"Quand as-tu vu ton père pour la dernière fois ?" de Alex Taylor chez Lattès (Paris, France)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Alex Taylor
- Genre : Biographies, mémoires, correspondances...
- Editeur : Lattès, Paris, France
- Prix : 17.00 €
- Date de sortie : 05/02/2014
- GENCOD : 9782709642231
Résumé
«Mon père possédait de vieilles pendules. Il passait son temps à réparer le temps. Je le vois, cheveux longs et rebelles, soulever avec précaution les cadrans de ces horloges qui ont marqué les innombrables o'clock de sa vie et de ma jeunesse.»
«Where do I belong ? À quel lieu j'appartiens ? Plus la maladie de mon père progresse, moins je sais ce que je fais là, largué entre ma vie à moi et sa mort à lui, sur cette construction vaudevillesque qu'est la jetée de la ville de Bognor. Mon vaste séjour linguistique prolongé en France prend de plus en plus des allures de fuite en avant, mais devant quoi au juste ?»
Parfois, il faut attendre des années pour que l'enfant ouvre devant l'adulte les valises cachées dans le grenier de leur mémoire commune. Alex Taylor nous offre un récit à la fois drôle et touchant sur l'identité et le déracinement.
Journaliste et producteur, Alex Taylor a animé de nombreuses émissions, notamment la célèbre Continentales. Il fait chaque matin la revue de presse internationale sur France Inter. Il a publié le Journal d'un apprenti pervers (Lattes, 2007) et Bouche bée, tout ouïe (Lattès, 2010).
Résumé
«Mon père possédait de vieilles pendules. Il passait son temps à réparer le temps. Je le vois, cheveux longs et rebelles, soulever avec précaution les cadrans de ces horloges qui ont marqué les innombrables o'clock de sa vie et de ma jeunesse.»
«Where do I belong ? À quel lieu j'appartiens ? Plus la maladie de mon père progresse, moins je sais ce que je fais là, largué entre ma vie à moi et sa mort à lui, sur cette construction vaudevillesque qu'est la jetée de la ville de Bognor. Mon vaste séjour linguistique prolongé en France prend de plus en plus des allures de fuite en avant, mais devant quoi au juste ?»
Parfois, il faut attendre des années pour que l'enfant ouvre devant l'adulte les valises cachées dans le grenier de leur mémoire commune. Alex Taylor nous offre un récit à la fois drôle et touchant sur l'identité et le déracinement.
Journaliste et producteur, Alex Taylor a animé de nombreuses émissions, notamment la célèbre Continentales. Il fait chaque matin la revue de presse internationale sur France Inter. Il a publié le Journal d'un apprenti pervers (Lattes, 2007) et Bouche bée, tout ouïe (Lattès, 2010).
Résumé
«Mon père possédait de vieilles pendules. Il passait son temps à réparer le temps. Je le vois, cheveux longs et rebelles, soulever avec précaution les cadrans de ces horloges qui ont marqué les innombrables o'clock de sa vie et de ma jeunesse.»
«Where do I belong ? À quel lieu j'appartiens ? Plus la maladie de mon père progresse, moins je sais ce que je fais là, largué entre ma vie à moi et sa mort à lui, sur cette construction vaudevillesque qu'est la jetée de la ville de Bognor. Mon vaste séjour linguistique prolongé en France prend de plus en plus des allures de fuite en avant, mais devant quoi au juste ?»
Parfois, il faut attendre des années pour que l'enfant ouvre devant l'adulte les valises cachées dans le grenier de leur mémoire commune. Alex Taylor nous offre un récit à la fois drôle et touchant sur l'identité et le déracinement.
Journaliste et producteur, Alex Taylor a animé de nombreuses émissions, notamment la célèbre Continentales. Il fait chaque matin la revue de presse internationale sur France Inter. Il a publié le Journal d'un apprenti pervers (Lattes, 2007) et Bouche bée, tout ouïe (Lattès, 2010).
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«Mon père possédait de vieilles pendules. Il passait son temps à réparer le temps. Je le vois, cheveux longs et rebelles, soulever avec précaution les cadrans de ces horloges qui ont marqué les innombrables o'clock de sa vie et de ma jeunesse.»
«Where do I belong ? À quel lieu j'appartiens ? Plus la maladie de mon père progresse, moins je sais ce que je fais là, largué entre ma vie à moi et sa mort à lui, sur cette construction vaudevillesque qu'est la jetée de la ville de Bognor. Mon vaste séjour linguistique prolongé en France prend de plus en plus des allures de fuite en avant, mais devant quoi au juste ?»
Parfois, il faut attendre des années pour que l'enfant ouvre devant l'adulte les valises cachées dans le grenier de leur mémoire commune. Alex Taylor nous offre un récit à la fois drôle et touchant sur l'identité et le déracinement.
Journaliste et producteur, Alex Taylor a animé de nombreuses émissions, notamment la célèbre Continentales. Il fait chaque matin la revue de presse internationale sur France Inter. Il a publié le Journal d'un apprenti pervers (Lattes, 2007) et Bouche bée, tout ouïe (Lattès, 2010).
Résumé
«Mon père possédait de vieilles pendules. Il passait son temps à réparer le temps. Je le vois, cheveux longs et rebelles, soulever avec précaution les cadrans de ces horloges qui ont marqué les innombrables o'clock de sa vie et de ma jeunesse.»
