La mort de George Michael fait toujours autant débat. Selon les récentes confidences d’un proche, Andros Georgiou, présenté tantôt comme un cousin, tantôt comme un ami d’enfance dans les médias anglo-saxons, il se pourrait que le décès du chanteur soit dû à sa consommation de drogues.

Selon Andros Georgiou, les « drogues dures étaient de retour dans sa vie », comme il l’a confié à la BBC, ajoutant que le chanteur avait un penchant pour le crack. « Je pense simplement qu’il a pris trop de quelque chose, mixé avec des antidépresseurs », a-t-il ajouté. Il avance par ailleurs que le chanteur a pu être « entraîné vers le côté obscur ».

Déprimé ?

George Michael souffrait également de dépression selon Andros Georgiou, qui pense qu’il avait « des pensées suicidaires » et que son cerveau « allait dans tous les sens », même s’il ne croit pas à l’hypothèse du suicide.

Les déclarations de ce proche du chanteur, qui a été un collaborateur de George Michael jusqu’en 1998, sont toutefois à prendre avec des pincettes. Comme le rappelle notamment une productrice de CNN International, Jenni Marsh, les deux hommes se sont brouillés publiquement il y a plusieurs années.

De plus, une deuxième autopsie est en cours et les résultats des examens toxicologiques ne sont toujours pas connus. De son côté, Andros Georgiou questionne le rôle qu’a pu jouer le dernier compagnon officiel de George Michael, Fadi Fawaz, ou plutôt de la négligence dont il aurait fait preuve, ayant été présent au moment du décès du chanteur.

« Plus je lis des choses, plus je trouve des informations sur Fadi et plus j’ai envie de parler. Pourquoi ne vivait-il pas avec George ? Pourquoi n’étaient-ils pas ensemble le soir du réveillon ? Et POURQUOI a-t-il dormi dans sa voiture ? Trop de questions me viennent… Tous les jours, je ressens de plus en plus de colère à cause des mensonges que je lis. Je prie pour que personne ne puisse gagner de l’argent sur le dos de George », a-t-il partagé sur son compte Facebook.