"L'instrument de musique : une étude philosophique" de Bernard Sève chez Seuil (Paris, France)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Bernard Sève
- Genre : Musique, Chansons
- Editeur : Seuil, Paris, France
- Prix : 25.00 €
- Date de sortie : 21/03/2013
- GENCOD : 9782021011845
Résumé
L'humanité a inventé environ 12 000 types d'instruments de musique, chacun exprimant une facette de l'imagination humaine. De façon étonnante, la philosophie néglige cet objet dont se sont depuis longtemps emparés acousticiens, musicologues, ethno-musicologues et historiens.
Relevant le défi d'une étude philosophique, Bernard Sève montre que la musique, cet art si singulier, commence pour ainsi dire avec l'usage des instruments : c'est la «condition organologique de la musique». L'instrument, inscrit dans le temps historique dont il porte les marques, construit le temps musical de l'oeuvre ou de l'improvisation. Il joue un rôle central dans l'ontologie de l'oeuvre musicale : la musique est le seul art dont les instruments sont utilisés tout au long de la réalisation de l'oeuvre. Une fois le tableau achevé, le peintre n'a plus besoin de son pinceau; mais, la partition terminée, le musicien a plus que jamais besoin des instruments. En jouant l'oeuvre, l'instrument passe de son corps physique à son corps musical, quand le corps naturel de l'instrumentiste se fait corps musicien.
Ainsi placé sous un jour inédit, l'instrument de musique est ici rendu à sa place essentielle.
Bernard Sève est professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'université Lille 3. Il est notamment l'auteur de La Question philosophique de l'existence de Dieu (PUR 2000), de L'Altération musicale, ou Ce que la musique apprend au philosophe (Seuil, 2002, réédition avec une préface inédite, 2013) et de De haut en bas. Philosophie des listes (Seuil, 2010).
Résumé
L'humanité a inventé environ 12 000 types d'instruments de musique, chacun exprimant une facette de l'imagination humaine. De façon étonnante, la philosophie néglige cet objet dont se sont depuis longtemps emparés acousticiens, musicologues, ethno-musicologues et historiens.
Relevant le défi d'une étude philosophique, Bernard Sève montre que la musique, cet art si singulier, commence pour ainsi dire avec l'usage des instruments : c'est la «condition organologique de la musique». L'instrument, inscrit dans le temps historique dont il porte les marques, construit le temps musical de l'oeuvre ou de l'improvisation. Il joue un rôle central dans l'ontologie de l'oeuvre musicale : la musique est le seul art dont les instruments sont utilisés tout au long de la réalisation de l'oeuvre. Une fois le tableau achevé, le peintre n'a plus besoin de son pinceau; mais, la partition terminée, le musicien a plus que jamais besoin des instruments. En jouant l'oeuvre, l'instrument passe de son corps physique à son corps musical, quand le corps naturel de l'instrumentiste se fait corps musicien.
Ainsi placé sous un jour inédit, l'instrument de musique est ici rendu à sa place essentielle.
Bernard Sève est professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'université Lille 3. Il est notamment l'auteur de La Question philosophique de l'existence de Dieu (PUR 2000), de L'Altération musicale, ou Ce que la musique apprend au philosophe (Seuil, 2002, réédition avec une préface inédite, 2013) et de De haut en bas. Philosophie des listes (Seuil, 2010).
Résumé
L'humanité a inventé environ 12 000 types d'instruments de musique, chacun exprimant une facette de l'imagination humaine. De façon étonnante, la philosophie néglige cet objet dont se sont depuis longtemps emparés acousticiens, musicologues, ethno-musicologues et historiens.
Relevant le défi d'une étude philosophique, Bernard Sève montre que la musique, cet art si singulier, commence pour ainsi dire avec l'usage des instruments : c'est la «condition organologique de la musique». L'instrument, inscrit dans le temps historique dont il porte les marques, construit le temps musical de l'oeuvre ou de l'improvisation. Il joue un rôle central dans l'ontologie de l'oeuvre musicale : la musique est le seul art dont les instruments sont utilisés tout au long de la réalisation de l'oeuvre. Une fois le tableau achevé, le peintre n'a plus besoin de son pinceau; mais, la partition terminée, le musicien a plus que jamais besoin des instruments. En jouant l'oeuvre, l'instrument passe de son corps physique à son corps musical, quand le corps naturel de l'instrumentiste se fait corps musicien.
Ainsi placé sous un jour inédit, l'instrument de musique est ici rendu à sa place essentielle.
Bernard Sève est professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'université Lille 3. Il est notamment l'auteur de La Question philosophique de l'existence de Dieu (PUR 2000), de L'Altération musicale, ou Ce que la musique apprend au philosophe (Seuil, 2002, réédition avec une préface inédite, 2013) et de De haut en bas. Philosophie des listes (Seuil, 2010).
Résumé
L'humanité a inventé environ 12 000 types d'instruments de musique, chacun exprimant une facette de l'imagination humaine. De façon étonnante, la philosophie néglige cet objet dont se sont depuis longtemps emparés acousticiens, musicologues, ethno-musicologues et historiens.
