DiaporamaLes pancartes contre le décret de Donald Trump

Les pancartes contre le décret de Donald Trump

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People protest against President Trump's travel ban on refugees and citizens of seven Muslim-majority nations, at Louisville International Airport in Louisville, Ky., Sunday, Jan. 29, 2017. (Scott Utterback/The Courier-Journal via AP)/KYLOC102/17029796783824/MANDATORY CREDIT; NO LICENSING EXCEPT BY AP COOPERATIVE MEMBERS/1701292343
People protest against President Trump's travel ban on refugees and citizens of seven Muslim-majority nations, at Louisville International Airport in Louisville, Ky., Sunday, Jan. 29, 2017. (Scott Utterback/The Courier-Journal via AP)/KYLOC102/17029796783824/MANDATORY CREDIT; NO LICENSING EXCEPT BY AP COOPERATIVE MEMBERS/1701292343 - Scott Utterback/The Courier-Journal/ap/sipa
Charlotte Gonthier

Charlotte Gonthier

Le 27 janvier, le président américain fraîchement élu Donald Trump a signé un décret qui interdit d'une part l'entrée sur le territoire de réfugiés pendant 120 jours et, d'autre part, l'arrivée de tout ressortissant de sept pays à majorité musulmane et considérés comme à risques au plan du terrorisme, (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen) pendant 90 jours. Ce nouveau décret du président américain a fait bondir plus d'une personne. Des manifestations ont eu lieu tout le week-end et vont continuer en ce début de semaine pour clamer haut et fort l'incompréhension d'un tel décret.

Réalisation: Charlotte Gonthier

 - Scott Utterback/The Courier-Journal/ap/sipa

Le 27 janvier, le président américain fraîchement élu Donald Trump a signé un décret qui interdit d'une part l'entrée sur le territoire de réfugiés pendant 120 jours et, d'autre part, l'arrivée de tout ressortissant de sept pays à majorité musulmane et considérés comme à risques au plan du terrorisme, (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen) pendant 90 jours. Ce nouveau décret du président américain a fait bondir plus d'une personne. Des manifestations ont eu lieu tout le week-end et vont continuer en ce début de semaine pour clamer haut et fort l'incompréhension d'un tel décret.

Réalisation: Charlotte Gonthier

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

«Pas d'exclusion, pas de mur» à Washington, le 29 janvier.

 - Justin Sullivan/Getty Images/AFP

A L'aéroport international de Los Angeles: «Je suis avec elle».

 - Joshua LOTT/AFP

A l'aéroport international O'Hare de Chicago, ce message a le mérite d'être direct.

 - Stephen Brashear/Getty Images/AFP

A Seattle: «Apprendre l'amour aux enfants, pas la haine»

 - Jessica Kourkounis/Getty Images/AFP

A Philadelphie: «Orange is the new red». Pas besoin de traduction.

 - Kelly Wilkinson/AP/SIPA

A l'aéroport d'Indianapolis: «Honte à toi Donald!!! Tu es un danger pour nous.»

 - Kathy Willens/ap/sipa

A New York, une pancarte remercie la juge Ann Donnelly qui a dès le lancement de ce décret tout fait pour qu'il soit contré par la justice. Sollicitée par plusieurs associations de défense des droits de l'homme dont la puissante ACLU, la juge a ordonné aux autorités américaines de ne procéder à aucune expulsion de ressortissants des sept pays musulmans concernés par le décret - Iran, Irak, Yémen, Somalie, Libye, Syrie, Soudan -, disposant de documents les autorisant à entrer aux Etats-Unis.

 - Scott Olson/Getty Images/AFP

Au terminal de l'aéroport O'Hare de Chicago: «Plus jamais!! #lesjuifscontretrump»

 - Stephanie Strasburg/AP/SIPA

A l'aéroport de Pittsburg, une femme avec un simple: «Fabriquée en Iran».

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

Près de la Maison-Blanche: «Une planète, un peuple».

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

Toujours près de la Maison-Blanche: «Garde tes petites mains et ton petit esprit loin de notre démocratie».

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

«Nous sommes tous des immigrants» dans un arbre à Washington.

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

Toujours près de la demeure du président américain: «Des ponts, pas des murs. Et tu peux aller te stocker ta tour dans le cul.»

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

«Nous avons voté avec 66 millions d'autres»

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

«Bienvenu aux étrangers»

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

«L'amour n'a pas de religion».

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

«Les réfugiés sont les bienvenus, les fascistes dehors» et «Déportez Mélania», toujours à Washington.

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

Un superbe «coexiste».

 - John Middlebrook/CSM/REX/Shutterstock/sipa

«Donne-moi tes pauvres, tes exténués, 

Tes masses innombrables aspirant à vivre libres...» une parie du poème d'Emma Lazarus inscrit sur la statue de la Liberté.

 - Steve Marcus/Las Vegas Sun/ap/sipa

Le message «J'aime les amis musulmans» tenu bien haut par Deana Stevenson, âgée de 5 ans, à l'aéroport de Las Vegas.

 - Konrad Fiedler/AFP

«Jésus est un réfugié».