"Le chasseur de lucioles" de Janis Otsiemi chez Jigal (Marseille, France)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Janis Otsiemi
- Genre : Policiers
- Editeur : Jigal, Marseille, France
- Prix : 16.00 €
- Date de sortie : 15/02/2012
- GENCOD : 9782914704830
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Résumé
À Libreville, une prostituée est découverte sauvagement assassinée dans un motel de la périphérie. Les agents de la PJ - de fidèles abonnés des bordels de la capitale - pensent tout d'abord à un crime de rôdeur...
Quand une seconde fille est retrouvée égorgée dans un autre hôtel du quartier, les policiers sont encore loin d'imaginer qu'ils ont affaire à un client bien décidé à nettoyer la ville de toutes ses lucioles...
Celui qui te veut du mal la nuit a commencé à t'en vouloir le jour.
C'est dans ce climat de psychose générale que les gendarmes de la DGR enquêtent de leur côté sur le braquage d'un fourgon de la Société Gabonaise de Sécurité dont le butin de plusieurs millions de francs CFA attise bien des appétits...
Janis OTSIEMI est né en 1976 à Franceville au Gabon. Il vit et travaille à Libreville. Il a publié plusieurs romans, poèmes et essais au Gabon où il a reçu en 2001 Le Prix du Premier Roman gabonais. Depuis 2007, il est Secrétaire Général adjoint de l'Union des Écrivains Gabonais. Janis OTSIEMI est un digne représentant de ce qu'on pourrait appeler le «polar de la brousse»... Roman social et urbain, style (très) direct, récit émaillé d'expressions savoureuses, Janis OTSIEMI signe des romans miroir de la société gabonaise telle qu'il la vit et la perçoit aujourd'hui ! Il a obtenu le Prix du Roman Gabonais pour "La vie est un sale boulot" UNE RÉVÉLATION...
Le choix des libraires : choisi le 10/03/2012 par Joël Gastellier de la librairie L'ÉTOILE POLAR à NANTES, France
«La manie que j'ai eue dès l'enfance d'apprendre des langues étrangères m'a sans doute fait considérer très tôt le français parlé comme un langage très différent du français écrit.»
Nul doute que Raymond Queneau se serait délecté des termes du français parlé au Gabon utilisés par Janis Otsiemi. L'auteur nous propose une nouvelle fois d'appréhender le quotidien des Librevillois aux prises avec une corruption omniprésente et une défaillance généralisée de l'Etat. Un pays ravagé par «la maladie du siècle», ce SIDA que d'aucuns ont rebaptisé «syndrome inventé pour décourager les amoureux», comme une fuite en avant que certains s'autorisent à travers les mots pendant que d'autres le font avec l'argent. Tous veulent en avoir, des jeunes délinquants aux flics ripoux, sans parler de ceux qui tirent profit de l'explosion du marché de «la cuisse tarifée». Alors qu'un ancien officier de police est retrouvé mort sur la plage du Tropicana, les enquêteurs vont justement devoir fait face au vent de panique qui souffle sur les lupanars de Libreville en mettant la main sur un tueur en série.
Bien que «Le chasseur de lucioles» marque une étape dans le travail de Janis Otsiemi (plusieurs enquêtes se croisent, voire se rencontrent), il n'en reste pas moins attaché à la dimension sociale qui lui est chère en posant un regard critique sur un pays où le tribalisme, le népotisme et le clientélisme semblent ne pas avoir de limite. Un pays où le vrai tueur en série serait plutôt «ces politiciens qui confondent l'argent du contribuable avec leur portefeuille». S'il n'est pas dans les intentions de l'auteur de révolutionner l'art de l'intrigue, il se fait assurément le scribe d'une oralité où les gabonismes et autres proverbes imagés nous précipitent dans un monde à la fois nôtre et étranger. Une véritable langue accolant, mélangeant, créant : inventive, sensible et poétique. Mais il est vrai, comme le soulignait déjà Louis-Ferdinand Céline, que «l'émotion ne peut être captée et transcrite qu'à travers le langage parlé... le souvenir du langage parlé !».
