Terminé
Remaniement: Manuel Valls se soumettra à un vote de confiance de l'Assemblée «en septembre ou en octobre»
LIVE•Revivez l'interview post-remaniement du Premier ministre dans le JT de France 2...N.Beu.
Le grand ménage de la rentrée a bien eu lieu au gouvernement. Exit Montebourg et Hamon, les frondeurs du week-end, au revoir Filippetti et Cuvillier, qui n’ont pas souhaité conserver leur portefeuille, bienvenue à Emmanuel Macron, nouveau ministre de l’Economie. Najat Vallaud-Belkacem, quant à elle, est promue au ministère de l’Education, tandis que Fleur Pellerin hérite de la Culture.
Ce remaniement inattendu sera-t-il suffisant pour éteindre le feu qui couve dans la majorité? En excluant de son équipe certains de ses ministres les plus à gauche, le Premier ministre, Manuel Valls, espère en tout cas resserrer les rangs pour appliquer la politique que François Hollande et lui souhaitent mener. Invité de France 2 ce mardi soir, dans le cadre du JT de David Pujadas, il devrait réaffirmer les orientations de l’exécutif et s’expliquer sur les choix de personnes que le Président et lui ont faits dans la journée.
20h45
Ce live est désormais terminé. Retrouvez toutes les réactions à l'interview de Manuel Valls et au remaniement en direct par ici.
20h35
Les points à retenir de son interview - Le remaniement n'était pas prémédité. «Les déclarations [de Montebourg et Hamon] ont provoqué cet acte d'autorité», dit Valls. - Le Premier ministre se soumettra au vote de confiance de l'Assemblée nationale «en septembre ou en octobre». - La politique économique de l'exécutif, cible des critiques des deux frondeurs, reste inchangée. L'objectif reste la réduction des déficits.
20h32
David Pujadas libère Manuel Valls Cette interview post-remaniement est donc terminée.
20h31
«Une politique équilibrée» «Il n'y a pas deux politiques possibles. La nôtre favorise les entreprises et soutient les ménages les plus modestes.»
20h30
«Nous sommes en train d'obtenir des résultats» Le Premier ministre se félicite de batailler au niveau européen et d'avoir fait naître le «débat». Mais il reconnaît tout de même que les chiffres du chômage sont mauvais et le niveau de croissance bien trop faible. #Valls : Les chiffres du chômages "ne peuvent pas être bons, ils seront négatifs" — LCI (@LCI) 26 Août 2014
20h28
Valls rejette le mot «austérité» Il insiste sur les créations de postes dans l'Education nationale ou dans la police et la gendarmerie, de même que sur les investissements dans la recherche. Toutefois, l'objectif reste bien de faire des économies.
20h25
Valls sollicitera la confiance de l'Assemblée «en septembre ou en octobre»
20h23
Si ce n'était pas encore clair, Manuel Valls balaie l'éventualité d'une dissolution.
20h22
Valls, trop seul? Le Premier ministre insiste sur «le soutien des radicaux de gauche et de l'immense majorité des députés socialistes». «La majorité, elle sera là. Si elle n'était pas au rendez-vous, nous ne pourrions pas poursuivre notre oeuvre.»
20h20
«Notre politique est la bonne» Manuel Valls ne fixe pas d'autre cap. Et le Premier ministre d'en profiter pour se réjouir des «beaux visages» de ce nouveau gouvernement.
20h19
La nomination de Macron, tournant libéral? «On ne peut pas être entrepreneur, banquier, dans ce pays? répond Manuel Valls. Cela fait des années qu'on se colle des étiquettes...» Emmanuel Macron est un ancien conseiller économique de François Hollande issu de la finance. Enarque, il a été ancien inspecteur des Finances et gérant de la Banque Rothschild.
20h17
«Quand l'Assemblée nationale vote une réforme, un projet, nous agissons. Nous avons une seule ligne et les membres du gouvernement ne peuvent pas se donner en spectacle.»
20h15
Il réaffirme l'objectif de réduction des déficits, qu'Arnaud Montebourg avait fustigé.
20h15
Interrogé sur l'existence de divergences entre lui et certains de ses ministres, le Premier ministre botte en touche.
20h14
«Nous étions tous d'accord sur le fait qu'il faut aider les grandes entreprises, les artisans, les start-ups. [...] Sans richesses, il n'y a pas de créations d'emplois.»
20h12
Valls se dit «peiné» par le départ de Montebourg et Hamon
20h11
Valls évoque pêle-mêle la menace islamiste en Irak, la guerre en Russie, le problème du chômage pour appeler son gouvernement à la «cohérence». Il ne peut accepter la remise en cause de la ligne politique de l'exécutif, dit-il. Valls dégaine d'emblée le point djihad, ça va vite. #France2 — Garriberts (@Garriberts) 26 Août 2014
20h09
«Je n'ai rien déclenché. Les faits et les déclarations ont provoqué cet acte d'autorité.»
20h09
Manuel Valls prend la parole Retour sur le plateau. L'interview peut commencer. Si vous n'avez pas l'image, cela ressemble à peu de choses près à ça, les couleurs y compris. Le Premier ministre Manuel #Valls est l'invité du #20h de @France2tv ce soir. Suivez et commentez avec #JTPM pic.twitter.com/UYpePhdjvO — Gouvernement (@gouvernementFR) 26 Août 2014
20h07