Corée du Sud: Le pays autorise l'adultère, et la Bourse s'affole
SOCIETE•Les relations extraconjugales étaient un délit passible de prison...20 Minutes avec agences
La Cour constitutionnelle de Corée du Sud a aboli, ce jeudi, une loi controversée sur l'adultère. Par sept voix contre deux, les juges ont décidé que ce texte datant de 1953 et visant à protéger les valeurs de la famille était anticonstitutionnel.
«Même si l'adultère doit être condamné comme étant immoral, la puissance publique ne doit pas intervenir dans la vie privée des individus», a, ainsi, expliqué le président de la Cour Park Han-Chul.
5.500 personnes poursuivies
C'est la cinquième fois que cette instance judiciaire suprême était appelée à examiner la légalité de ce texte qui faisait de la Corée du Sud l'un des rares pays non musulmans de la planète à considérer l'infidélité comme un acte criminel. Un délit d'ailleurs passible de prison depuis plus de 60 ans.
Au cours des six dernières années, près de 5.500 personnes ont été poursuivies pour délit d'adultère, dont près de 900 en 2014. Mais le nombre des inculpations était en déclin et les peines de prison de plus en plus rares. En 2004, 216 personnes ont été emprisonnées pour adultère, et 42 en 2008. Parmi lesquelles, Ok So-Ri, l'une des actrices sud-coréennes les plus connues, qui avait été condamnée à huit mois de prison avec sursis pour avoir entretenu une liaison extraconjugale. Depuis cette date, seules 22 personnes se sont retrouvées derrière les barreaux, selon le parquet.
L'action d'un fabricant de préservatifs grimpe à la Bourse de Séoul
Ces chiffres reflètent les changements survenus dans la société sud-coréenne, où la modernisation ultrarapide s'est souvent retrouvée en contradiction avec les traditions conservatrices. «La perception des droits individuels en matière de vie sexuelle a changé», a commenté le juge Park.
De son côté, Ahn Chan-Ho, l'un des juges hostiles à l'abolition, la loi de 1953 était un élément clé de la protection des valeurs familiales. L'abolir devrait « déclencher un déferlement de débauche ». Et l'action d'Unidus Corp, l'un des plus grands fabricants mondiaux de préservatifs, a, elle, grimpé de 15% à la Bourse de Séoul.
«Même si l'adultère doit être condamné comme étant immoral, la puissance publique ne doit pas intervenir dans la vie privée des individus», a, ainsi, expliqué le président de la Cour Park Han-Chul.
5.500 personnes poursuivies
C'est la cinquième fois que cette instance judiciaire suprême était appelée à examiner la légalité de ce texte qui faisait de la Corée du Sud l'un des rares pays non musulmans de la planète à considérer l'infidélité comme un acte criminel. Un délit d'ailleurs passible de prison depuis plus de 60 ans.
Au cours des six dernières années, près de 5.500 personnes ont été poursuivies pour délit d'adultère, dont près de 900 en 2014. Mais le nombre des inculpations était en déclin et les peines de prison de plus en plus rares. En 2004, 216 personnes ont été emprisonnées pour adultère, et 42 en 2008. Parmi lesquelles, Ok So-Ri, l'une des actrices sud-coréennes les plus connues, qui avait été condamnée à huit mois de prison avec sursis pour avoir entretenu une liaison extraconjugale. Depuis cette date, seules 22 personnes se sont retrouvées derrière les barreaux, selon le parquet.
L'action d'un fabricant de préservatifs grimpe à la Bourse de Séoul
Ces chiffres reflètent les changements survenus dans la société sud-coréenne, où la modernisation ultrarapide s'est souvent retrouvée en contradiction avec les traditions conservatrices. «La perception des droits individuels en matière de vie sexuelle a changé», a commenté le juge Park.
De son côté, Ahn Chan-Ho, l'un des juges hostiles à l'abolition, la loi de 1953 était un élément clé de la protection des valeurs familiales. L'abolir devrait « déclencher un déferlement de débauche ». Et l'action d'Unidus Corp, l'un des plus grands fabricants mondiaux de préservatifs, a, elle, grimpé de 15% à la Bourse de Séoul.
«Même si l'adultère doit être condamné comme étant immoral, la puissance publique ne doit pas intervenir dans la vie privée des individus», a, ainsi, expliqué le président de la Cour Park Han-Chul.
5.500 personnes poursuivies
C'est la cinquième fois que cette instance judiciaire suprême était appelée à examiner la légalité de ce texte qui faisait de la Corée du Sud l'un des rares pays non musulmans de la planète à considérer l'infidélité comme un acte criminel. Un délit d'ailleurs passible de prison depuis plus de 60 ans.
Au cours des six dernières années, près de 5.500 personnes ont été poursuivies pour délit d'adultère, dont près de 900 en 2014. Mais le nombre des inculpations était en déclin et les peines de prison de plus en plus rares. En 2004, 216 personnes ont été emprisonnées pour adultère, et 42 en 2008. Parmi lesquelles, Ok So-Ri, l'une des actrices sud-coréennes les plus connues, qui avait été condamnée à huit mois de prison avec sursis pour avoir entretenu une liaison extraconjugale. Depuis cette date, seules 22 personnes se sont retrouvées derrière les barreaux, selon le parquet.
