FOOTBALLOL: Le Grand Stade va apprendre à se vider face à Bordeaux et Caen

OL: Le Grand Stade va apprendre à se vider face à Bordeaux et Caen

FOOTBALLAprès deux belles premières affluences, le nouvel écrin lyonnais devrait être dans une configuration à 33.000 places maximum le mercredi 3 février contre les Girondins...
Jérémy Laugier

Jérémy Laugier

Entre son inauguration (face à Troyes) le 9 janvier puis la prestigieuse réception de l’OM dimanche dernier, le Grand Stade était quasiment certain de faire le plein. Pour ses deux premiers rendez-vous très attendus, le nouvel écrin de l’OL a respectivement accueilli 55.169 puis 56.506 spectateurs. Avant de potentiellement viser le premier match à guichets fermés de sa jeune histoire, le 28 février contre le PSG, l’enceinte de Décines va découvrir les premières vraies difficultés de remplissage prévisibles en Ligue 1.

Le retour sur terre aura lieu mercredi 3 février en raison de l’adversaire (Bordeaux) mais surtout d’un horaire complexe pour un match de milieu de semaine (19 heures). Si bien que l’OL a pour le moment décidé de fermer toute la partie supérieure de son stade, afin de réduire les frais.

>> A lire aussi : Nos tops et nos flops pour la première de l’OL au Grand Stade

Une configuration à 33.000 spectateurs face à Caen aussi ?

Dans cette configuration, le stade pourra accueillir 33.000 supporters, ce qui devrait s’avérer suffisant au vu des réservations actuelles pour une rencontre qui n’aurait pas non plus réussi à remplir Gerland. Le scénario sera sans doute identique pour la rencontre suivante, le week-end du 12 au 14 février, avec la réception de Caen.

Au vu des décevantes affluences moyennes des stades de l’Euro 2016 à Lille (30.341 spectateurs), Saint-Etienne (29.515), Bordeaux (24.859) et à un degré moindre Marseille (43.556), Lyon (seulement 9e en Ligue 1) devrait limiter la casse dans cette deuxième partie de saison.

son inauguration (face à Troyes) le 9 janvier

Entre son inauguration (face à Troyes) le 9 janvier puis la prestigieuse réception de l’OM dimanche dernier, le Grand Stade était quasiment certain de faire le plein. Pour ses deux premiers rendez-vous très attendus, le nouvel écrin de l’OL a respectivement accueilli 55.169 puis 56.506 spectateurs. Avant de potentiellement viser le premier match à guichets fermés de sa jeune histoire, le 28 février contre le PSG, l’enceinte de Décines va découvrir les premières vraies difficultés de remplissage prévisibles en Ligue 1.

Le retour sur terre aura lieu mercredi 3 février en raison de l’adversaire (Bordeaux) mais surtout d’un horaire complexe pour un match de milieu de semaine (19 heures). Si bien que l’OL a pour le moment décidé de fermer toute la partie supérieure de son stade, afin de réduire les frais.

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Une configuration à 33.000 spectateurs face à Caen aussi ?

Dans cette configuration, le stade pourra accueillir 33.000 supporters, ce qui devrait s’avérer suffisant au vu des réservations actuelles pour une rencontre qui n’aurait pas non plus réussi à remplir Gerland. Le scénario sera sans doute identique pour la rencontre suivante, le week-end du 12 au 14 février, avec la réception de Caen.

Au vu des décevantes affluences moyennes des stades de l’Euro 2016 à Lille (30.341 spectateurs), Saint-Etienne (29.515), Bordeaux (24.859) et à un degré moindre Marseille (43.556), Lyon (seulement 9e en Ligue 1) devrait limiter la casse dans cette deuxième partie de saison.


