Les trésors de la forêt tropicale
DiaporamaLa rédaction de 20 Minutes
Dans ces forêts d'aleps et d'okoumés, on lève souvent la tête pour admirer les cimes des arbres. Mais en la baissant, on peut aussi voir des raretés, comme cette plante encore inconnue, en cours de classification. Elle viendra s'ajouter aux 39 espèces uniques à la forêt de la Mondah, au nord de Libreville, et aux quelque 10.000 espèces de plantes recensées au Gabon.
Dans ces forêts d'aleps et d'okoumés, on lève souvent la tête pour admirer les cimes des arbres. Mais en la baissant, on peut aussi voir des raretés, comme cette plante encore inconnue, en cours de classification. Elle viendra s'ajouter aux 39 espèces uniques à la forêt de la Mondah, au nord de Libreville, et aux quelque 10.000 espèces de plantes recensées au Gabon.
La mer n'est pas très loin de trois importants parcs naturels, qui constituent «l'Arc d'Emeraude» autour de Libreville. Ici, à Akanda, les rivières et les mangroves prennent le relais de la forêt. Les oiseaux migrateurs, dont les hérons, y trouvent un refuge paisible.
A marée haute, difficile de distinguer la mer de la rivière. La vasière qui se trouve à l'embouchure de la mangrove est un haut-lieu de pêche à la crevette et aux coquillages. Les oiseaux ont élu domicile dans les rares arbustes qui poussent à la jonction des eaux. Il a toutefois fallu limiter le nombre de pêcheurs à pied pour ne pas épuiser les ressources.
Sur les plages où se terminent les forêts, on trouve de plus en plus de billes de bois couchées par les vents. Les tempêtes de l'Atlantique viennent de plus en plus souvent envahir les terres, posant de gros problèmes d'inondations dans les quartiers qui poussent aux périphéries des villes.