portes sont grandes ouvertes. C’est le message qu’a fait passer l’ex-président du Front national, mardi, à deux jours de la commission disciplinaire organisée par le bureau exécutif du parti.

« Je formule le vœu que le débat du bureau exécutif soit public », a déclaré Jean-Marie Le Pen, interrogé par BFMTV. « C’est le principe général de droit français. Toutes les juridictions doivent juger en public. Jusqu’à présent, [les dirigeants du FN] ont été condamnés trois fois en justice. Ils n’ont pas l’air d’avoir pour la justice ou pour le droit une considération exceptionnelle », a poursuivi l’eurodéputé.

Une manœuvre politique

Jean-Marie Le Pen risque une nouvelle sanction. Le 2 juillet, la mesure de suspension qui avait été prise à son encontre a pourtant été annulée par la justice. Mais le président d’honneur en sursis du parti qu’il a fondé risque désormais une exclusion pure et simple.

Au Monde, l’entourage de Jean-Marie Le Pen explique s’appuyer sur l’article 6 alinéa 1 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), aux termes duquel un jugement « doit être rendu publiquement », ainsi que sur la jurisprudence européenne. Des conclusions plus générales sur la procédure disciplinaire ont également été rédigées, selon Le Monde, et elles seront transmises à la direction du FN avant la réunion de jeudi.

La manœuvre est évidemment aussi politique. « Cette demande se fait dans un esprit de transparence, M. Le Pen n’a rien à cacher, assure un proche de Jean-Marie Le Pen. S’ils refusent, ce sera une tentative de dissimuler ce qu’ils veulent faire. »