«Where do I belong ? À quel lieu j'appartiens ? Plus la maladie de mon père progresse, moins je sais ce que je fais là, largué entre ma vie à moi et sa mort à lui, sur cette construction vaudevillesque qu'est la jetée de la ville de Bognor. Mon vaste séjour linguistique prolongé en France prend de plus en plus des allures de fuite en avant, mais devant quoi au juste ?»
Parfois, il faut attendre des années pour que l'enfant ouvre devant l'adulte les valises cachées dans le grenier de leur mémoire commune. Alex Taylor nous offre un récit à la fois drôle et touchant sur l'identité et le déracinement.
Journaliste et producteur, Alex Taylor a animé de nombreuses émissions, notamment la célèbre Continentales. Il fait chaque matin la revue de presse internationale sur France Inter. Il a publié le Journal d'un apprenti pervers (Lattes, 2007) et Bouche bée, tout ouïe (Lattès, 2010).
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«Mon père possédait de vieilles pendules. Il passait son temps à réparer le temps. Je le vois, cheveux longs et rebelles, soulever avec précaution les cadrans de ces horloges qui ont marqué les innombrables o'clock de sa vie et de ma jeunesse.»
«Where do I belong ? À quel lieu j'appartiens ? Plus la maladie de mon père progresse, moins je sais ce que je fais là, largué entre ma vie à moi et sa mort à lui, sur cette construction vaudevillesque qu'est la jetée de la ville de Bognor. Mon vaste séjour linguistique prolongé en France prend de plus en plus des allures de fuite en avant, mais devant quoi au juste ?»
Parfois, il faut attendre des années pour que l'enfant ouvre devant l'adulte les valises cachées dans le grenier de leur mémoire commune. Alex Taylor nous offre un récit à la fois drôle et touchant sur l'identité et le déracinement.
Journaliste et producteur, Alex Taylor a animé de nombreuses émissions, notamment la célèbre Continentales. Il fait chaque matin la revue de presse internationale sur France Inter. Il a publié le Journal d'un apprenti pervers (Lattes, 2007) et Bouche bée, tout ouïe (Lattès, 2010).
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«Mon père possédait de vieilles pendules. Il passait son temps à réparer le temps. Je le vois, cheveux longs et rebelles, soulever avec précaution les cadrans de ces horloges qui ont marqué les innombrables o'clock de sa vie et de ma jeunesse.»
«Where do I belong ? À quel lieu j'appartiens ? Plus la maladie de mon père progresse, moins je sais ce que je fais là, largué entre ma vie à moi et sa mort à lui, sur cette construction vaudevillesque qu'est la jetée de la ville de Bognor. Mon vaste séjour linguistique prolongé en France prend de plus en plus des allures de fuite en avant, mais devant quoi au juste ?»
Parfois, il faut attendre des années pour que l'enfant ouvre devant l'adulte les valises cachées dans le grenier de leur mémoire commune. Alex Taylor nous offre un récit à la fois drôle et touchant sur l'identité et le déracinement.
Journaliste et producteur, Alex Taylor a animé de nombreuses émissions, notamment la célèbre Continentales. Il fait chaque matin la revue de presse internationale sur France Inter. Il a publié le Journal d'un apprenti pervers (Lattes, 2007) et Bouche bée, tout ouïe (Lattès, 2010).
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«Where do I belong ? À quel lieu j'appartiens ? Plus la maladie de mon père progresse, moins je sais ce que je fais là, largué entre ma vie à moi et sa mort à lui, sur cette construction vaudevillesque qu'est la jetée de la ville de Bognor. Mon vaste séjour linguistique prolongé en France prend de plus en plus des allures de fuite en avant, mais devant quoi au juste ?»
Parfois, il faut attendre des années pour que l'enfant ouvre devant l'adulte les valises cachées dans le grenier de leur mémoire commune. Alex Taylor nous offre un récit à la fois drôle et touchant sur l'identité et le déracinement.
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La revue de presse : Gérard Lefort - Libération du 13 février 2014
De la casse des souvenirs remontent le bruit des angoisses, la rumeur des petites misères et des grandes douleurs, mais aussi, y compris au coeur de la pire tristesse, la ritournelle des histoires drôles, le legato des situations cocasses...
Alex Taylor écrit dans un français d'autant plus précis qu'il n'est pas sa langue maternelle. C'est le privilège des personnes intercontinentales, feux follets notoires, que d'inventer des langues minoritaires, entre chien et loup, langue étrange plus qu'étrangère, à ce titre presque inquiétante, une langue go between qui laisse filer la caillasse des grands mots et ne retient que la poudre d'or du mot juste.
La revue de presse : Gérard Lefort - Libération du 13 février 2014
De la casse des souvenirs remontent le bruit des angoisses, la rumeur des petites misères et des grandes douleurs, mais aussi, y compris au coeur de la pire tristesse, la ritournelle des histoires drôles, le legato des situations cocasses...
Alex Taylor écrit dans un français d'autant plus précis qu'il n'est pas sa langue maternelle. C'est le privilège des personnes intercontinentales, feux follets notoires, que d'inventer des langues minoritaires, entre chien et loup, langue étrange plus qu'étrangère, à ce titre presque inquiétante, une langue go between qui laisse filer la caillasse des grands mots et ne retient que la poudre d'or du mot juste.
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