Entre son inauguration (face à Troyes) le 9 janvier puis la prestigieuse réception de l’OM dimanche dernier, le Grand Stade était quasiment certain de faire le plein. Pour ses deux premiers rendez-vous très attendus, le nouvel écrin de l’OL a respectivement accueilli 55.169 puis 56.506 spectateurs. Avant de potentiellement viser le premier match à guichets fermés de sa jeune histoire, le 28 février contre le PSG, l’enceinte de Décines va découvrir les premières vraies difficultés de remplissage prévisibles en Ligue 1.

Le retour sur terre aura lieu mercredi 3 février en raison de l’adversaire (Bordeaux) mais surtout d’un horaire complexe pour un match de milieu de semaine (19 heures). Si bien que l’OL a pour le moment décidé de fermer toute la partie supérieure de son stade, afin de réduire les frais.

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Une configuration à 33.000 spectateurs face à Caen aussi ?

Dans cette configuration, le stade pourra accueillir 33.000 supporters, ce qui devrait s’avérer suffisant au vu des réservations actuelles pour une rencontre qui n’aurait pas non plus réussi à remplir Gerland. Le scénario sera sans doute identique pour la rencontre suivante, le week-end du 12 au 14 février, avec la réception de Caen.

Au vu des décevantes affluences moyennes des stades de l’Euro 2016 à Lille (30.341 spectateurs), Saint-Etienne (29.515), Bordeaux (24.859) et à un degré moindre Marseille (43.556), Lyon (seulement 9e en Ligue 1) devrait limiter la casse dans cette deuxième partie de saison.


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Entre son inauguration (face à Troyes) le 9 janvier puis la prestigieuse réception de l’OM dimanche dernier, le Grand Stade était quasiment certain de faire le plein. Pour ses deux premiers rendez-vous très attendus, le nouvel écrin de l’OL a respectivement accueilli 55.169 puis 56.506 spectateurs. Avant de potentiellement viser le premier match à guichets fermés de sa jeune histoire, le 28 février contre le PSG, l’enceinte de Décines va découvrir les premières vraies difficultés de remplissage prévisibles en Ligue 1.

Le retour sur terre aura lieu mercredi 3 février en raison de l’adversaire (Bordeaux) mais surtout d’un horaire complexe pour un match de milieu de semaine (19 heures). Si bien que l’OL a pour le moment décidé de fermer toute la partie supérieure de son stade, afin de réduire les frais.

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Une configuration à 33.000 spectateurs face à Caen aussi ?

Dans cette configuration, le stade pourra accueillir 33.000 supporters, ce qui devrait s’avérer suffisant au vu des réservations actuelles pour une rencontre qui n’aurait pas non plus réussi à remplir Gerland. Le scénario sera sans doute identique pour la rencontre suivante, le week-end du 12 au 14 février, avec la réception de Caen.

Au vu des décevantes affluences moyennes des stades de l’Euro 2016 à Lille (30.341 spectateurs), Saint-Etienne (29.515), Bordeaux (24.859) et à un degré moindre Marseille (43.556), Lyon (seulement 9e en Ligue 1) devrait limiter la casse dans cette deuxième partie de saison.


Entre son inauguration (face à Troyes) le 9 janvier puis la prestigieuse réception de l’OM dimanche dernier, le Grand Stade était quasiment certain de faire le plein. Pour ses deux premiers rendez-vous très attendus, le nouvel écrin de l’OL a respectivement accueilli 55.169 puis 56.506 spectateurs. Avant de potentiellement viser le premier match à guichets fermés de sa jeune histoire, le 28 février contre le PSG, l’enceinte de Décines va découvrir les premières vraies difficultés de remplissage prévisibles en Ligue 1.

Le retour sur terre aura lieu mercredi 3 février en raison de l’adversaire (Bordeaux) mais surtout d’un horaire complexe pour un match de milieu de semaine (19 heures). Si bien que l’OL a pour le moment décidé de fermer toute la partie supérieure de son stade, afin de réduire les frais.

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Une configuration à 33.000 spectateurs face à Caen aussi ?