L'action d'un fabricant de préservatifs grimpe à la Bourse de Séoul
Ces chiffres reflètent les changements survenus dans la société sud-coréenne, où la modernisation ultrarapide s'est souvent retrouvée en contradiction avec les traditions conservatrices. «La perception des droits individuels en matière de vie sexuelle a changé», a commenté le juge Park.
De son côté, Ahn Chan-Ho, l'un des juges hostiles à l'abolition, la loi de 1953 était un élément clé de la protection des valeurs familiales. L'abolir devrait « déclencher un déferlement de débauche ». Et l'action d'Unidus Corp, l'un des plus grands fabricants mondiaux de préservatifs, a, elle, grimpé de 15% à la Bourse de Séoul.
«Même si l'adultère doit être condamné comme étant immoral, la puissance publique ne doit pas intervenir dans la vie privée des individus», a, ainsi, expliqué le président de la Cour Park Han-Chul.
5.500 personnes poursuivies
C'est la cinquième fois que cette instance judiciaire suprême était appelée à examiner la légalité de ce texte qui faisait de la Corée du Sud l'un des rares pays non musulmans de la planète à considérer l'infidélité comme un acte criminel. Un délit d'ailleurs passible de prison depuis plus de 60 ans.
Au cours des six dernières années, près de 5.500 personnes ont été poursuivies pour délit d'adultère, dont près de 900 en 2014. Mais le nombre des inculpations était en déclin et les peines de prison de plus en plus rares. En 2004, 216 personnes ont été emprisonnées pour adultère, et 42 en 2008. Parmi lesquelles, Ok So-Ri, l'une des actrices sud-coréennes les plus connues, qui avait été condamnée à huit mois de prison avec sursis pour avoir entretenu une liaison extraconjugale. Depuis cette date, seules 22 personnes se sont retrouvées derrière les barreaux, selon le parquet.
L'action d'un fabricant de préservatifs grimpe à la Bourse de Séoul
Ces chiffres reflètent les changements survenus dans la société sud-coréenne, où la modernisation ultrarapide s'est souvent retrouvée en contradiction avec les traditions conservatrices. «La perception des droits individuels en matière de vie sexuelle a changé», a commenté le juge Park.
De son côté, Ahn Chan-Ho, l'un des juges hostiles à l'abolition, la loi de 1953 était un élément clé de la protection des valeurs familiales. L'abolir devrait « déclencher un déferlement de débauche ». Et l'action d'Unidus Corp, l'un des plus grands fabricants mondiaux de préservatifs, a, elle, grimpé de 15% à la Bourse de Séoul.
«Même si l'adultère doit être condamné comme étant immoral, la puissance publique ne doit pas intervenir dans la vie privée des individus», a, ainsi, expliqué le président de la Cour Park Han-Chul.
5.500 personnes poursuivies
C'est la cinquième fois que cette instance judiciaire suprême était appelée à examiner la légalité de ce texte qui faisait de la Corée du Sud l'un des rares pays non musulmans de la planète à considérer l'infidélité comme un acte criminel. Un délit d'ailleurs passible de prison depuis plus de 60 ans.
Au cours des six dernières années, près de 5.500 personnes ont été poursuivies pour délit d'adultère, dont près de 900 en 2014. Mais le nombre des inculpations était en déclin et les peines de prison de plus en plus rares. En 2004, 216 personnes ont été emprisonnées pour adultère, et 42 en 2008. Parmi lesquelles, Ok So-Ri, l'une des actrices sud-coréennes les plus connues, qui avait été condamnée à huit mois de prison avec sursis pour avoir entretenu une liaison extraconjugale. Depuis cette date, seules 22 personnes se sont retrouvées derrière les barreaux, selon le parquet.
L'action d'un fabricant de préservatifs grimpe à la Bourse de Séoul
Ces chiffres reflètent les changements survenus dans la société sud-coréenne, où la modernisation ultrarapide s'est souvent retrouvée en contradiction avec les traditions conservatrices. «La perception des droits individuels en matière de vie sexuelle a changé», a commenté le juge Park.
De son côté, Ahn Chan-Ho, l'un des juges hostiles à l'abolition, la loi de 1953 était un élément clé de la protection des valeurs familiales. L'abolir devrait « déclencher un déferlement de débauche ». Et l'action d'Unidus Corp, l'un des plus grands fabricants mondiaux de préservatifs, a, elle, grimpé de 15% à la Bourse de Séoul.
«Même si l'adultère doit être condamné comme étant immoral, la puissance publique ne doit pas intervenir dans la vie privée des individus», a, ainsi, expliqué le président de la Cour Park Han-Chul.
5.500 personnes poursuivies
C'est la cinquième fois que cette instance judiciaire suprême était appelée à examiner la légalité de ce texte qui faisait de la Corée du Sud l'un des rares pays non musulmans de la planète à considérer l'infidélité comme un acte criminel. Un délit d'ailleurs passible de prison depuis plus de 60 ans.
