DiaporamaPollution extrême à New Delhi

Pollution extrême à New Delhi

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Indian labourers work on an under-construction building as smog covers the skyline in New Delhi on November 7, 2016.
Schools in the Indian capital will be closed for the next three days, the Delhi state goverment said on November 6, as the city struggles with one of the worst spells of air pollution in recent years / AFP PHOTO / DOMINIQUE FAGET
Indian labourers work on an under-construction building as smog covers the skyline in New Delhi on November 7, 2016. Schools in the Indian capital will be closed for the next three days, the Delhi state goverment said on November 6, as the city struggles with one of the worst spells of air pollution in recent years / AFP PHOTO / DOMINIQUE FAGET - DOMINIQUE FAGET/AFP
Jérémy Vial

Jérémy Vial

Le 7 novembre, les chantiers sont à l'arrêt dans la capitale indienne, New Delhi. Malgré le danger pour la santé publique, certains ouvriers continuent le travail. Ecole fermées, chantiers à l'arrêt, plusieurs mesures sont prises par les autorités pour tenter de protéger la population des méfaits de la pollution.

Réalisation: Jérémy Vial

 - DOMINIQUE FAGET/AFP

Le 7 novembre, les chantiers sont à l'arrêt dans la capitale indienne, New Delhi. Malgré le danger pour la santé publique, certains ouvriers continuent le travail. Ecole fermées, chantiers à l'arrêt, plusieurs mesures sont prises par les autorités pour tenter de protéger la population des méfaits de la pollution.

Réalisation: Jérémy Vial

 - Altaf Qadri/ap/Sipa

Brûlis de chaume des campagnes, émanations de véhicules et d'usines, chute des températures… Les causes de cette pollution sont multiples.

Photo: New Delhi vue de haut, le 5 novembre.

 - Manish Swarup/ap/sipa

En raison du refroidissement de l’air, les polluants ne se dissipent pas et la mégalopole se retrouve piégée par un nuage asphyxiant. Ces derniers mois, les autorités ont développé les pistes cyclables, pour diminuer la circulation automobile.

Photo: Quelques véhicules roulent encore malgré la toxicité, le 6 novembre.

 - Manish Swarup/ap/sipa

Les habitants tentent tant bien que mal de se déplacer, avec des masques sur le visage.

Photo: Des familles entières viennent manifester contre la pollution à New Delhi.

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Si la qualité de l'air à Delhi est notoirement mauvaise, elle a empiré ces dernières années, atteignant des niveaux préoccupants cet automne.

Photo: La vie continue pour la population, qui traverse un pont dans un parc public.

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Ce matin, l'ambassade américaine enregistrait un taux de particules fines anormalement élevé, pouvant pénétrer dans le système sanguin et les poumons.

Photo: la police bloque l'accès au mémorial de la guerre, le 6 novembre.

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Ainsi, 778 microgrammes par mètre cube d'air ont été relevées, là où l'OMS recommande une moyenne quotidienne de 25. Un phénomène qui n'est pas exceptionnel en Inde où des purificateurs d'air ont été installés dans les principaux marchés de la ville dès 2014.

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Malgré des mesures prises ces derniers jours (fermeture des écoles, suspension des chantiers), la population pointe du doigt l’inaction du gouvernement.

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Munis de masques antipollution, qui se font rares dans la capitale, de jeunes indiens poursuivent leurs activités sportives.

Photo: De jeunes Indiens participent à un challenge sportif de 10 km, le 6 novembre.

 - SAJJAD HUSSAIN/AFP

Des activités qui se pratiquent avec, pour toile de fond, un épais nuage de fumée. New Delhi est, à ce jour, la capitale la plus polluée au monde.

Photo: Des jeunes jouent au cricket, sport majeur en Inde, le 7 novembre.

 - Manish Swarup/ap/sipa

Des touristes indiens «immortalisent» même ce drame climatique par des selfies dans la mégalopole indienne, qui compte pas moins de 17 millions d'habitants.