"Virginia Woolf" de Michèle Gazier chez Naïve (Paris, France)
•en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Michèle Gazier
- Illustrateur : Bernard Ciccolini
- Genre : Bandes dessinées
- Editeur : Naïve, Paris, France
- Prix : 23.00 €
- Date de sortie : 02/11/2011
- GENCOD : 9782350212555
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
Résumé
Angela Davis, Françoise Dolto, Frida Kahlo, Agatha Christie, Aliénor d'Aquitaine, Aung San Suu Kyi ou Virginia Woolf, ces figures de femmes sont toutes plus ou moins présentes à nos esprits tant la force de leur talent, de leur détermination, de leur engagement ou/et de leur oeuvre demeure exemplaire. C'est en s'attachant à ce que furent leurs enfances que cette collection «Grands destins de femmes» se propose de mieux comprendre comment elles sont devenues celles que l'on connaît.
Virginia Woolf est, comme chacun sait, un écrivain essentiel du XXe siècle qui, par son oeuvre et le flux de voix intérieure qui caractérise son écriture, a été déterminante dans l'évolution du roman moderne. Dans ses romans comme dans ses journaux et correspondances, il est clair que les impressions et sensations d'enfance, qu'elles soient conscientes ou affleurant par réminiscences, ont été le socle et la matière de son travail d'écriture. Le texte de Michèle Gazier et les planches de Bernard Ciccolini reviennent sur des éléments forts et essentiels dans la construction de la personnalité et de la psyché de la petite Virginia Stephen, avant qu'elle ne devienne Virginia Woolf. Son enfance est en effet jalonnée de deuils et de traumatismes qui l'ont à jamais marquée et rendue particulièrement sensible et fragile.
Michèle Gazier a passé toute son enfance en Andorre. Professeur d'espagnol pendant treize ans, elle a commencé dans les années 70 à traduire de nombreux auteurs espagnols comme Manuel Vasquez Montalban, Juan Marsé, Fransisco Umbral. Puis en 1983, elle devient critique littéraire, d'abord à Libération puis pour Télérama pendant de nombreuses années. A partir de 1993, avec L'Histoire d'une femme sans histoire, elle commence une vie de romancière, ses romans sont publiés pour l'essentiel au Seuil. Elle a aussi, depuis deux ans, créé les Editions des Busclats.
Bernard Ciccolini est né en 1953 à Paris. Après avoir travaillé de nombreuses années dans l'édition de bande dessinée, comme directeur artistique puis comme éditeur, il entame une carrière d'illustrateur dans la presse comme dans l'édition jeunesse et BD (École des Loisirs, Bayard).
La revue de presse : Delphine Peras - L'Express, novembre 2011
Héroïne racinienne "écorchée par la vie", leur Virginia Woolf apparaît dans sa fragilité, dans sa force aussi. "La beauté est parfois si proche du désastre", disait-elle aussi. Cet album aux couleurs crépusculaires lui rend assurément hommage.
La revue de presse : Delphine Peras - L'Express, novembre 2011
Héroïne racinienne "écorchée par la vie", leur Virginia Woolf apparaît dans sa fragilité, dans sa force aussi. "La beauté est parfois si proche du désastre", disait-elle aussi. Cet album aux couleurs crépusculaires lui rend assurément hommage.
La revue de presse : Delphine Peras - L'Express, novembre 2011
Héroïne racinienne "écorchée par la vie", leur Virginia Woolf apparaît dans sa fragilité, dans sa force aussi. "La beauté est parfois si proche du désastre", disait-elle aussi. Cet album aux couleurs crépusculaires lui rend assurément hommage.