Le choix des libraires : choisi le 10/03/2012 par Joël Gastellier de la librairie L'ÉTOILE POLAR à NANTES, France
«La manie que j'ai eue dès l'enfance d'apprendre des langues étrangères m'a sans doute fait considérer très tôt le français parlé comme un langage très différent du français écrit.»
Nul doute que Raymond Queneau se serait délecté des termes du français parlé au Gabon utilisés par Janis Otsiemi. L'auteur nous propose une nouvelle fois d'appréhender le quotidien des Librevillois aux prises avec une corruption omniprésente et une défaillance généralisée de l'Etat. Un pays ravagé par «la maladie du siècle», ce SIDA que d'aucuns ont rebaptisé «syndrome inventé pour décourager les amoureux», comme une fuite en avant que certains s'autorisent à travers les mots pendant que d'autres le font avec l'argent. Tous veulent en avoir, des jeunes délinquants aux flics ripoux, sans parler de ceux qui tirent profit de l'explosion du marché de «la cuisse tarifée». Alors qu'un ancien officier de police est retrouvé mort sur la plage du Tropicana, les enquêteurs vont justement devoir fait face au vent de panique qui souffle sur les lupanars de Libreville en mettant la main sur un tueur en série.
Bien que «Le chasseur de lucioles» marque une étape dans le travail de Janis Otsiemi (plusieurs enquêtes se croisent, voire se rencontrent), il n'en reste pas moins attaché à la dimension sociale qui lui est chère en posant un regard critique sur un pays où le tribalisme, le népotisme et le clientélisme semblent ne pas avoir de limite. Un pays où le vrai tueur en série serait plutôt «ces politiciens qui confondent l'argent du contribuable avec leur portefeuille». S'il n'est pas dans les intentions de l'auteur de révolutionner l'art de l'intrigue, il se fait assurément le scribe d'une oralité où les gabonismes et autres proverbes imagés nous précipitent dans un monde à la fois nôtre et étranger. Une véritable langue accolant, mélangeant, créant : inventive, sensible et poétique. Mais il est vrai, comme le soulignait déjà Louis-Ferdinand Céline, que «l'émotion ne peut être captée et transcrite qu'à travers le langage parlé... le souvenir du langage parlé !».
Le choix des libraires : choisi le 10/03/2012 par Joël Gastellier de la librairie L'ÉTOILE POLAR à NANTES, France
«La manie que j'ai eue dès l'enfance d'apprendre des langues étrangères m'a sans doute fait considérer très tôt le français parlé comme un langage très différent du français écrit.»
Nul doute que Raymond Queneau se serait délecté des termes du français parlé au Gabon utilisés par Janis Otsiemi. L'auteur nous propose une nouvelle fois d'appréhender le quotidien des Librevillois aux prises avec une corruption omniprésente et une défaillance généralisée de l'Etat. Un pays ravagé par «la maladie du siècle», ce SIDA que d'aucuns ont rebaptisé «syndrome inventé pour décourager les amoureux», comme une fuite en avant que certains s'autorisent à travers les mots pendant que d'autres le font avec l'argent. Tous veulent en avoir, des jeunes délinquants aux flics ripoux, sans parler de ceux qui tirent profit de l'explosion du marché de «la cuisse tarifée». Alors qu'un ancien officier de police est retrouvé mort sur la plage du Tropicana, les enquêteurs vont justement devoir fait face au vent de panique qui souffle sur les lupanars de Libreville en mettant la main sur un tueur en série.
Bien que «Le chasseur de lucioles» marque une étape dans le travail de Janis Otsiemi (plusieurs enquêtes se croisent, voire se rencontrent), il n'en reste pas moins attaché à la dimension sociale qui lui est chère en posant un regard critique sur un pays où le tribalisme, le népotisme et le clientélisme semblent ne pas avoir de limite. Un pays où le vrai tueur en série serait plutôt «ces politiciens qui confondent l'argent du contribuable avec leur portefeuille». S'il n'est pas dans les intentions de l'auteur de révolutionner l'art de l'intrigue, il se fait assurément le scribe d'une oralité où les gabonismes et autres proverbes imagés nous précipitent dans un monde à la fois nôtre et étranger. Une véritable langue accolant, mélangeant, créant : inventive, sensible et poétique. Mais il est vrai, comme le soulignait déjà Louis-Ferdinand Céline, que «l'émotion ne peut être captée et transcrite qu'à travers le langage parlé... le souvenir du langage parlé !».
