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Cancers: Ségolène Royal invite les agriculteurs à réduire leur usage des pesticides
POLLUTION•La ministre de l’Ecologie était invitée à réagir à la diffusion du reportage de « Cash Investigation », mardi soir sur France 2…
R.S.
Plus qu’un simple message de prévention, c’est toute une partie de son programme de ministre de l’Ecologie que France 2 a mis en exergue, mardi soir dans son émission Cash Investigation. Ségolène Royal s’est donc réjouie sur France Inter de la diffusion de ce documentaire consacré aux effets nocifs des pesticides sur la santé.
Après avoir rappelé les mesures qu’elle a prises concernant l’interdiction d’épandage aérien des pesticides, l’interdiction des pesticides dans les espaces verts à compter de l’été prochain, le retrait de la vente du Round Up, elle a également invité les agriculteurs à réduire leur usage des pesticides. Il en va de leur « intérêt » selon la ministre.
Des produits de substitution
« Quand on voit le nombre de cancers chez les agriculteurs qui utilisent les pesticides (…). Jamais cela leur avait été dit. Aujourd’hui, ils prennent conscience de cela. Nous connaissons maintenant des produits de substitution aux pesticides dangereux ». Elle estime enfin que la France a l’occasion de devenir « le premier pays producteur et consommateur de produits de substitution aux pesticides qui ne portent pas atteinte à la santé publique ».
Plus qu’un simple message de prévention, c’est toute une partie de son programme de ministre de l’Ecologie que France 2 a mis en exergue, mardi soir dans son émission Cash Investigation. Ségolène Royal s’est donc réjouie sur France Inter de la diffusion de ce documentaire consacré aux effets nocifs des pesticides sur la santé.
Après avoir rappelé les mesures qu’elle a prises concernant l’interdiction d’épandage aérien des pesticides, l’interdiction des pesticides dans les espaces verts à compter de l’été prochain, le retrait de la vente du Round Up, elle a également invité les agriculteurs à réduire leur usage des pesticides. Il en va de leur « intérêt » selon la ministre.
Des produits de substitution
« Quand on voit le nombre de cancers chez les agriculteurs qui utilisent les pesticides (…). Jamais cela leur avait été dit. Aujourd’hui, ils prennent conscience de cela. Nous connaissons maintenant des produits de substitution aux pesticides dangereux ». Elle estime enfin que la France a l’occasion de devenir « le premier pays producteur et consommateur de produits de substitution aux pesticides qui ne portent pas atteinte à la santé publique ».
Plus qu’un simple message de prévention, c’est toute une partie de son programme de ministre de l’Ecologie que France 2 a mis en exergue, mardi soir dans son émission Cash Investigation. Ségolène Royal s’est donc réjouie sur France Inter de la diffusion de ce documentaire consacré aux effets nocifs des pesticides sur la santé.
Après avoir rappelé les mesures qu’elle a prises concernant l’interdiction d’épandage aérien des pesticides, l’interdiction des pesticides dans les espaces verts à compter de l’été prochain, le retrait de la vente du Round Up, elle a également invité les agriculteurs à réduire leur usage des pesticides. Il en va de leur « intérêt » selon la ministre.
Des produits de substitution
« Quand on voit le nombre de cancers chez les agriculteurs qui utilisent les pesticides (…). Jamais cela leur avait été dit. Aujourd’hui, ils prennent conscience de cela. Nous connaissons maintenant des produits de substitution aux pesticides dangereux ». Elle estime enfin que la France a l’occasion de devenir « le premier pays producteur et consommateur de produits de substitution aux pesticides qui ne portent pas atteinte à la santé publique ».
Plus qu’un simple message de prévention, c’est toute une partie de son programme de ministre de l’Ecologie que France 2 a mis en exergue, mardi soir dans son émission Cash Investigation. Ségolène Royal s’est donc réjouie sur France Inter de la diffusion de ce documentaire consacré aux effets nocifs des pesticides sur la santé.