Relevant le défi d'une étude philosophique, Bernard Sève montre que la musique, cet art si singulier, commence pour ainsi dire avec l'usage des instruments : c'est la «condition organologique de la musique». L'instrument, inscrit dans le temps historique dont il porte les marques, construit le temps musical de l'oeuvre ou de l'improvisation. Il joue un rôle central dans l'ontologie de l'oeuvre musicale : la musique est le seul art dont les instruments sont utilisés tout au long de la réalisation de l'oeuvre. Une fois le tableau achevé, le peintre n'a plus besoin de son pinceau; mais, la partition terminée, le musicien a plus que jamais besoin des instruments. En jouant l'oeuvre, l'instrument passe de son corps physique à son corps musical, quand le corps naturel de l'instrumentiste se fait corps musicien.
Ainsi placé sous un jour inédit, l'instrument de musique est ici rendu à sa place essentielle.
Bernard Sève est professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'université Lille 3. Il est notamment l'auteur de La Question philosophique de l'existence de Dieu (PUR 2000), de L'Altération musicale, ou Ce que la musique apprend au philosophe (Seuil, 2002, réédition avec une préface inédite, 2013) et de De haut en bas. Philosophie des listes (Seuil, 2010).
Résumé
L'humanité a inventé environ 12 000 types d'instruments de musique, chacun exprimant une facette de l'imagination humaine. De façon étonnante, la philosophie néglige cet objet dont se sont depuis longtemps emparés acousticiens, musicologues, ethno-musicologues et historiens.
Relevant le défi d'une étude philosophique, Bernard Sève montre que la musique, cet art si singulier, commence pour ainsi dire avec l'usage des instruments : c'est la «condition organologique de la musique». L'instrument, inscrit dans le temps historique dont il porte les marques, construit le temps musical de l'oeuvre ou de l'improvisation. Il joue un rôle central dans l'ontologie de l'oeuvre musicale : la musique est le seul art dont les instruments sont utilisés tout au long de la réalisation de l'oeuvre. Une fois le tableau achevé, le peintre n'a plus besoin de son pinceau; mais, la partition terminée, le musicien a plus que jamais besoin des instruments. En jouant l'oeuvre, l'instrument passe de son corps physique à son corps musical, quand le corps naturel de l'instrumentiste se fait corps musicien.
Ainsi placé sous un jour inédit, l'instrument de musique est ici rendu à sa place essentielle.
Bernard Sève est professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'université Lille 3. Il est notamment l'auteur de La Question philosophique de l'existence de Dieu (PUR 2000), de L'Altération musicale, ou Ce que la musique apprend au philosophe (Seuil, 2002, réédition avec une préface inédite, 2013) et de De haut en bas. Philosophie des listes (Seuil, 2010).
Résumé
L'humanité a inventé environ 12 000 types d'instruments de musique, chacun exprimant une facette de l'imagination humaine. De façon étonnante, la philosophie néglige cet objet dont se sont depuis longtemps emparés acousticiens, musicologues, ethno-musicologues et historiens.
Relevant le défi d'une étude philosophique, Bernard Sève montre que la musique, cet art si singulier, commence pour ainsi dire avec l'usage des instruments : c'est la «condition organologique de la musique». L'instrument, inscrit dans le temps historique dont il porte les marques, construit le temps musical de l'oeuvre ou de l'improvisation. Il joue un rôle central dans l'ontologie de l'oeuvre musicale : la musique est le seul art dont les instruments sont utilisés tout au long de la réalisation de l'oeuvre. Une fois le tableau achevé, le peintre n'a plus besoin de son pinceau; mais, la partition terminée, le musicien a plus que jamais besoin des instruments. En jouant l'oeuvre, l'instrument passe de son corps physique à son corps musical, quand le corps naturel de l'instrumentiste se fait corps musicien.
Ainsi placé sous un jour inédit, l'instrument de musique est ici rendu à sa place essentielle.
Bernard Sève est professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'université Lille 3. Il est notamment l'auteur de La Question philosophique de l'existence de Dieu (PUR 2000), de L'Altération musicale, ou Ce que la musique apprend au philosophe (Seuil, 2002, réédition avec une préface inédite, 2013) et de De haut en bas. Philosophie des listes (Seuil, 2010).
Résumé
L'humanité a inventé environ 12 000 types d'instruments de musique, chacun exprimant une facette de l'imagination humaine. De façon étonnante, la philosophie néglige cet objet dont se sont depuis longtemps emparés acousticiens, musicologues, ethno-musicologues et historiens.
Relevant le défi d'une étude philosophique, Bernard Sève montre que la musique, cet art si singulier, commence pour ainsi dire avec l'usage des instruments : c'est la «condition organologique de la musique». L'instrument, inscrit dans le temps historique dont il porte les marques, construit le temps musical de l'oeuvre ou de l'improvisation. Il joue un rôle central dans l'ontologie de l'oeuvre musicale : la musique est le seul art dont les instruments sont utilisés tout au long de la réalisation de l'oeuvre. Une fois le tableau achevé, le peintre n'a plus besoin de son pinceau; mais, la partition terminée, le musicien a plus que jamais besoin des instruments. En jouant l'oeuvre, l'instrument passe de son corps physique à son corps musical, quand le corps naturel de l'instrumentiste se fait corps musicien.
