ECONOMIECommission européenne: «Ma boussole, ce sont les règles», annonce Moscovici

Commission européenne: «Ma boussole, ce sont les règles», annonce Moscovici

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20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Pierre Moscovici, nommé mercredi commissaire européen aux Affaires économiques

Pierre Moscovici, nommé mercredi commissaire européen aux Affaires économiques, a promis d’appliquer les règles budgétaires européennes, au moment où le gouvernement français vient de reporter à 2017 le retour du déficit public à 3 % du PIB.

«Ma boussole, ce sont les règles», a affirmé Moscovici devant des journalistes à Bruxelles. «Quand on vient à la Commission, on n’oublie pas sa nationalité, ses convictions: je suis social-démocrate, je suis fier de l’être mais on devient commissaire européen, défenseur de l’intérêt général européen», a-t-il dit.

Ni exception, ni dérogation

«Il ne faut faire de mauvais procès à personne», a-t-il insisté, alors que l’Allemagne s’est longtemps opposée à la nomination de l’ancien ministre français des Finances, voyant d’un mauvais œil le fait de confier la surveillance budgétaire au représentant d’un pays coupable de multiples dérapages budgétaires.

Il n’y aura «pas de suspension, de dérogation, d’exception pour un pays quelconque», a assuré M. Moscovici, même s’il y a «des possibilités d’interprétation à partir d’un certain nombre de situations, d’efforts». Il a refusé de dire si l’inflation basse pouvait être considérée comme des circonstances exceptionnelles justifiant un changement de trajectoire budgétaire pour la France.

Il a également balayé les critiques de ceux qui voient dans la création de postes de vice-présidents chargés de piloter les priorités de l’Union une mise sous tutelle. Il n’y aura «pas de rapport» de «supervision, de chaperonnage, de sujétion», a-t-il affirmé, promettant de «bien travailler» avec le Letton Valdis Dombrovskis, vice-président en charge de l’euro, et le Finlandais Jyrki Katainen, vice-président chargé de l’emploi et de la croissance.


Pierre Moscovici, nommé mercredi commissaire européen aux Affaires économiques, a promis d’appliquer les règles budgétaires européennes, au moment où le gouvernement français vient de reporter à 2017 le retour du déficit public à 3 % du PIB.

«Ma boussole, ce sont les règles», a affirmé Moscovici devant des journalistes à Bruxelles. «Quand on vient à la Commission, on n’oublie pas sa nationalité, ses convictions: je suis social-démocrate, je suis fier de l’être mais on devient commissaire européen, défenseur de l’intérêt général européen», a-t-il dit.

Ni exception, ni dérogation

«Il ne faut faire de mauvais procès à personne», a-t-il insisté, alors que l’Allemagne s’est longtemps opposée à la nomination de l’ancien ministre français des Finances, voyant d’un mauvais œil le fait de confier la surveillance budgétaire au représentant d’un pays coupable de multiples dérapages budgétaires.

Il n’y aura «pas de suspension, de dérogation, d’exception pour un pays quelconque», a assuré M. Moscovici, même s’il y a «des possibilités d’interprétation à partir d’un certain nombre de situations, d’efforts». Il a refusé de dire si l’inflation basse pouvait être considérée comme des circonstances exceptionnelles justifiant un changement de trajectoire budgétaire pour la France.

Il a également balayé les critiques de ceux qui voient dans la création de postes de vice-présidents chargés de piloter les priorités de l’Union une mise sous tutelle. Il n’y aura «pas de rapport» de «supervision, de chaperonnage, de sujétion», a-t-il affirmé, promettant de «bien travailler» avec le Letton Valdis Dombrovskis, vice-président en charge de l’euro, et le Finlandais Jyrki Katainen, vice-président chargé de l’emploi et de la croissance.


Pierre Moscovici, nommé mercredi commissaire européen aux Affaires économiques, a promis d’appliquer les règles budgétaires européennes, au moment où le gouvernement français vient de reporter à 2017 le retour du déficit public à 3 % du PIB.

«Ma boussole, ce sont les règles», a affirmé Moscovici devant des journalistes à Bruxelles. «Quand on vient à la Commission, on n’oublie pas sa nationalité, ses convictions: je suis social-démocrate, je suis fier de l’être mais on devient commissaire européen, défenseur de l’intérêt général européen», a-t-il dit.

Ni exception, ni dérogation

«Il ne faut faire de mauvais procès à personne», a-t-il insisté, alors que l’Allemagne s’est longtemps opposée à la nomination de l’ancien ministre français des Finances, voyant d’un mauvais œil le fait de confier la surveillance budgétaire au représentant d’un pays coupable de multiples dérapages budgétaires.