Le choix des libraires : choisi le 10/03/2012 par Joël Gastellier de la librairie L'ÉTOILE POLAR à NANTES, France
«La manie que j'ai eue dès l'enfance d'apprendre des langues étrangères m'a sans doute fait considérer très tôt le français parlé comme un langage très différent du français écrit.»
Nul doute que Raymond Queneau se serait délecté des termes du français parlé au Gabon utilisés par Janis Otsiemi. L'auteur nous propose une nouvelle fois d'appréhender le quotidien des Librevillois aux prises avec une corruption omniprésente et une défaillance généralisée de l'Etat. Un pays ravagé par «la maladie du siècle», ce SIDA que d'aucuns ont rebaptisé «syndrome inventé pour décourager les amoureux», comme une fuite en avant que certains s'autorisent à travers les mots pendant que d'autres le font avec l'argent. Tous veulent en avoir, des jeunes délinquants aux flics ripoux, sans parler de ceux qui tirent profit de l'explosion du marché de «la cuisse tarifée». Alors qu'un ancien officier de police est retrouvé mort sur la plage du Tropicana, les enquêteurs vont justement devoir fait face au vent de panique qui souffle sur les lupanars de Libreville en mettant la main sur un tueur en série.
Bien que «Le chasseur de lucioles» marque une étape dans le travail de Janis Otsiemi (plusieurs enquêtes se croisent, voire se rencontrent), il n'en reste pas moins attaché à la dimension sociale qui lui est chère en posant un regard critique sur un pays où le tribalisme, le népotisme et le clientélisme semblent ne pas avoir de limite. Un pays où le vrai tueur en série serait plutôt «ces politiciens qui confondent l'argent du contribuable avec leur portefeuille». S'il n'est pas dans les intentions de l'auteur de révolutionner l'art de l'intrigue, il se fait assurément le scribe d'une oralité où les gabonismes et autres proverbes imagés nous précipitent dans un monde à la fois nôtre et étranger. Une véritable langue accolant, mélangeant, créant : inventive, sensible et poétique. Mais il est vrai, comme le soulignait déjà Louis-Ferdinand Céline, que «l'émotion ne peut être captée et transcrite qu'à travers le langage parlé... le souvenir du langage parlé !».
Le choix des libraires : choisi le 10/03/2012 par Joël Gastellier de la librairie L'ÉTOILE POLAR à NANTES, France
«La manie que j'ai eue dès l'enfance d'apprendre des langues étrangères m'a sans doute fait considérer très tôt le français parlé comme un langage très différent du français écrit.»
Nul doute que Raymond Queneau se serait délecté des termes du français parlé au Gabon utilisés par Janis Otsiemi. L'auteur nous propose une nouvelle fois d'appréhender le quotidien des Librevillois aux prises avec une corruption omniprésente et une défaillance généralisée de l'Etat. Un pays ravagé par «la maladie du siècle», ce SIDA que d'aucuns ont rebaptisé «syndrome inventé pour décourager les amoureux», comme une fuite en avant que certains s'autorisent à travers les mots pendant que d'autres le font avec l'argent. Tous veulent en avoir, des jeunes délinquants aux flics ripoux, sans parler de ceux qui tirent profit de l'explosion du marché de «la cuisse tarifée». Alors qu'un ancien officier de police est retrouvé mort sur la plage du Tropicana, les enquêteurs vont justement devoir fait face au vent de panique qui souffle sur les lupanars de Libreville en mettant la main sur un tueur en série.
