PROCESVIDEO. Les anciens managers de Johnny Depp assurent qu’il a menti

VIDEO. Les anciens managers de Johnny Depp assurent qu’il a menti

PROCESL’acteur pourrait de nouveau avoir des ennuis avec la justice australienne…
20 Minutes avec agences

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Johnny Depp pourrait de nouveaux se trouver dans le collimateur de la justice australienne et être poursuivi pour parjure. L’acteur est actuellement en pleine bataille juridique avec ses anciens managers, qui viennent, dans le cadre de cette affaire, d’assurer dans des documents que s’est procuré People, que leur client savait parfaitement qu’il violait les lois australiennes en faisant entrer illégalement ses deux chiens sur le territoire.

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En 2015, Johnny Depp était en Australie pour un tournage quand celle qui était alors sa femme, Amber Heard, est venue le voir accompagnée de leurs deux chiens, Pistol et Boo. Sauf qu’étant arrivés en jet privé, les deux animaux ne sont pas passés par les douanes ni la quarantaine obligatoire de 10 jours. Barnaby Joyce, le ministre australien de l’Agriculture avait menacé de faire piquer les deux chiens « s’ils ne foutaient pas le camp aux Etats-Unis », avant d’exiger des excuses publiques du couple, ce qui avait donné lieu à une vidéo très étrange.

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Une histoire qui voyage

Dans les documents que People dévoile, les anciens managers de Johnny Depp assurent : « Depp a fait de fausses déclarations aux autorités et à la presse en disant que c’était un gros malentendu parce qu’il pensait que son staff avait obtenu les autorisations nécessaires ». Ils affirment également que quand les autorités s’en sont mêlées, l’acteur a fait pression sur un employé pour qu’il assume le blâme.

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Cela est revenu aux oreilles de Barnaby Joyce, toujours ministre de l’Agriculture et également vice-premier ministre, qui envisage d’ouvrir à nouveau l’affaire. « Si cette allégation est correcte, il y a un mot pour ça, ça s’appelle le parjure, a-t-il dit sur ABC ainsi que le relaie The Independent. Nous sommes une île continent et nous prenons la biosécurité très au sérieux et on s’en fiche que vous pensiez être Monsieur je ne sais qui d’Hollywood, vous obéirez à nos lois. »