Après avoir rappelé les mesures qu’elle a prises concernant l’interdiction d’épandage aérien des pesticides, l’interdiction des pesticides dans les espaces verts à compter de l’été prochain, le retrait de la vente du Round Up, elle a également invité les agriculteurs à réduire leur usage des pesticides. Il en va de leur « intérêt » selon la ministre.
Des produits de substitution
« Quand on voit le nombre de cancers chez les agriculteurs qui utilisent les pesticides (…). Jamais cela leur avait été dit. Aujourd’hui, ils prennent conscience de cela. Nous connaissons maintenant des produits de substitution aux pesticides dangereux ». Elle estime enfin que la France a l’occasion de devenir « le premier pays producteur et consommateur de produits de substitution aux pesticides qui ne portent pas atteinte à la santé publique ».
Plus qu’un simple message de prévention, c’est toute une partie de son programme de ministre de l’Ecologie que France 2 a mis en exergue, mardi soir dans son émission Cash Investigation. Ségolène Royal s’est donc réjouie sur France Inter de la diffusion de ce documentaire consacré aux effets nocifs des pesticides sur la santé.
Après avoir rappelé les mesures qu’elle a prises concernant l’interdiction d’épandage aérien des pesticides, l’interdiction des pesticides dans les espaces verts à compter de l’été prochain, le retrait de la vente du Round Up, elle a également invité les agriculteurs à réduire leur usage des pesticides. Il en va de leur « intérêt » selon la ministre.
Des produits de substitution
« Quand on voit le nombre de cancers chez les agriculteurs qui utilisent les pesticides (…). Jamais cela leur avait été dit. Aujourd’hui, ils prennent conscience de cela. Nous connaissons maintenant des produits de substitution aux pesticides dangereux ». Elle estime enfin que la France a l’occasion de devenir « le premier pays producteur et consommateur de produits de substitution aux pesticides qui ne portent pas atteinte à la santé publique ».
Plus qu’un simple message de prévention, c’est toute une partie de son programme de ministre de l’Ecologie que France 2 a mis en exergue, mardi soir dans son émission Cash Investigation. Ségolène Royal s’est donc réjouie sur France Inter de la diffusion de ce documentaire consacré aux effets nocifs des pesticides sur la santé.
Après avoir rappelé les mesures qu’elle a prises concernant l’interdiction d’épandage aérien des pesticides, l’interdiction des pesticides dans les espaces verts à compter de l’été prochain, le retrait de la vente du Round Up, elle a également invité les agriculteurs à réduire leur usage des pesticides. Il en va de leur « intérêt » selon la ministre.
Des produits de substitution
« Quand on voit le nombre de cancers chez les agriculteurs qui utilisent les pesticides (…). Jamais cela leur avait été dit. Aujourd’hui, ils prennent conscience de cela. Nous connaissons maintenant des produits de substitution aux pesticides dangereux ». Elle estime enfin que la France a l’occasion de devenir « le premier pays producteur et consommateur de produits de substitution aux pesticides qui ne portent pas atteinte à la santé publique ».
Plus qu’un simple message de prévention, c’est toute une partie de son programme de ministre de l’Ecologie que France 2 a mis en exergue, mardi soir dans son émission Cash Investigation. Ségolène Royal s’est donc réjouie sur France Inter de la diffusion de ce documentaire consacré aux effets nocifs des pesticides sur la santé.
Après avoir rappelé les mesures qu’elle a prises concernant l’interdiction d’épandage aérien des pesticides, l’interdiction des pesticides dans les espaces verts à compter de l’été prochain, le retrait de la vente du Round Up, elle a également invité les agriculteurs à réduire leur usage des pesticides. Il en va de leur « intérêt » selon la ministre.
Des produits de substitution
« Quand on voit le nombre de cancers chez les agriculteurs qui utilisent les pesticides (…). Jamais cela leur avait été dit. Aujourd’hui, ils prennent conscience de cela. Nous connaissons maintenant des produits de substitution aux pesticides dangereux ». Elle estime enfin que la France a l’occasion de devenir « le premier pays producteur et consommateur de produits de substitution aux pesticides qui ne portent pas atteinte à la santé publique ».
