Les pancartes contre le décret de Donald Trump
DiaporamaCharlotte Gonthier
Le 27 janvier, le président américain fraîchement élu Donald Trump a signé un décret qui interdit d'une part l'entrée sur le territoire de réfugiés pendant 120 jours et, d'autre part, l'arrivée de tout ressortissant de sept pays à majorité musulmane et considérés comme à risques au plan du terrorisme, (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen) pendant 90 jours. Ce nouveau décret du président américain a fait bondir plus d'une personne. Des manifestations ont eu lieu tout le week-end et vont continuer en ce début de semaine pour clamer haut et fort l'incompréhension d'un tel décret.
Réalisation: Charlotte Gonthier
Le 27 janvier, le président américain fraîchement élu Donald Trump a signé un décret qui interdit d'une part l'entrée sur le territoire de réfugiés pendant 120 jours et, d'autre part, l'arrivée de tout ressortissant de sept pays à majorité musulmane et considérés comme à risques au plan du terrorisme, (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen) pendant 90 jours. Ce nouveau décret du président américain a fait bondir plus d'une personne. Des manifestations ont eu lieu tout le week-end et vont continuer en ce début de semaine pour clamer haut et fort l'incompréhension d'un tel décret.
Réalisation: Charlotte Gonthier
«Pas d'exclusion, pas de mur» à Washington, le 29 janvier.
A L'aéroport international de Los Angeles: «Je suis avec elle».
A l'aéroport international O'Hare de Chicago, ce message a le mérite d'être direct.
A Seattle: «Apprendre l'amour aux enfants, pas la haine»
A Philadelphie: «Orange is the new red». Pas besoin de traduction.
A l'aéroport d'Indianapolis: «Honte à toi Donald!!! Tu es un danger pour nous.»
A New York, une pancarte remercie la juge Ann Donnelly qui a dès le lancement de ce décret tout fait pour qu'il soit contré par la justice. Sollicitée par plusieurs associations de défense des droits de l'homme dont la puissante ACLU, la juge a ordonné aux autorités américaines de ne procéder à aucune expulsion de ressortissants des sept pays musulmans concernés par le décret - Iran, Irak, Yémen, Somalie, Libye, Syrie, Soudan -, disposant de documents les autorisant à entrer aux Etats-Unis.
Au terminal de l'aéroport O'Hare de Chicago: «Plus jamais!! #lesjuifscontretrump»
A l'aéroport de Pittsburg, une femme avec un simple: «Fabriquée en Iran».
Près de la Maison-Blanche: «Une planète, un peuple».
Toujours près de la Maison-Blanche: «Garde tes petites mains et ton petit esprit loin de notre démocratie».
«Nous sommes tous des immigrants» dans un arbre à Washington.
Toujours près de la demeure du président américain: «Des ponts, pas des murs. Et tu peux aller te stocker ta tour dans le cul.»
«Nous avons voté avec 66 millions d'autres»
«Bienvenu aux étrangers»
«L'amour n'a pas de religion».
«Les réfugiés sont les bienvenus, les fascistes dehors» et «Déportez Mélania», toujours à Washington.
Un superbe «coexiste».
«Donne-moi tes pauvres, tes exténués,
Tes masses innombrables aspirant à vivre libres...» une parie du poème d'Emma Lazarus inscrit sur la statue de la Liberté.
Le message «J'aime les amis musulmans» tenu bien haut par Deana Stevenson, âgée de 5 ans, à l'aéroport de Las Vegas.
«Jésus est un réfugié».