RUMEURNon, Mark Zuckerberg ne vise pas la Maison Blanche

Maison Blanche: Mark Zuckerberg dément vouloir devenir président des Etats-Unis

RUMEURLe co-fondateur de Facebook a dû mettre les choses au point alors que les observateurs croient voir se multiplier les signes de ses ambitions politiques…
20 Minutes avec agence

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Mark Zuckerberg a mis les choses au point ce mardi. Il a répondu d’un simple « Non » à Buzzfeed, qui lui demandait s’il envisageait de se présenter un jour à l’élection présidentielle américaine.

Si le co-fondateur de Facebook s’est retrouvé dans l’obligation d’apporter par écrit une telle précision au média américain, c’est parce que plusieurs signes avaient conduit les observateurs à prêter au jeune milliardaire des ambitions politiques.

Visiter chacun des Etats américains

Premier indice, datant d’avril 2016 : un changement dans les règles s’appliquant à l’équipe dirigeante de Facebook, stipulant que Mark Zuckerberg pourrait garder le contrôle de l’entreprise pendant une période allant jusqu’à deux ans « dans le cas où il serait nommé à un poste de responsabilité gouvernementale », rapporte Le Monde.

Plus récemment, dans le cadre de ses bonnes résolutions pour 2017, le dirigent de 32 ans s’est fixé un objectif qui a tout de la tournée de campagne électorale avant l’heure : visiter chacun des Etats américains pour y rencontrer un maximum de citoyens.

Des prises de position contre Donald Trump

Entre temps, d’autres nouveautés avaient commencé à alerter certains spécialistes. Le génie de l’informatique est en effet désormais entouré de photographes, modérateurs et autres professionnels des réseaux sociaux pour peaufiner son image publique, explique Le Figaro. A la tête de cette équipe, David Plouffe, récemment recruté après avoir été le responsable de… la campagne présidentielle de Barack Obama en 2008.

Reste que, si son démenti est particulièrement clair, Mark Zuckerberg était malgré tout sorti de son habituelle réserve avant la dernière présidentielle américaine, période pendant laquelle il avait notamment pris position contre les déclarations hostiles aux musulmans de Donald Trump.

Il avait également indiqué préférer construire des ponts plutôt que des murs, en référence au projet du nouveau président américain de construire une séparation physique entre son pays et le Mexique.