"Dictionnaire amoureux de la Bretagne" de Yann Queffélec chez Plon (Paris, France)

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en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Yann Queffélec
  • Genre : Histoire
  • Editeur : Plon, Paris, France
  • Prix : 25.00 €
  • Date de sortie : 02/05/2013
  • GENCOD : 9782259186100

Résumé

Ma Bretagne est d'Armor, le pays dans la mer. Elle est d'Armor, elle est d'Argoat - mer et forêts -, arrimée par l'ouest à ses destinées atlantiques, et par l'est à la pointe aiguë du socle européen.
On y allait en train quand j'étais enfant. Le Paris-Brest à vapeur des années 50, la moleskine olivâtre du compartiment pour huit, les oeufs durs écalés sur les genoux, neuf heures de rail sans voir la mer ou si peu vers Saint-Brieuc.
Ma Bretagne est d'abord le pays des miens. Ma mère, Yvonne, la première à me bercer de chansons marines et d'histoires. Mon père, Henri Queffélec, l'homme et l'écrivain que j'ai le plus admiré, le bel indifférent aux yeux d'horizon.
Entre nous, l'Armor est mon pays usuel, mon pays définitif, j'y naîtrai toujours.

Yann Queffélec obtient le prix Goncourt en 1985 pour son roman Les Noces barbares (Gallimard). Il est aussi l'auteur du Charme noir (Gallimard), de Boris après l'amour (Fayard), de Ma première femme (Fayard) et des Sables du Jubaland (Plon).


Résumé

Ma Bretagne est d'Armor, le pays dans la mer. Elle est d'Armor, elle est d'Argoat - mer et forêts -, arrimée par l'ouest à ses destinées atlantiques, et par l'est à la pointe aiguë du socle européen.
On y allait en train quand j'étais enfant. Le Paris-Brest à vapeur des années 50, la moleskine olivâtre du compartiment pour huit, les oeufs durs écalés sur les genoux, neuf heures de rail sans voir la mer ou si peu vers Saint-Brieuc.
Ma Bretagne est d'abord le pays des miens. Ma mère, Yvonne, la première à me bercer de chansons marines et d'histoires. Mon père, Henri Queffélec, l'homme et l'écrivain que j'ai le plus admiré, le bel indifférent aux yeux d'horizon.
Entre nous, l'Armor est mon pays usuel, mon pays définitif, j'y naîtrai toujours.

Yann Queffélec obtient le prix Goncourt en 1985 pour son roman Les Noces barbares (Gallimard). Il est aussi l'auteur du Charme noir (Gallimard), de Boris après l'amour (Fayard), de Ma première femme (Fayard) et des Sables du Jubaland (Plon).


Résumé

Ma Bretagne est d'Armor, le pays dans la mer. Elle est d'Armor, elle est d'Argoat - mer et forêts -, arrimée par l'ouest à ses destinées atlantiques, et par l'est à la pointe aiguë du socle européen.
On y allait en train quand j'étais enfant. Le Paris-Brest à vapeur des années 50, la moleskine olivâtre du compartiment pour huit, les oeufs durs écalés sur les genoux, neuf heures de rail sans voir la mer ou si peu vers Saint-Brieuc.
Ma Bretagne est d'abord le pays des miens. Ma mère, Yvonne, la première à me bercer de chansons marines et d'histoires. Mon père, Henri Queffélec, l'homme et l'écrivain que j'ai le plus admiré, le bel indifférent aux yeux d'horizon.
Entre nous, l'Armor est mon pays usuel, mon pays définitif, j'y naîtrai toujours.

Yann Queffélec obtient le prix Goncourt en 1985 pour son roman Les Noces barbares (Gallimard). Il est aussi l'auteur du Charme noir (Gallimard), de Boris après l'amour (Fayard), de Ma première femme (Fayard) et des Sables du Jubaland (Plon).


Résumé

Ma Bretagne est d'Armor, le pays dans la mer. Elle est d'Armor, elle est d'Argoat - mer et forêts -, arrimée par l'ouest à ses destinées atlantiques, et par l'est à la pointe aiguë du socle européen.
On y allait en train quand j'étais enfant. Le Paris-Brest à vapeur des années 50, la moleskine olivâtre du compartiment pour huit, les oeufs durs écalés sur les genoux, neuf heures de rail sans voir la mer ou si peu vers Saint-Brieuc.
Ma Bretagne est d'abord le pays des miens. Ma mère, Yvonne, la première à me bercer de chansons marines et d'histoires. Mon père, Henri Queffélec, l'homme et l'écrivain que j'ai le plus admiré, le bel indifférent aux yeux d'horizon.
Entre nous, l'Armor est mon pays usuel, mon pays définitif, j'y naîtrai toujours.

Yann Queffélec obtient le prix Goncourt en 1985 pour son roman Les Noces barbares (Gallimard). Il est aussi l'auteur du Charme noir (Gallimard), de Boris après l'amour (Fayard), de Ma première femme (Fayard) et des Sables du Jubaland (Plon).


