PEOPLEBruno Mars est fier de ses racines portoricaines

Bruno Mars est fier de ses racines portoricaines

PEOPLEEt ne venez pas lui dire le contraire…
20 Minutes avec agences

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Vous l’ignorez peut-être, mais Bruno Mars s’appelle Peter Gene Hernandez dans le civil. Né à Honolulu, il est le fils d’une maman philippine et espagnole, et d’un papa portoricain. S’il a décidé de changer de nom afin de faire carrière, il reste toutefois immensément fier de ses origines, comme il l’a récemment confié au magazine Latina.

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« J’aimerais clarifier ça dans Latina, dit-il. Je n’ai jamais dit que j’avais changé mon nom pour cacher le fait que je suis portoricain. Pourquoi est-ce que je dirais ça ? A qui je vais mentir ? Et pourquoi quiconque dirait ça ? » Le chanteur est ensuite monté au créneau, jugeant ces accusations « insultantes » et « ridicules ». « Mon nom de famille, c’est Hernandez. Le nom de mon père est Pedrito Hernandez, et c’est un pimp portoricain. Je ne cache pas ça. Mon père m’a surnommé Bruno depuis mes 2 ans. »

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Le chanteur en a profité pour lever le voile sur son changement de nom, expliquant avoir au début simplement choisi « Bruno » comme nom de scène, mais avoir ajouté « Mars » pour s’amuser, car cela faisait un peu « hors du commun ».

Dur de trouver sa place

Si Bruno Mars est très heureux aux Etats-Unis, et notamment à Los Angeles où il vit depuis le début des années 2000, toute sa vie a été bousculée par les idées reçues sur les nationalités. « A Hawaï, il n’y a pas beaucoup de Portoricains, a-t-il ajouté. A cause de mes cheveux, ils pensaient que j’étais métis, entre noir et blanc. »

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Plus tard, même son de cloche à Los Angeles, quand il a décidé de lancer sa carrière : les producteurs ne savaient pas s’il était Américain ou « latino ». « Beaucoup de personnes avec des origines mixtes sont dans cette zone grise, ajoute-t-il. Plein de gens se disent : ‘’C’est génial, tu peux te faire passer pour ce que tu veux’’. Mais ce n’est pas ça. C’est l’opposé total en fait. Ce que l’on essaye de faire, c’est d’expliquer aux gens comment on se sent et les éduquer pour qu’ils ne fassent plus ressentir ça à personne. Ce qui est une chose difficile à faire. Parce que personne ne voit ce que l’on voit, et personne ne peut grandir comme on a grandi. J’espère que les gens de couleur peuvent me regarder et savoir que tout ce qu’ils ont traversé, je l’ai traversé. Je le promets. »

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