Pétrole: Le baril passe sous la barre des 50 dollars en Asie
BOURSE•Le billet vert a atteint ses plus hauts niveaux depuis plus de 11 ans face à l'euro, ce qui nuit aux échanges pétroliers...20 Minutes avec agences
Les cours du pétrole continuaient de baisser, ce lundi, dans les échanges asiatiques, victimes d'un renforcement du dollar et du gonflement des stocks américains. Le prix du baril de «light sweet crude» (WTI), pour livraison en avril, perdait 20 cents et passait à 49,41 dollars, tandis que le baril de Brent de la mer du Nord à même échéance cédait 39 cents, atteignant les 59,34 dollars.
«Le dollar US continue de monter ce lundi, ce qui fait que la demande baisse et il est difficile d'entrevoir un quelconque répit pour le marché du pétrole actuellement», relevait David Lennox de chez Fat Prophets, à Sydney.
Un prix du baril stabilisé autour de 50 à 60 dollars ?
Le billet vert a, en effet, bondi en fin de semaine dernière, atteignant ses plus hauts niveaux depuis plus de 11 ans face à l'euro, et cela nuit aux échanges pétroliers, qui sont libellés en dollars. Ce renforcement est lié à la publication des chiffres mensuels sur l'emploi américain, qui ont fait état de davantage de créations d'emplois que prévu et d'une baisse du taux de chômage à 5,5% faisant craindre un relèvement des taux d'intérêt par la banque centrale.
Pour rappel, c'est la décision de l'Opep, en novembre, de s'abstenir de changer son plafond de production qui a accéléré la chute des cours du pétrole. Résultat, le brail de brut vaut actuellement la moitié de son prix de juin dernier. Le ministre koweïtien du Pétrole Ali al-Omair, dont le pays est membres de l'Opep, a estimé, dimanche, que le prix du baril devrait augmenter ou au moins se stabiliser autour de 50 à 60 dollars.
«Le dollar US continue de monter ce lundi, ce qui fait que la demande baisse et il est difficile d'entrevoir un quelconque répit pour le marché du pétrole actuellement», relevait David Lennox de chez Fat Prophets, à Sydney.
Un prix du baril stabilisé autour de 50 à 60 dollars ?
Le billet vert a, en effet, bondi en fin de semaine dernière, atteignant ses plus hauts niveaux depuis plus de 11 ans face à l'euro, et cela nuit aux échanges pétroliers, qui sont libellés en dollars. Ce renforcement est lié à la publication des chiffres mensuels sur l'emploi américain, qui ont fait état de davantage de créations d'emplois que prévu et d'une baisse du taux de chômage à 5,5% faisant craindre un relèvement des taux d'intérêt par la banque centrale.
Pour rappel, c'est la décision de l'Opep, en novembre, de s'abstenir de changer son plafond de production qui a accéléré la chute des cours du pétrole. Résultat, le brail de brut vaut actuellement la moitié de son prix de juin dernier. Le ministre koweïtien du Pétrole Ali al-Omair, dont le pays est membres de l'Opep, a estimé, dimanche, que le prix du baril devrait augmenter ou au moins se stabiliser autour de 50 à 60 dollars.
«Le dollar US continue de monter ce lundi, ce qui fait que la demande baisse et il est difficile d'entrevoir un quelconque répit pour le marché du pétrole actuellement», relevait David Lennox de chez Fat Prophets, à Sydney.
Un prix du baril stabilisé autour de 50 à 60 dollars ?
Le billet vert a, en effet, bondi en fin de semaine dernière, atteignant ses plus hauts niveaux depuis plus de 11 ans face à l'euro, et cela nuit aux échanges pétroliers, qui sont libellés en dollars. Ce renforcement est lié à la publication des chiffres mensuels sur l'emploi américain, qui ont fait état de davantage de créations d'emplois que prévu et d'une baisse du taux de chômage à 5,5% faisant craindre un relèvement des taux d'intérêt par la banque centrale.
