"Philémon. Volume 16, Le train où vont les choses..." de Fred chez Dargaud (Paris, France)

"Philémon. Volume 16, Le train où vont les choses..." de Fred chez Dargaud (Paris, France)

en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Fred
  • Genre : Bandes dessinées
  • Editeur : Dargaud, Paris, France
  • Prix : 13.99 €
  • Date de sortie : 22/02/2013
  • GENCOD : 9782205037418

Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.


Résumé

Apparu pour la première fois dans le journal Pilote en 1965, Philémon représente la quintessence de l'oeuvre de Fred. Poésie, absurde, humour, mélancolie et aventure : Fred a réinventé le genre, innové et bousculé les codes établis de la bande dessinée.

L'auteur nous propose enfin, après vingt-six ans d'absence, le dernier voyage de Philémon. Fred met ainsi sa touche finale tout en revenant aux origines de l'histoire, près de ce puits où tout bascula...

Dans le brouillard qui recouvre le marais, Philémon rencontre une drôle de machine, improbable cocktail de ferraille et d'animalité (au regard si doux) qui émet des blurp-pschiiiiiit de détresse. C'est la loco à pattes, ou plutôt la légendaire lokoapattes - celle qui marche à la vapeur d'imagination et tire le train où vont les choses. Mais, justement, elle ne marche plus : elle s'est embourbée car Joachim Bougon, chauffeur de lokoapattes de père en fils, s'est assoupi un instant. Et pendant que Bougon bougonne, Philémon cherche une idée pour la faire repartir.

Jadis, Fred avait inventé un bateau ivrogne, frère putatif du bateau ivre de Rimbaud, qui carburait au rhum. Cette fois, il invente la machine à imaginer, celle qui l'a fait lui-même carburer toute sa vie et qui est restée dans ses cartons pendant vingt-cinq ans. Fred avait dessiné le début de cette histoire, mais quelques problèmes de santé l'ont fait dévier. La voici enfin, et elle boucle en beauté l'aventure d'un p't'it gars à pull rayé, qui, tombé au fond d'un puits en 1965, a passé sa vie à voyager dans le monde des lettres, le monde des deux soleils. Humour complice, poésie de l'absurde, mélancolie, insolente liberté, imaginaire hors norme - tout Fred est là, et ce Train où vont les choses... est déjà "culte", comme on dit, puisqu'il clôt la série.

Né à Paris le 5 mars 1931, Fred (Othon Aristidès) publie depuis l'âge de vingt ans ses dessins d'humour dans de nombreuses revues françaises et étrangères. Directeur artistique de Hara-Kiri dès 1960, il y crée notamment Les Petits Métiers et Le Petit Cirque. En 1965, il rejoint Pilote, où il donne naissance à Philémon, série qui s'achève sur ce seizième album. Auteur de chansons pour Jacques Dutronc, il a adapté en BD le Journal de Jules Renard et signé plusieurs romans graphiques chez Dargaud, dont L'histoire du Corbac aux baskets (1993) et L'Histoire du conteur électrique (1995). Abondamment primé, il a reçu, entre autres, le grand Prix d'Angoulême en 1983. Angoulême lui a également consacré une très belle exposition rétrospective en janvier 2012.

La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

La revue de presse : Stéphane Beaujean - Les Inrocks, mars 2013

Dernier épisode des aventures du héros dessiné par Fred depuis 1965. Une issue glaciale et sans appel. Les plus sensibles d'entre nous ont éprouvé un attachement unique pour Philémon. Ce jeune homme vêtu d'une marinière bleue et blanche aura guidé sa petite troupe de lecteurs le long de seize aventures extravagantes, au coeur des «lettres de l'océan Atlantique», territoire poétique qui ne connut nulle autre règle que celles de la fantaisie. Tout pouvait y arriver, et d'ailleurs tout arriva...
Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

La revue de presse : Frédéric Potet - Le Monde du 14 mars 2013

Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

La revue de presse : Stéphane Beaujean - Les Inrocks, mars 2013

Dernier épisode des aventures du héros dessiné par Fred depuis 1965. Une issue glaciale et sans appel. Les plus sensibles d'entre nous ont éprouvé un attachement unique pour Philémon. Ce jeune homme vêtu d'une marinière bleue et blanche aura guidé sa petite troupe de lecteurs le long de seize aventures extravagantes, au coeur des «lettres de l'océan Atlantique», territoire poétique qui ne connut nulle autre règle que celles de la fantaisie. Tout pouvait y arriver, et d'ailleurs tout arriva...
Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

La revue de presse : Frédéric Potet - Le Monde du 14 mars 2013

Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

La revue de presse : Stéphane Beaujean - Les Inrocks, mars 2013

Dernier épisode des aventures du héros dessiné par Fred depuis 1965. Une issue glaciale et sans appel. Les plus sensibles d'entre nous ont éprouvé un attachement unique pour Philémon. Ce jeune homme vêtu d'une marinière bleue et blanche aura guidé sa petite troupe de lecteurs le long de seize aventures extravagantes, au coeur des «lettres de l'océan Atlantique», territoire poétique qui ne connut nulle autre règle que celles de la fantaisie. Tout pouvait y arriver, et d'ailleurs tout arriva...
Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

