Le dictateur turkmène est mort
Le président du Turkménistan Saparmourat Niazov, est décédé jeudi à l'âge de 66 ans d'un arrêt cardiaque…«Le président est mort d'un arrêt cardiaque à 1h10» (20h10 GMT mercredi), a annoncé la télévision avec en fond d'écran un portrait du président encadré de noir.
Des «réunions spéciales» sont en cours au sein du gouvernement.
Des «réunions spéciales» sont en cours au sein du gouvernement.
Niazov, qui se faisait appeler Turkmenbachi ("Leader de tous les Turkmènes"), avait été nommé à la tête du Turkménistan en 1985 alors que cette république faisait encore partie de l'URSS.
Président à vie depuis 1999, il avait créé autour de lui et de certains membres de sa famille un culte délirant de la personnalité, fondement de son régime, l'un des plus répressifs et fermés au monde.
Toute forme d'opposition y est sévèrement réprimée. Turkmenbachi contrôlait toutes les arcanes du pouvoir, occupant aussi bien la présidence que les postes de chef de gouvernement et de dirigeant du seul parti politique autorisé.
Les observateurs craignent qu'en l'absence d'un successeur désigné, ceux qui étaient pressentis ayant été limogés ou emprisonnés, le Turkménistan ne bascule dans l'instabilité d'autant que Niazov, en établissant son régime totalitaire, a réduit à néant l'influence traditionnelle des clans turkmènes.
Niazov, qui se faisait appeler Turkmenbachi ("Leader de tous les Turkmènes"), avait été nommé à la tête du Turkménistan en 1985 alors que cette république faisait encore partie de l'URSS.
Président à vie depuis 1999, il avait créé autour de lui et de certains membres de sa famille un culte délirant de la personnalité, fondement de son régime, l'un des plus répressifs et fermés au monde.
Toute forme d'opposition y est sévèrement réprimée. Turkmenbachi contrôlait toutes les arcanes du pouvoir, occupant aussi bien la présidence que les postes de chef de gouvernement et de dirigeant du seul parti politique autorisé.
Les observateurs craignent qu'en l'absence d'un successeur désigné, ceux qui étaient pressentis ayant été limogés ou emprisonnés, le Turkménistan ne bascule dans l'instabilité d'autant que Niazov, en établissant son régime totalitaire, a réduit à néant l'influence traditionnelle des clans turkmènes.
Niazov, qui se faisait appeler Turkmenbachi ("Leader de tous les Turkmènes"), avait été nommé à la tête du Turkménistan en 1985 alors que cette république faisait encore partie de l'URSS.
Président à vie depuis 1999, il avait créé autour de lui et de certains membres de sa famille un culte délirant de la personnalité, fondement de son régime, l'un des plus répressifs et fermés au monde.
Toute forme d'opposition y est sévèrement réprimée. Turkmenbachi contrôlait toutes les arcanes du pouvoir, occupant aussi bien la présidence que les postes de chef de gouvernement et de dirigeant du seul parti politique autorisé.
Les observateurs craignent qu'en l'absence d'un successeur désigné, ceux qui étaient pressentis ayant été limogés ou emprisonnés, le Turkménistan ne bascule dans l'instabilité d'autant que Niazov, en établissant son régime totalitaire, a réduit à néant l'influence traditionnelle des clans turkmènes.
Niazov, qui se faisait appeler Turkmenbachi ("Leader de tous les Turkmènes"), avait été nommé à la tête du Turkménistan en 1985 alors que cette république faisait encore partie de l'URSS.
Président à vie depuis 1999, il avait créé autour de lui et de certains membres de sa famille un culte délirant de la personnalité, fondement de son régime, l'un des plus répressifs et fermés au monde.
Toute forme d'opposition y est sévèrement réprimée. Turkmenbachi contrôlait toutes les arcanes du pouvoir, occupant aussi bien la présidence que les postes de chef de gouvernement et de dirigeant du seul parti politique autorisé.
Les observateurs craignent qu'en l'absence d'un successeur désigné, ceux qui étaient pressentis ayant été limogés ou emprisonnés, le Turkménistan ne bascule dans l'instabilité d'autant que Niazov, en établissant son régime totalitaire, a réduit à néant l'influence traditionnelle des clans turkmènes.