Demi Lovato est la nouvelle victime des hackers qui sévissent depuis le mois dernier en piratant les téléphones des célébrités afin d’en dévoiler les photos les plus intimes. Après Amanda Seyfried et Emma Watson, qui ont rapidement menacé les sites qui s’amuseraient à publier leurs photos – a priori nues – de poursuites intraitables, c’est Demi Lovato qui a eu droit à un voile levé sur son intimité.

Mais contrairement aux deux comédiennes, la chanteuse a préféré se moquer des hypothétiques révélations relayées par les pirates, et pour cause : elle n’a absolument rien à cacher.

De fait, quelques heures après l’annonce du New York Post, qui spécifiait qu’une photo d’elle, nue, circulerait sur la toile, elle est directement passée sur Twitter pour refroidir l’ardeur de ceux que ce genre d’incident pourrait exciter. « C’est très bien que tout le monde se scandalise à propos d’une photo. Mais je n’y suis pas nue, c’est juste un décolleté, a-t-elle déclaré. En plus, les gens m’ont déjà vu nue, et c’était MON CHOIX… »

Maîtresse de son image

A juste titre, Demi Lovato rappelait qu’elle avait elle-même choisi de se dénuder pour Vanity Fair en 2014, dans une série de photos non retouchées. Sexy et naturelle, la chanteuse affirmait alors un message fort : son corps lui appartient.

Un exemple à suivre qu’elle avait accompagné d’une campagne destinée à pousser les jeunes femmes à s’assumer telles qu’elles étaient. Depuis, Demi Lovato se tient fermement à son message.

Si lors de ce qu’on appelle d’ores et déjà le Fappening 2.0 – en référence à un premier piratage massif survenu en 2014 – Emma Watson et Amanda Seyfried se sont instantanément manifestées, ça n’avait pas été le cas de Jennifer Lawrence, cible la plus importante du premier Fappening, que la comédienne avait très mal digéré. Au printemps 2017, l’incident semble n’avoir pas plus perturbé Demi Lovato que ça…