ENVIRONNEMENTArctique: La superficie de la banquise n'a jamais aussi été réduite

Arctique: La superficie de la banquise n'a jamais aussi été réduite

ENVIRONNEMENTLe mois de février a été caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'est du territoire...
20 Minutes avec agences

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La fonte de la glace de mer arctique atteint un nouveau record. En effet, l'étendue maximum des glaces de l'océan arctique a été la plus faible mesurée en hiver cette année, depuis le début des observations par satellite en 1979.

Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.


Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.


Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.


Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.


Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.


Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.


Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.

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Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.

March 19, 2015

Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.


Selon le Centre américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center/NSIDC), la superficie de la banquise a atteint au plus 14,54 millions de km2 le 25 février. Soit une mesure bien en dessous de la moyenne de 15,64 millions de km2, mesurée de 1981 à 2010, et 130.000 km2 au-dessous du précédent minimum en 2011.

Un maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne

Cette année, le maximum a été atteint quinze jours plus tôt que la moyenne entre 1981 et 2010 à savoir le 12 mars, précise le NSIDC. Et même si, vu la variabilité de la superficie des glaces à cette époque de l'année, il est possible que la banquise continue à s'étendre au cours des deux ou trois prochaines semaines, il apparaît désormais improbable, selon les glaciologues, qu'il se produise une accumulation de glace suffisante pour surpasser l'étendue atteinte ce 25 février.

Ainsi, au cours de l'hiver 2014-2015, les glaces dans l'océan Arctique se sont accrues de 9,91 millions de km2, un accroissement nettement inférieur comparativement à 2013-2014 qui avait connu une augmentation record. La faible formation de glace durant ce dernier hiver s'explique, en partie, par un mois de février caractérisé par une combinaison inhabituelle du jet-stream qui s'est traduit par un réchauffement de l'Arctique du côté de l'océan Pacifique, entraînant une faible étendue de la glace dans la mer de Béring et d'Okhotsk.

«Une nouvelle sonnette d'alarme»

Durant les deux premières semaines de mars, les températures sur l'ensemble de l'est l'Arctique à environ 1.000 mètres d'altitude ont été plusieurs degrés au-dessus de la moyenne jusqu'à 8 à 10 degrés en mer de Barents, au nord de la Norvège, précise le NSIDC.

Pour l'organisation écologique World Wide Fund for Nature (WWF), «cela devrait être une nouvelle sonnette d'alarme». «Le changement climatique ne s'arrêtera pas au cercle arctique et sans une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre nous finirons par avoir un climat complètement différent, imprévisible et destructeur pour les écosystèmes et les humains», a déclaré Samantha Smith. Une responsable de l'Initiative climat et énergie au WWF qui rappelle que 2014 a été l'année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.

la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de température en 1881.