Pour rappel, c'est la décision de l'Opep, en novembre, de s'abstenir de changer son plafond de production qui a accéléré la chute des cours du pétrole. Résultat, le brail de brut vaut actuellement la moitié de son prix de juin dernier. Le ministre koweïtien du Pétrole Ali al-Omair, dont le pays est membres de l'Opep, a estimé, dimanche, que le prix du baril devrait augmenter ou au moins se stabiliser autour de 50 à 60 dollars.
«Le dollar US continue de monter ce lundi, ce qui fait que la demande baisse et il est difficile d'entrevoir un quelconque répit pour le marché du pétrole actuellement», relevait David Lennox de chez Fat Prophets, à Sydney.
Un prix du baril stabilisé autour de 50 à 60 dollars ?
Le billet vert a, en effet, bondi en fin de semaine dernière, atteignant ses plus hauts niveaux depuis plus de 11 ans face à l'euro, et cela nuit aux échanges pétroliers, qui sont libellés en dollars. Ce renforcement est lié à la publication des chiffres mensuels sur l'emploi américain, qui ont fait état de davantage de créations d'emplois que prévu et d'une baisse du taux de chômage à 5,5% faisant craindre un relèvement des taux d'intérêt par la banque centrale.
Pour rappel, c'est la décision de l'Opep, en novembre, de s'abstenir de changer son plafond de production qui a accéléré la chute des cours du pétrole. Résultat, le brail de brut vaut actuellement la moitié de son prix de juin dernier. Le ministre koweïtien du Pétrole Ali al-Omair, dont le pays est membres de l'Opep, a estimé, dimanche, que le prix du baril devrait augmenter ou au moins se stabiliser autour de 50 à 60 dollars.
«Le dollar US continue de monter ce lundi, ce qui fait que la demande baisse et il est difficile d'entrevoir un quelconque répit pour le marché du pétrole actuellement», relevait David Lennox de chez Fat Prophets, à Sydney.
Un prix du baril stabilisé autour de 50 à 60 dollars ?
Le billet vert a, en effet, bondi en fin de semaine dernière, atteignant ses plus hauts niveaux depuis plus de 11 ans face à l'euro, et cela nuit aux échanges pétroliers, qui sont libellés en dollars. Ce renforcement est lié à la publication des chiffres mensuels sur l'emploi américain, qui ont fait état de davantage de créations d'emplois que prévu et d'une baisse du taux de chômage à 5,5% faisant craindre un relèvement des taux d'intérêt par la banque centrale.
Pour rappel, c'est la décision de l'Opep, en novembre, de s'abstenir de changer son plafond de production qui a accéléré la chute des cours du pétrole. Résultat, le brail de brut vaut actuellement la moitié de son prix de juin dernier. Le ministre koweïtien du Pétrole Ali al-Omair, dont le pays est membres de l'Opep, a estimé, dimanche, que le prix du baril devrait augmenter ou au moins se stabiliser autour de 50 à 60 dollars.
«Le dollar US continue de monter ce lundi, ce qui fait que la demande baisse et il est difficile d'entrevoir un quelconque répit pour le marché du pétrole actuellement», relevait David Lennox de chez Fat Prophets, à Sydney.
Un prix du baril stabilisé autour de 50 à 60 dollars ?
Le billet vert a, en effet, bondi en fin de semaine dernière, atteignant ses plus hauts niveaux depuis plus de 11 ans face à l'euro, et cela nuit aux échanges pétroliers, qui sont libellés en dollars. Ce renforcement est lié à la publication des chiffres mensuels sur l'emploi américain, qui ont fait état de davantage de créations d'emplois que prévu et d'une baisse du taux de chômage à 5,5% faisant craindre un relèvement des taux d'intérêt par la banque centrale.
Pour rappel, c'est la décision de l'Opep, en novembre, de s'abstenir de changer son plafond de production qui a accéléré la chute des cours du pétrole. Résultat, le brail de brut vaut actuellement la moitié de son prix de juin dernier. Le ministre koweïtien du Pétrole Ali al-Omair, dont le pays est membres de l'Opep, a estimé, dimanche, que le prix du baril devrait augmenter ou au moins se stabiliser autour de 50 à 60 dollars.