SOCIETEChine: Les autorités ferment 66 terrains de golf

Chine: Les autorités ferment 66 terrains de golf

SOCIETELe sport y fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente...
20 Minutes avec agences

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La Chine communiste relance sa guerre du golf, loisir perçu comme «élitiste et bourgeois». Ainsi, les autorités communistes ont fermé 66 terrains «illégaux». Des fermetures, annoncées par un communiqué du ministère du Territoire et des Ressources naturelles, qui s'inscrivent dans un contexte de lutte contre le train de vie luxueux des hauts fonctionnaires de l'administration.

Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.

l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne

Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.


Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.


Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.


Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.

dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous

Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.


Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.


Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.

une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.


Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.


Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même"http://www.20minutes.fr/planete/1137845-20130415-20130415-chine-forets-hainan-detruites-protecteur-reduit-silence"> l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

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Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.


Ces parcours de golf, qui ne disposaient pas d'autorisation légale d'exploitation, sont répartis dans différentes régions du pays, notamment, pour trois d'entre eux, dans la capitale, Pékin. Et même l'île tropicale de Hainan, celle de la jet-set chinoise, fait les frais de cette campagne. Trois terrains ont été obligés d'y arrêter leur activité.

Une relation compliquée avec le golf

Il est vrai que le régime communiste chinois entretient une relation compliquée avec le golf, loisir qui fut un temps honni car classé parmi les passe-temps de la grande bourgeoisie étrangère, forcément décadente. Ainsi, le premier parcours en Chine a été seulement construit il y a trente ans. Depuis 2004, soit en une décennie, le nombre de golfs est passé de moins de 200 à plus de 600 aujourd'hui.

Le pays compte même le plus grand golf du monde, dans la métropole de Shenzhen, un «Mission Hills Golf Club» de 20 km2 offrant douze parcours de 18 trous, cela alors que le sport a parallèlement été réhabilité et, que, pour les jeux Olympiques de Pékin de 2008, un complexe d'entraînement de 80 millions de dollars a même été construit dans la capitale.

JO de Rio et paradoxes

Dans la perspective des JO-2016 de Rio, où le golf fait son retour après 112 années d'absence, la Chine est, paradoxalement, déjà engagée dans une course à la médaille d'or, en ayant envoyé ses jeunes éléments les plus doués dans les meilleures académies américaines.

Cependant, depuis deux ans, le numéro un communiste, Xi Jinping, affiche sa détermination à lutter contre les abus des officiels, convaincu qu'ils causent des ravages à l'image du Parti. De très nombreux cadres ont ainsi dû renoncer aux tapis rouges, aux banquets ostentatoires, aux liqueurs et cadeaux coûteux, ainsi qu'aux «extravagances» accompagnant leurs déplacements.

Sous un nom d'emprunt

Résultat de cette campagne d'austérité, les responsables ont désormais tendance à éviter les golfs et tout ce qui s'en rapproche. Selon Dan Washburn, auteur du livre Le jeu interdit: le golf et le rêve chinois, certains hauts fonctionnaires continuent toutefois à pratiquer leur «swing» le week-end, mais sous un nom d'emprunt.

A noter que la nouvelle de la fermeture des 66 golfs a été opportunément suivie par l'annonce, mardi, du placement sous enquête d'un haut dirigeant du ministère chinois du Commerce. Wang Shenyang est accusé d'avoir joué au golf, en violation du «règlement en huit points» édicté par Xi Jinping, censé permettre aux fonctionnaires de renouer avec les masses.