Dans cette configuration, le stade pourra accueillir 33.000 supporters, ce qui devrait s’avérer suffisant au vu des réservations actuelles pour une rencontre qui n’aurait pas non plus réussi à remplir Gerland. Le scénario sera sans doute identique pour la rencontre suivante, le week-end du 12 au 14 février, avec la réception de Caen.

Au vu des décevantes affluences moyennes des stades de l’Euro 2016 à Lille (30.341 spectateurs), Saint-Etienne (29.515), Bordeaux (24.859) et à un degré moindre Marseille (43.556), Lyon (seulement 9e en Ligue 1) devrait limiter la casse dans cette deuxième partie de saison.


Entre son inauguration (face à Troyes) le 9 janvier puis la prestigieuse réception de l’OM dimanche dernier, le Grand Stade était quasiment certain de faire le plein. Pour ses deux premiers rendez-vous très attendus, le nouvel écrin de l’OL a respectivement accueilli 55.169 puis 56.506 spectateurs. Avant de potentiellement viser le premier match à guichets fermés de sa jeune histoire, le 28 février contre le PSG, l’enceinte de Décines va découvrir les premières vraies difficultés de remplissage prévisibles en Ligue 1.

Le retour sur terre aura lieu mercredi 3 février en raison de l’adversaire (Bordeaux) mais surtout d’un horaire complexe pour un match de milieu de semaine (19 heures). Si bien que l’OL a pour le moment décidé de fermer toute la partie supérieure de son stade, afin de réduire les frais.

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Une configuration à 33.000 spectateurs face à Caen aussi ?

Dans cette configuration, le stade pourra accueillir 33.000 supporters, ce qui devrait s’avérer suffisant au vu des réservations actuelles pour une rencontre qui n’aurait pas non plus réussi à remplir Gerland. Le scénario sera sans doute identique pour la rencontre suivante, le week-end du 12 au 14 février, avec la réception de Caen.

Au vu des décevantes affluences moyennes des stades de l’Euro 2016 à Lille (30.341 spectateurs), Saint-Etienne (29.515), Bordeaux (24.859) et à un degré moindre Marseille (43.556), Lyon (seulement 9e en Ligue 1) devrait limiter la casse dans cette deuxième partie de saison.

des décevantes affluences moyennes des stades de l’Euro 2016

Entre son inauguration (face à Troyes) le 9 janvier puis la prestigieuse réception de l’OM dimanche dernier, le Grand Stade était quasiment certain de faire le plein. Pour ses deux premiers rendez-vous très attendus, le nouvel écrin de l’OL a respectivement accueilli 55.169 puis 56.506 spectateurs. Avant de potentiellement viser le premier match à guichets fermés de sa jeune histoire, le 28 février contre le PSG, l’enceinte de Décines va découvrir les premières vraies difficultés de remplissage prévisibles en Ligue 1.

Le retour sur terre aura lieu mercredi 3 février en raison de l’adversaire (Bordeaux) mais surtout d’un horaire complexe pour un match de milieu de semaine (19 heures). Si bien que l’OL a pour le moment décidé de fermer toute la partie supérieure de son stade, afin de réduire les frais.

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Une configuration à 33.000 spectateurs face à Caen aussi ?

Dans cette configuration, le stade pourra accueillir 33.000 supporters, ce qui devrait s’avérer suffisant au vu des réservations actuelles pour une rencontre qui n’aurait pas non plus réussi à remplir Gerland. Le scénario sera sans doute identique pour la rencontre suivante, le week-end du 12 au 14 février, avec la réception de Caen.

Au vu des décevantes affluences moyennes des stades de l’Euro 2016 à Lille (30.341 spectateurs), Saint-Etienne (29.515), Bordeaux (24.859) et à un degré moindre Marseille (43.556), Lyon (seulement 9e en Ligue 1) devrait limiter la casse dans cette deuxième partie de saison.