Lucie Aubrac, une figure de la Résistance disparaît
•PORTRAIT – Lucie Aubrac est décédée mercredi à l’âge de 94 ans…Sa. C. avec AFP
.../... A suivre sur 20minutes.fr: l'interview de Denis Peshanski, chercheur au CNRS, historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale.
Jacques Chirac a proposé qu'une cérémonie soit organisée aux Invalides pour son inhumation, à une date restant à déterminer, selon son mari Raymond Aubrac.
A l'automne 1940 en zone libre, elle rencontre à Clermont-Ferrand, le journaliste Emmanuel d'Astier de la Vigerie qui organise un petit groupe clandestin «La dernière colonne» et fait paraître un journal clandestin «Libération», noyau de Libération-sud, un des premiers mouvements de résistance.
A l'automne 1940 en zone libre, elle rencontre à Clermont-Ferrand, le journaliste Emmanuel d'Astier de la Vigerie qui organise un petit groupe clandestin «La dernière colonne» et fait paraître un journal clandestin «Libération», noyau de Libération-sud, un des premiers mouvements de résistance.
A l'automne 1940 en zone libre, elle rencontre à Clermont-Ferrand, le journaliste Emmanuel d'Astier de la Vigerie qui organise un petit groupe clandestin «La dernière colonne» et fait paraître un journal clandestin «Libération», noyau de Libération-sud, un des premiers mouvements de résistance.
Lucie Aubrac enseigne au lycée de jeunes filles Edgard-Quinet de Lyon jusqu'en novembre 1943, date de sa révocation pour ses convictions gaullistes.
A partir de novembre 1942, elle dirige dans la région lyonnaise un corps franc qui organise des évasions. Par un judicieux stratagème, elle parvient en mai 1943, à faire libérer son mari, emprisonné depuis mars.
Le 21 juin 1943, Raymond Aubrac est arrêté par Klaus Barbie avec Jean Moulin, chef du Conseil national de la Résistance (CNR) et une dizaine de résistants à Caluire, près de de Lyon. Quatre mois plus tard, avec ingéniosité et sang-froid, les armes à la main, Lucie Aubrac réussit à libérer son mari et treize autres résistants lors d'un audacieux coup de main durant leur transfert.
Recherchée par la Gestapo, elle gagne Londres le 8 février 1944, avec son petit garçon Jean-Pierre, et accouche quatre jours plus tard d'une fille Catherine.
Lucie Aubrac enseigne au lycée de jeunes filles Edgard-Quinet de Lyon jusqu'en novembre 1943, date de sa révocation pour ses convictions gaullistes.
A partir de novembre 1942, elle dirige dans la région lyonnaise un corps franc qui organise des évasions. Par un judicieux stratagème, elle parvient en mai 1943, à faire libérer son mari, emprisonné depuis mars.
Le 21 juin 1943, Raymond Aubrac est arrêté par Klaus Barbie avec Jean Moulin, chef du Conseil national de la Résistance (CNR) et une dizaine de résistants à Caluire, près de de Lyon. Quatre mois plus tard, avec ingéniosité et sang-froid, les armes à la main, Lucie Aubrac réussit à libérer son mari et treize autres résistants lors d'un audacieux coup de main durant leur transfert.
Recherchée par la Gestapo, elle gagne Londres le 8 février 1944, avec son petit garçon Jean-Pierre, et accouche quatre jours plus tard d'une fille Catherine.
Lucie Aubrac enseigne au lycée de jeunes filles Edgard-Quinet de Lyon jusqu'en novembre 1943, date de sa révocation pour ses convictions gaullistes.
A partir de novembre 1942, elle dirige dans la région lyonnaise un corps franc qui organise des évasions. Par un judicieux stratagème, elle parvient en mai 1943, à faire libérer son mari, emprisonné depuis mars.
Le 21 juin 1943, Raymond Aubrac est arrêté par Klaus Barbie avec Jean Moulin, chef du Conseil national de la Résistance (CNR) et une dizaine de résistants à Caluire, près de de Lyon. Quatre mois plus tard, avec ingéniosité et sang-froid, les armes à la main, Lucie Aubrac réussit à libérer son mari et treize autres résistants lors d'un audacieux coup de main durant leur transfert.
Recherchée par la Gestapo, elle gagne Londres le 8 février 1944, avec son petit garçon Jean-Pierre, et accouche quatre jours plus tard d'une fille Catherine.