Au cours des six dernières années, près de 5.500 personnes ont été poursuivies pour délit d'adultère, dont près de 900 en 2014. Mais le nombre des inculpations était en déclin et les peines de prison de plus en plus rares. En 2004, 216 personnes ont été emprisonnées pour adultère, et 42 en 2008. Parmi lesquelles, Ok So-Ri, l'une des actrices sud-coréennes les plus connues, qui avait été condamnée à huit mois de prison avec sursis pour avoir entretenu une liaison extraconjugale. Depuis cette date, seules 22 personnes se sont retrouvées derrière les barreaux, selon le parquet.
L'action d'un fabricant de préservatifs grimpe à la Bourse de Séoul
Ces chiffres reflètent les changements survenus dans la société sud-coréenne, où la modernisation ultrarapide s'est souvent retrouvée en contradiction avec les traditions conservatrices. «La perception des droits individuels en matière de vie sexuelle a changé», a commenté le juge Park.
De son côté, Ahn Chan-Ho, l'un des juges hostiles à l'abolition, la loi de 1953 était un élément clé de la protection des valeurs familiales. L'abolir devrait « déclencher un déferlement de débauche ». Et l'action d'Unidus Corp, l'un des plus grands fabricants mondiaux de préservatifs, a, elle, grimpé de 15% à la Bourse de Séoul.
«Même si l'adultère doit être condamné comme étant immoral, la puissance publique ne doit pas intervenir dans la vie privée des individus», a, ainsi, expliqué le président de la Cour Park Han-Chul.
5.500 personnes poursuivies
C'est la cinquième fois que cette instance judiciaire suprême était appelée à examiner la légalité de ce texte qui faisait de la Corée du Sud l'un des rares pays non musulmans de la planète à considérer l'infidélité comme un acte criminel. Un délit d'ailleurs passible de prison depuis plus de 60 ans.
Au cours des six dernières années, près de 5.500 personnes ont été poursuivies pour délit d'adultère, dont près de 900 en 2014. Mais le nombre des inculpations était en déclin et les peines de prison de plus en plus rares. En 2004, 216 personnes ont été emprisonnées pour adultère, et 42 en 2008. Parmi lesquelles, Ok So-Ri, l'une des actrices sud-coréennes les plus connues, qui avait été condamnée à huit mois de prison avec sursis pour avoir entretenu une liaison extraconjugale. Depuis cette date, seules 22 personnes se sont retrouvées derrière les barreaux, selon le parquet.
L'action d'un fabricant de préservatifs grimpe à la Bourse de Séoul
Ces chiffres reflètent les changements survenus dans la société sud-coréenne, où la modernisation ultrarapide s'est souvent retrouvée en contradiction avec les traditions conservatrices. «La perception des droits individuels en matière de vie sexuelle a changé», a commenté le juge Park.
De son côté, Ahn Chan-Ho, l'un des juges hostiles à l'abolition, la loi de 1953 était un élément clé de la protection des valeurs familiales. L'abolir devrait « déclencher un déferlement de débauche ». Et l'action d'Unidus Corp, l'un des plus grands fabricants mondiaux de préservatifs, a, elle, grimpé de 15% à la Bourse de Séoul.
«Même si l'adultère doit être condamné comme étant immoral, la puissance publique ne doit pas intervenir dans la vie privée des individus», a, ainsi, expliqué le président de la Cour Park Han-Chul.
5.500 personnes poursuivies
C'est la cinquième fois que cette instance judiciaire suprême était appelée à examiner la légalité de ce texte qui faisait de la Corée du Sud l'un des rares pays non musulmans de la planète à considérer l'infidélité comme un acte criminel. Un délit d'ailleurs passible de prison depuis plus de 60 ans.
Au cours des six dernières années, près de 5.500 personnes ont été poursuivies pour délit d'adultère, dont près de 900 en 2014. Mais le nombre des inculpations était en déclin et les peines de prison de plus en plus rares. En 2004, 216 personnes ont été emprisonnées pour adultère, et 42 en 2008. Parmi lesquelles, Ok So-Ri, l'une des actrices sud-coréennes les plus connues, qui avait été condamnée à huit mois de prison avec sursis pour avoir entretenu une liaison extraconjugale. Depuis cette date, seules 22 personnes se sont retrouvées derrière les barreaux, selon le parquet.
L'action d'un fabricant de préservatifs grimpe à la Bourse de Séoul
Ces chiffres reflètent les changements survenus dans la société sud-coréenne, où la modernisation ultrarapide s'est souvent retrouvée en contradiction avec les traditions conservatrices. «La perception des droits individuels en matière de vie sexuelle a changé», a commenté le juge Park.
De son côté, Ahn Chan-Ho, l'un des juges hostiles à l'abolition, la loi de 1953 était un élément clé de la protection des valeurs familiales. L'abolir devrait « déclencher un déferlement de débauche ». Et l'action d'Unidus Corp, l'un des plus grands fabricants mondiaux de préservatifs, a, elle, grimpé de 15% à la Bourse de Séoul.