Bien que «Le chasseur de lucioles» marque une étape dans le travail de Janis Otsiemi (plusieurs enquêtes se croisent, voire se rencontrent), il n'en reste pas moins attaché à la dimension sociale qui lui est chère en posant un regard critique sur un pays où le tribalisme, le népotisme et le clientélisme semblent ne pas avoir de limite. Un pays où le vrai tueur en série serait plutôt «ces politiciens qui confondent l'argent du contribuable avec leur portefeuille». S'il n'est pas dans les intentions de l'auteur de révolutionner l'art de l'intrigue, il se fait assurément le scribe d'une oralité où les gabonismes et autres proverbes imagés nous précipitent dans un monde à la fois nôtre et étranger. Une véritable langue accolant, mélangeant, créant : inventive, sensible et poétique. Mais il est vrai, comme le soulignait déjà Louis-Ferdinand Céline, que «l'émotion ne peut être captée et transcrite qu'à travers le langage parlé... le souvenir du langage parlé !».
Le choix des libraires : choisi le 10/03/2012 par Joël Gastellier de la librairie L'ÉTOILE POLAR à NANTES, France
«La manie que j'ai eue dès l'enfance d'apprendre des langues étrangères m'a sans doute fait considérer très tôt le français parlé comme un langage très différent du français écrit.»
Nul doute que Raymond Queneau se serait délecté des termes du français parlé au Gabon utilisés par Janis Otsiemi. L'auteur nous propose une nouvelle fois d'appréhender le quotidien des Librevillois aux prises avec une corruption omniprésente et une défaillance généralisée de l'Etat. Un pays ravagé par «la maladie du siècle», ce SIDA que d'aucuns ont rebaptisé «syndrome inventé pour décourager les amoureux», comme une fuite en avant que certains s'autorisent à travers les mots pendant que d'autres le font avec l'argent. Tous veulent en avoir, des jeunes délinquants aux flics ripoux, sans parler de ceux qui tirent profit de l'explosion du marché de «la cuisse tarifée». Alors qu'un ancien officier de police est retrouvé mort sur la plage du Tropicana, les enquêteurs vont justement devoir fait face au vent de panique qui souffle sur les lupanars de Libreville en mettant la main sur un tueur en série.
Bien que «Le chasseur de lucioles» marque une étape dans le travail de Janis Otsiemi (plusieurs enquêtes se croisent, voire se rencontrent), il n'en reste pas moins attaché à la dimension sociale qui lui est chère en posant un regard critique sur un pays où le tribalisme, le népotisme et le clientélisme semblent ne pas avoir de limite. Un pays où le vrai tueur en série serait plutôt «ces politiciens qui confondent l'argent du contribuable avec leur portefeuille». S'il n'est pas dans les intentions de l'auteur de révolutionner l'art de l'intrigue, il se fait assurément le scribe d'une oralité où les gabonismes et autres proverbes imagés nous précipitent dans un monde à la fois nôtre et étranger. Une véritable langue accolant, mélangeant, créant : inventive, sensible et poétique. Mais il est vrai, comme le soulignait déjà Louis-Ferdinand Céline, que «l'émotion ne peut être captée et transcrite qu'à travers le langage parlé... le souvenir du langage parlé !».
La revue de presse : Valérie Marin La Meslée - Le Point du 28 mars 2013
Plusieurs intrigues se croisent dans ce roman branché sur l'énergie d'un quotidien désespérant mais jamais désespéré. Auteur d'essais politiques, Janis Otsiemi dégaine ses polars comme autant de cartouches de liberté. Comme il dope son écriture d'un argot local débridé, ça devient un feu d'artifice ! On savoure.
La revue de presse : Valérie Marin La Meslée - Le Point du 28 mars 2013
Plusieurs intrigues se croisent dans ce roman branché sur l'énergie d'un quotidien désespérant mais jamais désespéré. Auteur d'essais politiques, Janis Otsiemi dégaine ses polars comme autant de cartouches de liberté. Comme il dope son écriture d'un argot local débridé, ça devient un feu d'artifice ! On savoure.
La revue de presse : Valérie Marin La Meslée - Le Point du 28 mars 2013
Plusieurs intrigues se croisent dans ce roman branché sur l'énergie d'un quotidien désespérant mais jamais désespéré. Auteur d'essais politiques, Janis Otsiemi dégaine ses polars comme autant de cartouches de liberté. Comme il dope son écriture d'un argot local débridé, ça devient un feu d'artifice ! On savoure.