Ainsi placé sous un jour inédit, l'instrument de musique est ici rendu à sa place essentielle.
Bernard Sève est professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'université Lille 3. Il est notamment l'auteur de La Question philosophique de l'existence de Dieu (PUR 2000), de L'Altération musicale, ou Ce que la musique apprend au philosophe (Seuil, 2002, réédition avec une préface inédite, 2013) et de De haut en bas. Philosophie des listes (Seuil, 2010).
Résumé
L'humanité a inventé environ 12 000 types d'instruments de musique, chacun exprimant une facette de l'imagination humaine. De façon étonnante, la philosophie néglige cet objet dont se sont depuis longtemps emparés acousticiens, musicologues, ethno-musicologues et historiens.
Relevant le défi d'une étude philosophique, Bernard Sève montre que la musique, cet art si singulier, commence pour ainsi dire avec l'usage des instruments : c'est la «condition organologique de la musique». L'instrument, inscrit dans le temps historique dont il porte les marques, construit le temps musical de l'oeuvre ou de l'improvisation. Il joue un rôle central dans l'ontologie de l'oeuvre musicale : la musique est le seul art dont les instruments sont utilisés tout au long de la réalisation de l'oeuvre. Une fois le tableau achevé, le peintre n'a plus besoin de son pinceau; mais, la partition terminée, le musicien a plus que jamais besoin des instruments. En jouant l'oeuvre, l'instrument passe de son corps physique à son corps musical, quand le corps naturel de l'instrumentiste se fait corps musicien.
Ainsi placé sous un jour inédit, l'instrument de musique est ici rendu à sa place essentielle.
Bernard Sève est professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'université Lille 3. Il est notamment l'auteur de La Question philosophique de l'existence de Dieu (PUR 2000), de L'Altération musicale, ou Ce que la musique apprend au philosophe (Seuil, 2002, réédition avec une préface inédite, 2013) et de De haut en bas. Philosophie des listes (Seuil, 2010).
La revue de presse : François Noudelmann - Le Monde du 2 mai 2013
Dans le film de Fellini Répétition d'orchestre (1978), chaque instrumentiste affirme avec superbe sa spécificité. Si le chef d'orchestre peine à les remettre à leur place, un philosophe pourrait les accorder par une définition commune. Telle est l'ambition de Bernard Sève, avec L'Instrument de musique. La musicologie a trop longtemps délaissé les instruments, peut-être à cause de leur trop grand nombre, des milliers dans l'histoire des humanités. Pourtant, observe Sève, ils sont consubstantiels aux oeuvres musicales, et même à l'homme, leur inventeur. Du coup le philosophe cherche à définir leur essence : à la différence des outils, ils ne remplissent pas une fonction utilitaire et proviennent de l'imagination libre, disposée à la beauté. Leur multiplicité se résume dans un " universel anthropologique " qui se répartit en divers genres et formes qu'il importe de classer.
La revue de presse : François Noudelmann - Le Monde du 2 mai 2013
Dans le film de Fellini Répétition d'orchestre (1978), chaque instrumentiste affirme avec superbe sa spécificité. Si le chef d'orchestre peine à les remettre à leur place, un philosophe pourrait les accorder par une définition commune. Telle est l'ambition de Bernard Sève, avec L'Instrument de musique. La musicologie a trop longtemps délaissé les instruments, peut-être à cause de leur trop grand nombre, des milliers dans l'histoire des humanités. Pourtant, observe Sève, ils sont consubstantiels aux oeuvres musicales, et même à l'homme, leur inventeur. Du coup le philosophe cherche à définir leur essence : à la différence des outils, ils ne remplissent pas une fonction utilitaire et proviennent de l'imagination libre, disposée à la beauté. Leur multiplicité se résume dans un " universel anthropologique " qui se répartit en divers genres et formes qu'il importe de classer.
La revue de presse : François Noudelmann - Le Monde du 2 mai 2013
Dans le film de Fellini Répétition d'orchestre (1978), chaque instrumentiste affirme avec superbe sa spécificité. Si le chef d'orchestre peine à les remettre à leur place, un philosophe pourrait les accorder par une définition commune. Telle est l'ambition de Bernard Sève, avec L'Instrument de musique. La musicologie a trop longtemps délaissé les instruments, peut-être à cause de leur trop grand nombre, des milliers dans l'histoire des humanités. Pourtant, observe Sève, ils sont consubstantiels aux oeuvres musicales, et même à l'homme, leur inventeur. Du coup le philosophe cherche à définir leur essence : à la différence des outils, ils ne remplissent pas une fonction utilitaire et proviennent de l'imagination libre, disposée à la beauté. Leur multiplicité se résume dans un " universel anthropologique " qui se répartit en divers genres et formes qu'il importe de classer.