une scène de torture interactive dans ce nouveau jeu de la saga avait finalement été retirée par le développeur Ubisoft TorontoMenace terroriste et équipe de choc
Dans ce sixième épisode de la saga entamée en 2002, d'après une licence Tom Clancy, l'espion dur à cuire doit à nouveau sauver les Etats-Unis d'une menace terroriste. Donc, la routine pour tout «expendable» quinqua et viril. Dans ce «Splinter Cell: Blacklist», c'est la fin de la mélancolique excursion en solitaire du précédent épisode, le dénommé «Conviction», où Sam Fisher agissait seul et traqué. Cette fois, avec des traits rajeunis, l’agent spécial à nouveau adoubé par les Etats-Unis a pris le leadership d’une équipe de choc: un Noir, un geek, une fille.
Le scénario s’attache moins à la personnalité de Sam Fisher qu’au complot terroriste qu’il doit tenter de déjouer avec ses collègues. Mais les ressorts de ce thriller militaire peinent vraiment à captiver. La faute à une mise en scène archi-convenue, des personnages creux, mal mis en valeur par les dialogues et une VF pas très inspirée. Dans la VO, en anglais, l’acteur emblématique du rôle Michael Ironside a été écarté au profit de Eric Johnson. En raison de la performance capture, qui permet d’enregistrer voix, mouvements du visage et du corps en même temps, a justifié Ubisoft. En termes moins feutrés: Michael Ironside n'avait sans doute pas la gueule de l'emploi. Dans la VO, en anglais, l’acteur emblématique du rôle Michael Ironside a été écarté au profit de Eric JohnsonLe scénario s’attache moins à la personnalité de Sam Fisher qu’au complot terroriste qu’il doit tenter de déjouer avec ses collègues. Mais les ressorts de ce thriller militaire peinent vraiment à captiver. La faute à une mise en scène archi-convenue, des personnages creux, mal mis en valeur par les dialogues et une VF pas très inspirée. Dans la VO, en anglais, l’acteur emblématique du rôle Michael Ironside a été écarté au profit de Eric Johnson. En raison de la performance capture, qui permet d’enregistrer voix, mouvements du visage et du corps en même temps, a justifié Ubisoft. En termes moins feutrés: Michael Ironside n'avait sans doute pas la gueule de l'emploi. Les riches heures du genre infiltration
C'est dans la soute aménagée d'un gros porteur, un avion appelé «Paladin», que le joueur va pouvoir s'aventurer dans trois types de modes: la campagne (le scénario donc), quatorze missions bonus à mener seul ou en coopération en ligne et le multi-joueur sympathique «Espions vs. Mercenaires».
L'histoire lasse, «Splinter Cell: Blacklist» compense par le dynamisme de l'action et par la prime à la furtivité. On nous est proposé une variété bienvenue de style de jeux, du plus offensif au plus discret. Se faufiler dans l’obscurité, éclater néons et ampoules, escalader les parois, progresser dans la pénombre, se servir de sa panoplie de gadgets, comme les drones ou les lunettes sonar à trois lentilles devenues symbole de «Splinter Cell»...
Camp de détention de Guantanamo
L'épisode «Blacklist» renoue avec les riches heures du genre infiltration, qu'avait inauguré la série «Metal Gear». Ces missions sont également bien servies par la variété des environnements : des ruelles de Benghazi en Lybie, aux sous-sols de l’ambassade des Etats-Unis à Téhéran, en passant par le relief montagneux du Moyen-Orient…
les conditions de détention des prisonniers avaient interpellé des organisations de défense des droits de l'homme comme Amnesty InternationalBarack Obama«Splinter Cell: Blacklist» sur PC, Xbox 360, Wii U et PS3 Wii«Splinter Cell: Blacklist» sur PC, Xbox 360, Wii U et PS3
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