"Le trésor perdu de la finance folle" de Jean-Joseph Goux chez Blusson (Paris, France)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Jean-Joseph Goux
- Genre : Economie
- Editeur : Blusson, Paris, France
- Prix : 16.00 €
- Date de sortie : 16/04/2013
- GENCOD : 9782907784276
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
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«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
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«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
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«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Résumé
«La valeur de la monnaie repose sur une fiction.»
(Milton Friedman)
«Argent fou», «folie des marchés», «finance folle», «capitalisme fou» : la crise qui secoue le monde économique a fait surgir un vocabulaire inquiétant.
Pourquoi folie ? Qu'est-ce qui impose partout ce terme extrême ? Depuis la disparition de la convertibilité-or et le flottement des monnaies, qui entraînent la disparition de tout trésor stable, et l'écroulement de pyramides de dettes entrecroisées, ce terme de folie n'est-il pas profondément justifié ? Plus justifié encore que le sensationnalisme journalistique et politique lui-même ne pourrait le penser ?
Ne voit-on pas que toutes les valeurs, non seulement économiques et financières, mais aussi esthétiques, éthiques, politiques, sont entraînées dans le même mouvement qui les désancre de toute mesure stable, de tout «trésor» fixe, pour les soumettre à des équilibres toujours momentanés, des bulles, des paniques, en un mécanisme rappelant celui de la Bourse ?
Prolongeant, dans l'après-crise de 2008, des analyses philosophiques qui avaient étonnamment anticipé cette crise majeure, l'auteur explore les contours et les conséquences de cette conjoncture affolante où le monde se trouve aujourd'hui précipité.
JEAN-JOSEPH GOUX
Philosophe, Professeur à l'Université de Rice (Houston, USA), Jean-Joseph Goux développe une pratique pluridisciplinaire : entre philosophie, économie, psychanalyse et esthétique, son travail trace le champ d'une «économie symbolique». Principaux ouvrages : Les Monnayeurs du langage (Galilée, 1984), Frivolité de la valeur, essai sur l'imaginaire du capitalisme (Blusson, 2000), Accrochages, conflits du visuel (Ed. Des Femmes, 2007), Renversements (Ed. Des Femmes, 2009), L'Art et l'argent (Blusson, 2011).
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
<div>
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
<div>
Courrie
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
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1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
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1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
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Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
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Courrier des auteurs le 29/05/2013
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Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
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1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
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Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
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1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
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Courrier des auteurs le 29/05
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.
Courrier des auteurs le 29/05/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Les intersections entre la philosophie et l'économie sont anciennes et nombreuses. Ce terrain m'intéresse depuis longtemps et la situation de profonde crise, aujourd'hui, invite à y revenir. Je suis un philosophe qui parle d'économie, mais aussi d'art et de beaucoup d'autres choses.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les crises monétaires et financières d'aujourd'hui sont des crises du signe et de la représentation qui rappellent ce qui s'est passé naguère dans les arts, avec le cubisme et l'art abstrait. C'est tout le rapport au réel, à la vérité, qui a changé.
L'inconvertibilité de la monnaie ouvre un abîme. La notion de "thésaurisation" est bouleversée.
Les signes renvoient aux signes dans un jeu indéfini. "Les promesses de payer", que sont les signes monétaires et financiers, s'entrecroisent en des pyramides de dettes de plus en plus complexes, qui n'ont plus de fondation.
Personne ne peut mesurer le degré de solidité ou de fragilité de ce système sans assises réelles.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Ce pourrait être la dernière phrase : " A l'époque de la finance dactylographe, aucune main invisible ne protège plus de la chute".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Une musique de Pierre Boulez, avec des éléments de percussions, de saxophone, et de surprises électroacoustiques comme "Dialogue de l'ombre double" de 2001.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
J'aimerais partager un sentiment d'effroi. L'idée que "la finance folle" n'est pas seulement une façon de parler.