Résumé

Ma Bretagne est d'Armor, le pays dans la mer. Elle est d'Armor, elle est d'Argoat - mer et forêts -, arrimée par l'ouest à ses destinées atlantiques, et par l'est à la pointe aiguë du socle européen.
On y allait en train quand j'étais enfant. Le Paris-Brest à vapeur des années 50, la moleskine olivâtre du compartiment pour huit, les oeufs durs écalés sur les genoux, neuf heures de rail sans voir la mer ou si peu vers Saint-Brieuc.
Ma Bretagne est d'abord le pays des miens. Ma mère, Yvonne, la première à me bercer de chansons marines et d'histoires. Mon père, Henri Queffélec, l'homme et l'écrivain que j'ai le plus admiré, le bel indifférent aux yeux d'horizon.
Entre nous, l'Armor est mon pays usuel, mon pays définitif, j'y naîtrai toujours.

Yann Queffélec obtient le prix Goncourt en 1985 pour son roman Les Noces barbares (Gallimard). Il est aussi l'auteur du Charme noir (Gallimard), de Boris après l'amour (Fayard), de Ma première femme (Fayard) et des Sables du Jubaland (Plon).


Résumé

Ma Bretagne est d'Armor, le pays dans la mer. Elle est d'Armor, elle est d'Argoat - mer et forêts -, arrimée par l'ouest à ses destinées atlantiques, et par l'est à la pointe aiguë du socle européen.
On y allait en train quand j'étais enfant. Le Paris-Brest à vapeur des années 50, la moleskine olivâtre du compartiment pour huit, les oeufs durs écalés sur les genoux, neuf heures de rail sans voir la mer ou si peu vers Saint-Brieuc.
Ma Bretagne est d'abord le pays des miens. Ma mère, Yvonne, la première à me bercer de chansons marines et d'histoires. Mon père, Henri Queffélec, l'homme et l'écrivain que j'ai le plus admiré, le bel indifférent aux yeux d'horizon.
Entre nous, l'Armor est mon pays usuel, mon pays définitif, j'y naîtrai toujours.

Yann Queffélec obtient le prix Goncourt en 1985 pour son roman Les Noces barbares (Gallimard). Il est aussi l'auteur du Charme noir (Gallimard), de Boris après l'amour (Fayard), de Ma première femme (Fayard) et des Sables du Jubaland (Plon).


Résumé

Ma Bretagne est d'Armor, le pays dans la mer. Elle est d'Armor, elle est d'Argoat - mer et forêts -, arrimée par l'ouest à ses destinées atlantiques, et par l'est à la pointe aiguë du socle européen.
On y allait en train quand j'étais enfant. Le Paris-Brest à vapeur des années 50, la moleskine olivâtre du compartiment pour huit, les oeufs durs écalés sur les genoux, neuf heures de rail sans voir la mer ou si peu vers Saint-Brieuc.
Ma Bretagne est d'abord le pays des miens. Ma mère, Yvonne, la première à me bercer de chansons marines et d'histoires. Mon père, Henri Queffélec, l'homme et l'écrivain que j'ai le plus admiré, le bel indifférent aux yeux d'horizon.
Entre nous, l'Armor est mon pays usuel, mon pays définitif, j'y naîtrai toujours.

Yann Queffélec obtient le prix Goncourt en 1985 pour son roman Les Noces barbares (Gallimard). Il est aussi l'auteur du Charme noir (Gallimard), de Boris après l'amour (Fayard), de Ma première femme (Fayard) et des Sables du Jubaland (Plon).


Résumé

Ma Bretagne est d'Armor, le pays dans la mer. Elle est d'Armor, elle est d'Argoat - mer et forêts -, arrimée par l'ouest à ses destinées atlantiques, et par l'est à la pointe aiguë du socle européen.
On y allait en train quand j'étais enfant. Le Paris-Brest à vapeur des années 50, la moleskine olivâtre du compartiment pour huit, les oeufs durs écalés sur les genoux, neuf heures de rail sans voir la mer ou si peu vers Saint-Brieuc.
Ma Bretagne est d'abord le pays des miens. Ma mère, Yvonne, la première à me bercer de chansons marines et d'histoires. Mon père, Henri Queffélec, l'homme et l'écrivain que j'ai le plus admiré, le bel indifférent aux yeux d'horizon.
Entre nous, l'Armor est mon pays usuel, mon pays définitif, j'y naîtrai toujours.

Yann Queffélec obtient le prix Goncourt en 1985 pour son roman Les Noces barbares (Gallimard). Il est aussi l'auteur du Charme noir (Gallimard), de Boris après l'amour (Fayard), de Ma première femme (Fayard) et des Sables du Jubaland (Plon).

La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

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L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

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Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.

Brest

La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.


La revue de presse : Gilles Pudlowski - Le Point du 20 juin 2013

Une région ? Un pays. Avec sa langue, ses hérauts, ses légendes, ses complexes aussi, et surtout sa force d'émotion. Chargée d'enfance, rituelle, ensorceleuse, la Bretagne de Yann Queffélec est partiale. Non partielle. Elle est un monde, elle est univers, comme dit le poète Saint-Pol-Roux. Elle chante, festoie, sans oublier de manger autant que de bien boire et surtout de s'émouvoir...
Il faut lire ce livre-confession non comme un dictionnaire, mais comme une litanie foisonnante et lyrique. En près de 800 pages, voilà un chant d'amour élevé à un pays druidique, un peu sorcier, synonyme de terre dans la mer, de pêche et de grand vent, de houle et de passion.