La revue de presse : Frédéric Potet - Le Monde du 14 mars 2013

Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

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Dernier épisode des aventures du héros dessiné par Fred depuis 1965. Une issue glaciale et sans appel. Les plus sensibles d'entre nous ont éprouvé un attachement unique pour Philémon. Ce jeune homme vêtu d'une marinière bleue et blanche aura guidé sa petite troupe de lecteurs le long de seize aventures extravagantes, au coeur des «lettres de l'océan Atlantique», territoire poétique qui ne connut nulle autre règle que celles de la fantaisie. Tout pouvait y arriver, et d'ailleurs tout arriva...
Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

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Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

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A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

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Dernier épisode des aventures du héros dessiné par Fred depuis 1965. Une issue glaciale et sans appel. Les plus sensibles d'entre nous ont éprouvé un attachement unique pour Philémon. Ce jeune homme vêtu d'une marinière bleue et blanche aura guidé sa petite troupe de lecteurs le long de seize aventures extravagantes, au coeur des «lettres de l'océan Atlantique», territoire poétique qui ne connut nulle autre règle que celles de la fantaisie. Tout pouvait y arriver, et d'ailleurs tout arriva...
Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

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Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

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Dernier épisode des aventures du héros dessiné par Fred depuis 1965. Une issue glaciale et sans appel. Les plus sensibles d'entre nous ont éprouvé un attachement unique pour Philémon. Ce jeune homme vêtu d'une marinière bleue et blanche aura guidé sa petite troupe de lecteurs le long de seize aventures extravagantes, au coeur des «lettres de l'océan Atlantique», territoire poétique qui ne connut nulle autre règle que celles de la fantaisie. Tout pouvait y arriver, et d'ailleurs tout arriva...
Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

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Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


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Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
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Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

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Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

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Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


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Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

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Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

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Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

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A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

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Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


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Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
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A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
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Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

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A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


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Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

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A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

La revue de presse : Stéphane Beaujean - Les Inrocks, mars 2013

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Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

La revue de presse : Frédéric Potet - Le Monde du 14 mars 2013

Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

La revue de presse : Stéphane Beaujean - Les Inrocks, mars 2013

Dernier épisode des aventures du héros dessiné par Fred depuis 1965. Une issue glaciale et sans appel. Les plus sensibles d'entre nous ont éprouvé un attachement unique pour Philémon. Ce jeune homme vêtu d'une marinière bleue et blanche aura guidé sa petite troupe de lecteurs le long de seize aventures extravagantes, au coeur des «lettres de l'océan Atlantique», territoire poétique qui ne connut nulle autre règle que celles de la fantaisie. Tout pouvait y arriver, et d'ailleurs tout arriva...
Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

La revue de presse : Frédéric Potet - Le Monde du 14 mars 2013

Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.


La revue de presse : Yaël Eckert - La Croix du 3 avril 2013

Le tome 16 de Philémon, intitulé Le train où vont les choses, est sorti il y a quelques semaines chez Dargaud. Et si le mot «fin» n'y est pas écrit, il met pourtant un terme définitif à la fabuleuse aventure commencée en 1965, dans Pilote...
On retrouve, dans l'ultime album de Fred, tout ce qu'on a aimé chez lui  : poésie, humour, jeux de cases et de mots... Comme un condensé de son immense talent.

La revue de presse : Pascal Ory - Lire, avril 2013

A 82 ans, Fred fait figure de grand aîné de la BD française. Un respect unanime l'environne, fondé sur sa capacité à réconcilier en lui-même son double héritage de Hara-Kiri et de Pilote...
Cette fois-ci Philémon va rencontrer une locomotive à grosses pattes, qui fonctionne à la vapeur d'imagination...
Quittant la couleur, on passe alors à la sépia puis au noir et blanc des commencements - c'est-à-dire les images du premier album, quand, il y a près de cinquante ans, Philémon tombait dans le puits dont, au fond, fuyant un monde "normal" si décevant, il n'est jamais vraiment revenu. On se surprend à l'envier.

La revue de presse : Stéphane Beaujean - Les Inrocks, mars 2013

Dernier épisode des aventures du héros dessiné par Fred depuis 1965. Une issue glaciale et sans appel. Les plus sensibles d'entre nous ont éprouvé un attachement unique pour Philémon. Ce jeune homme vêtu d'une marinière bleue et blanche aura guidé sa petite troupe de lecteurs le long de seize aventures extravagantes, au coeur des «lettres de l'océan Atlantique», territoire poétique qui ne connut nulle autre règle que celles de la fantaisie. Tout pouvait y arriver, et d'ailleurs tout arriva...
Voici donc le dernier voyage de Philémon, son ultime tentative de rejoindre l'île du «A» d'«océan Atlantique», ce paradis perdu sur lequel l'oncle du héros rêve de retourner.

La revue de presse : Frédéric Potet - Le Monde du 14 mars 2013

Cela fait environ vingt-cinq ans que l'histoire galopait dans son esprit fécond, l'un des plus fertiles du petit monde de la bande dessinée. Jamais Fred n'avait pu la terminer. Le récit semblait condamné à rester échoué pour toujours, à l'image de son personnage principal : une locomotive à pattes, appelée la " lokoapattes ", fonctionnant à la " vapeur d'imagination " et embourbée dans des marais brumeux...
A 82 ans, Fred n'a rien perdu de sa fantaisie mélancolique. La mise en couleur d'Isabelle Cochet et la réimpression (en sépia) de planches " historiques " magnifient le trait unique - au charbon - d'un des plus grands créateurs de l'histoire de la bande dessinée.

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