Lucie Aubrac enseigne au lycée de jeunes filles Edgard-Quinet de Lyon jusqu'en novembre 1943, date de sa révocation pour ses convictions gaullistes.
A partir de novembre 1942, elle dirige dans la région lyonnaise un corps franc qui organise des évasions. Par un judicieux stratagème, elle parvient en mai 1943, à faire libérer son mari, emprisonné depuis mars.
Le 21 juin 1943, Raymond Aubrac est arrêté par Klaus Barbie avec Jean Moulin, chef du Conseil national de la Résistance (CNR) et une dizaine de résistants à Caluire, près de de Lyon. Quatre mois plus tard, avec ingéniosité et sang-froid, les armes à la main, Lucie Aubrac réussit à libérer son mari et treize autres résistants lors d'un audacieux coup de main durant leur transfert.
Recherchée par la Gestapo, elle gagne Londres le 8 février 1944, avec son petit garçon Jean-Pierre, et accouche quatre jours plus tard d'une fille Catherine.
Lucie Aubrac enseigne au lycée de jeunes filles Edgard-Quinet de Lyon jusqu'en novembre 1943, date de sa révocation pour ses convictions gaullistes.
A partir de novembre 1942, elle dirige dans la région lyonnaise un corps franc qui organise des évasions. Par un judicieux stratagème, elle parvient en mai 1943, à faire libérer son mari, emprisonné depuis mars.
Le 21 juin 1943, Raymond Aubrac est arrêté par Klaus Barbie avec Jean Moulin, chef du Conseil national de la Résistance (CNR) et une dizaine de résistants à Caluire, près de de Lyon. Quatre mois plus tard, avec ingéniosité et sang-froid, les armes à la main, Lucie Aubrac réussit à libérer son mari et treize autres résistants lors d'un audacieux coup de main durant leur transfert.
Recherchée par la Gestapo, elle gagne Londres le 8 février 1944, avec son petit garçon Jean-Pierre, et accouche quatre jours plus tard d'une fille Catherine.
A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République (préfet) à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l'Assemblée consultative à Paris. Celle qu'Emmanuel d'Astier de la Vigerie avait surnommée «Madame conscience» est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.
Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité et s'était récemment mobilisée pour les sans-papiers. Plus tard, elle s'associe à Reporters sans frontières: en octobre 2001, elle envoie un message de soutien au journaliste Michel Peyrard, otage des talibans en Afghanistan puis en novembre 2006, elle signe une pétition Justice pour Anna Politkovskaïa.
En 1997, le réalisateur Claude Berri lui avait rendu hommage avec son film «Lucie Aubrac», incarnée par Carole Bouquet.
En avril 1998, les époux Aubrac obtiennent que l'historien Gérard Chauvy et son éditeur Albin Michel soient condamnés pour «diffamation publique» à propos du livre «Aubrac, Lyon 1943» qui mettait en doute leur rôle dans la Résistance.
A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République (préfet) à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l'Assemblée consultative à Paris. Celle qu'Emmanuel d'Astier de la Vigerie avait surnommée «Madame conscience» est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.
Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité et s'était récemment mobilisée pour les sans-papiers. Plus tard, elle s'associe à Reporters sans frontières: en octobre 2001, elle envoie un message de soutien au journaliste Michel Peyrard, otage des talibans en Afghanistan puis en novembre 2006, elle signe une pétition Justice pour Anna Politkovskaïa.
En 1997, le réalisateur Claude Berri lui avait rendu hommage avec son film «Lucie Aubrac», incarnée par Carole Bouquet.
En avril 1998, les époux Aubrac obtiennent que l'historien Gérard Chauvy et son éditeur Albin Michel soient condamnés pour «diffamation publique» à propos du livre «Aubrac, Lyon 1943» qui mettait en doute leur rôle dans la Résistance.
A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République (préfet) à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l'Assemblée consultative à Paris. Celle qu'Emmanuel d'Astier de la Vigerie avait surnommée «Madame conscience» est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.
Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité et s'était récemment mobilisée pour les sans-papiers. Plus tard, elle s'associe à Reporters sans frontières: en octobre 2001, elle envoie un message de soutien au journaliste Michel Peyrard, otage des talibans en Afghanistan puis en novembre 2006, elle signe une pétition Justice pour Anna Politkovskaïa.
En 1997, le réalisateur Claude Berri lui avait rendu hommage avec son film «Lucie Aubrac», incarnée par Carole Bouquet.