La revue de presse : Bernard Géniès - Le Nouvel Observateur du 6 juin 2013

Véritable roman familial, ce dictionnaire aux accents intimes nous permet de découvrir une Bretagne féconde et généreuse, mais aussi un Queffélec inédit, rieur comme une mouette, tendre comme un agneau. On y croise Eric Tabarly, Bernard Giraudeau, Marie Cloarec (la gouvernante de ses grands-parents), Louis Guilloux, Paul Gauguin. Des fantômes du passé ? En les convoquant dans cette aventure lumineuse, Yann Queffélec célèbre ce qu'il appelle (évoquant les fêtes maritimes de Brest) «les noces de la mémoire et du moment». Avouons-le, ce sont de belles noces.

La revue de presse : Irène Frain - Paris-Match, mai 2013

Il aurait fallu intituler ce livre « Dictionnaire passionné de la Bretagne ». Yann Queffélec y déclare sa flamme à ­l'Armorique comme on l'a rarement fait...
On se retrouve donc à le suivre de Brest à Lorient, de Guérande à Saint-Malo et de saint Yves à Tabarly. Toujours aussi brillant, l'animal Queffélec, qu'il affronte les longues houles venues de l'ère des druides, les coups de chien des temps de la duchesse Anne ou la tragédie de l'émigration. C'est qu'il a réglé son bouquin sur le cap le plus sûr qui soit  : l'autobiographie. Du coup, dans une prose force 10 qui vous fouette les sangs, un français qui semble parler breton tant il est nourri du « penser breton », ses pages fendent hardiment la mer et les flots, telle la frégate de la chanson...
Si le lecteur a entamé ce dictionnaire le soir, il ne le lâchera qu'aux petites heures du matin et fatalement il y reviendra le soir suivant. Pas moyen d'y grappiller comme on le fait des palourdes dans les anses de l'aber Vrac'h ou des mûres sur les talus de Sainte-Anne-d'Auray. Il faut remonter le fil de A jusqu'à Z, explorer avec Yann les terres de sa jeunesse, où les odeurs, saveurs, couleurs - la poésie, pour tout dire - jaillissent des pages.

La revue de presse : Sébastien Lapaque - Le Figaro du 2 mai 2013

L'auteur, prix Goncourt de 1985, sort Dictionnaire amoureux de la Bretagne, un livre-hommage à la région qui habite son coeur. C'est un abécédaire haut en couleurs qui retrace curiosités locales et itinéraire personnel...
Il est ainsi très émouvant de découvrir qu'un des plus beaux articles du copieux dictionnaire amoureux de Yann Queffélec est celui qu'il a consacré à son père Henri, normalien de la promotion de Julien Gracq et de Georges Pompidou et fameux romancier de la mer...
Yann Queffélec n'est pas émouvant seulement dans cet article, il l'est dans chaque page de livre : enfant des eaux noires et des grandes marées, arrière-petit-neveu littéraire de François-René de Chateaubriand, c'est un écorché vif, un écrivain à la sensibilité à fleur de peau...
Dans son livre, c'est toute la Bretagne qu'il a entassée en désordre : terre, mer, livres, histoire, hommes, bateaux, bulots, îles, folklore, cochons, goélands, chansons, poèmes, cuisine, paysages. Il faut donc lire Queffélec.

La revue de presse : Luc Le Vaillant - Libération du 16 mai 2013

Queffélec est né à Paris. Il y a grandi et y réside toujours même s'il possède un lieu de vacances du côté de Douarnenez. Il vit la Bretagne en échappées belles, en rêveries fantasmées. Il a souvent pensé s'y installer, sans s'y résoudre jamais. Il a le coeur à marée haute de ceux qui se demandent pourquoi ils ne sacrifient pas tout à cet absolu qui l'est beaucoup moins vécu au quotidien. Cela n'empêche pas l'amour intransigeant des amants éperdus...
Reconnaissons qu'il aime tout aussi allègrement le cheval d'orgueil et le cheval couché, l'ormeau en fricassée et l'araignée mayonnaise, la pluie d'aujourd'hui et celle de demain. Et que cela vaut absolution aux pays des saints en carton-pâte.

La revue de presse : Nathalie Crom - Télérama du 15 mai 2013

Invité à se plier aux règles du jeu du «Dictionnaire amoureux» et des multiples entrées thématiques qu'il suppose, le romancier Yann Queffélec fait bien mieux que relever le défi de façon érudite : autour de la Bretagne, ses ports et ses rivages, ses villes et ses îles, ses spécialités culinaires et ses saints, son histoire et ses grands hommes (Saint-Pol-Roux, Tabarly...), il compose, au fil des pages et des récits qui s'enchaînent, une partition autobiographique prenante, tout ensemble vigoureuse et profonde, vivante et émouvante.

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