C’est un enregistrement très gênant pour britannique. Des conversations privées enregistrées entre et des salariés de la banque Goldman Sachs, datant d’un mois avant le référendum, révèlent les inquiétudes de la Première ministre sur . Des propos en totale contradiction avec le discours tenu actuellement par la chef du gouvernement britannique, révèle .

« Je pense que les arguments économiques sont clairs. Je pense que faire partie d’un bloc commercial de 500 millions est important pour nous », déclare ainsi celle qui était encore à l’époque secrétaire d’Etat à l’Intérieur dans

« Si nous n’étions pas en Europe… »

« Je pense que le problème est que beaucoup de gens investiront au Royaume-Uni parce que le Royaume-Uni est . Si nous n’étions pas en Europe, je pense que les firmes et les entreprises se demanderaient s’ils ont besoin de développer une présence en Europe plutôt qu’au », détaille Theresa May.

Il y a quelques semaines, la Première ministre britannique avait provoqué des froncements de sourcils auprès des 27 pays de l’Europe en insistant sur l’idée d’appliquer un contrôle de l’immigration des citoyens de l’UE, s’orientant ainsi