En avril 1998, les époux Aubrac obtiennent que l'historien Gérard Chauvy et son éditeur Albin Michel soient condamnés pour «diffamation publique» à propos du livre «Aubrac, Lyon 1943» qui mettait en doute leur rôle dans la Résistance.
A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République (préfet) à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l'Assemblée consultative à Paris. Celle qu'Emmanuel d'Astier de la Vigerie avait surnommée «Madame conscience» est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.
Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité et s'était récemment mobilisée pour les sans-papiers. Plus tard, elle s'associe à Reporters sans frontières: en octobre 2001, elle envoie un message de soutien au journaliste Michel Peyrard, otage des talibans en Afghanistan puis en novembre 2006, elle signe une pétition Justice pour Anna Politkovskaïa.
En 1997, le réalisateur Claude Berri lui avait rendu hommage avec son film «Lucie Aubrac», incarnée par Carole Bouquet.
En avril 1998, les époux Aubrac obtiennent que l'historien Gérard Chauvy et son éditeur Albin Michel soient condamnés pour «diffamation publique» à propos du livre «Aubrac, Lyon 1943» qui mettait en doute leur rôle dans la Résistance.
A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République (préfet) à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l'Assemblée consultative à Paris. Celle qu'Emmanuel d'Astier de la Vigerie avait surnommée «Madame conscience» est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.
Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité et s'était récemment mobilisée pour les sans-papiers. Plus tard, elle s'associe à Reporters sans frontières: en octobre 2001, elle envoie un message de soutien au journaliste Michel Peyrard, otage des talibans en Afghanistan puis en novembre 2006, elle signe une pétition Justice pour Anna Politkovskaïa.
En 1997, le réalisateur Claude Berri lui avait rendu hommage avec son film «Lucie Aubrac», incarnée par Carole Bouquet.
En avril 1998, les époux Aubrac obtiennent que l'historien Gérard Chauvy et son éditeur Albin Michel soient condamnés pour «diffamation publique» à propos du livre «Aubrac, Lyon 1943» qui mettait en doute leur rôle dans la Résistance.
A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République (préfet) à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l'Assemblée consultative à Paris. Celle qu'Emmanuel d'Astier de la Vigerie avait surnommée «Madame conscience» est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.
Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité et s'était récemment mobilisée pour les sans-papiers. Plus tard, elle s'associe à Reporters sans frontières: en octobre 2001, elle envoie un message de soutien au journaliste Michel Peyrard, otage des talibans en Afghanistan puis en novembre 2006, elle signe une pétition Justice pour Anna Politkovskaïa.
En 1997, le réalisateur Claude Berri lui avait rendu hommage avec son film «Lucie Aubrac», incarnée par Carole Bouquet.
En avril 1998, les époux Aubrac obtiennent que l'historien Gérard Chauvy et son éditeur Albin Michel soient condamnés pour «diffamation publique» à propos du livre «Aubrac, Lyon 1943» qui mettait en doute leur rôle dans la Résistance.
A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République (préfet) à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l'Assemblée consultative à Paris. Celle qu'Emmanuel d'Astier de la Vigerie avait surnommée «Madame conscience» est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.
Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité et s'était récemment mobilisée pour les sans-papiers. Plus tard, elle s'associe à Reporters sans frontières: en octobre 2001, elle envoie un message de soutien au journaliste Michel Peyrard, otage des talibans en Afghanistan puis en novembre 2006, elle signe une pétition Justice pour Anna Politkovskaïa.
En 1997, le réalisateur Claude Berri lui avait rendu hommage avec son film «Lucie Aubrac», incarnée par Carole Bouquet.
En avril 1998, les époux Aubrac obtiennent que l'historien Gérard Chauvy et son éditeur Albin Michel soient condamnés pour «diffamation publique» à propos du livre «Aubrac, Lyon 1943» qui mettait en doute leur rôle dans la Résistance.
En mars 2004, avec plusieurs figures de la Résistance, comme l'ancien dirigeant communiste Maurice Kriegel-Valrimont ou l'ethnologue Germaine Tillion, elle avait signé un appel aux jeunes générations à réagir devant la remise en cause du «socle des conquêtes sociales de la Libération».
En mars 2004, avec plusieurs figures de la Résistance, comme l'ancien dirigeant communiste Maurice Kriegel-Valrimont ou l'ethnologue Germaine Tillion, elle avait signé un appel aux jeunes générations à réagir devant la remise en cause du «socle des conquêtes sociales de la Libération».