Il n’y aura «pas de suspension, de dérogation, d’exception pour un pays quelconque», a assuré M. Moscovici, même s’il y a «des possibilités d’interprétation à partir d’un certain nombre de situations, d’efforts». Il a refusé de dire si l’inflation basse pouvait être considérée comme des circonstances exceptionnelles justifiant un changement de trajectoire budgétaire pour la France.

Il a également balayé les critiques de ceux qui voient dans la création de postes de vice-présidents chargés de piloter les priorités de l’Union une mise sous tutelle. Il n’y aura «pas de rapport» de «supervision, de chaperonnage, de sujétion», a-t-il affirmé, promettant de «bien travailler» avec le Letton Valdis Dombrovskis, vice-président en charge de l’euro, et le Finlandais Jyrki Katainen, vice-président chargé de l’emploi et de la croissance.


Pierre Moscovici, nommé mercredi commissaire européen aux Affaires économiques, a promis d’appliquer les règles budgétaires européennes, au moment où le gouvernement français vient de reporter à 2017 le retour du déficit public à 3 % du PIB.

«Ma boussole, ce sont les règles», a affirmé Moscovici devant des journalistes à Bruxelles. «Quand on vient à la Commission, on n’oublie pas sa nationalité, ses convictions: je suis social-démocrate, je suis fier de l’être mais on devient commissaire européen, défenseur de l’intérêt général européen», a-t-il dit.

Ni exception, ni dérogation

«Il ne faut faire de mauvais procès à personne», a-t-il insisté, alors que l’Allemagne s’est longtemps opposée à la nomination de l’ancien ministre français des Finances, voyant d’un mauvais œil le fait de confier la surveillance budgétaire au représentant d’un pays coupable de multiples dérapages budgétaires.

Il n’y aura «pas de suspension, de dérogation, d’exception pour un pays quelconque», a assuré M. Moscovici, même s’il y a «des possibilités d’interprétation à partir d’un certain nombre de situations, d’efforts». Il a refusé de dire si l’inflation basse pouvait être considérée comme des circonstances exceptionnelles justifiant un changement de trajectoire budgétaire pour la France.

Il a également balayé les critiques de ceux qui voient dans la création de postes de vice-présidents chargés de piloter les priorités de l’Union une mise sous tutelle. Il n’y aura «pas de rapport» de «supervision, de chaperonnage, de sujétion», a-t-il affirmé, promettant de «bien travailler» avec le Letton Valdis Dombrovskis, vice-président en charge de l’euro, et le Finlandais Jyrki Katainen, vice-président chargé de l’emploi et de la croissance.


Pierre Moscovici, nommé mercredi commissaire européen aux Affaires économiques, a promis d’appliquer les règles budgétaires européennes, au moment où le gouvernement français vient de reporter à 2017 le retour du déficit public à 3 % du PIB.

«Ma boussole, ce sont les règles», a affirmé Moscovici devant des journalistes à Bruxelles. «Quand on vient à la Commission, on n’oublie pas sa nationalité, ses convictions: je suis social-démocrate, je suis fier de l’être mais on devient commissaire européen, défenseur de l’intérêt général européen», a-t-il dit.

Ni exception, ni dérogation

«Il ne faut faire de mauvais procès à personne», a-t-il insisté, alors que l’Allemagne s’est longtemps opposée à la nomination de l’ancien ministre français des Finances, voyant d’un mauvais œil le fait de confier la surveillance budgétaire au représentant d’un pays coupable de multiples dérapages budgétaires.

Il n’y aura «pas de suspension, de dérogation, d’exception pour un pays quelconque», a assuré M. Moscovici, même s’il y a «des possibilités d’interprétation à partir d’un certain nombre de situations, d’efforts». Il a refusé de dire si l’inflation basse pouvait être considérée comme des circonstances exceptionnelles justifiant un changement de trajectoire budgétaire pour la France.

Il a également balayé les critiques de ceux qui voient dans la création de postes de vice-présidents chargés de piloter les priorités de l’Union une mise sous tutelle. Il n’y aura «pas de rapport» de «supervision, de chaperonnage, de sujétion», a-t-il affirmé, promettant de «bien travailler» avec le Letton Valdis Dombrovskis, vice-président en charge de l’euro, et le Finlandais Jyrki Katainen, vice-président chargé de l’emploi et de la croissance.


Pierre Moscovici, nommé mercredi commissaire européen aux Affaires économiques, a promis d’appliquer les règles budgétaires européennes, au moment où le gouvernement français vient de reporter à 2017 le retour du déficit public à 3 % du PIB.

«Ma boussole, ce sont les règles», a affirmé Moscovici devant des journalistes à Bruxelles. «Quand on vient à la Commission, on n’oublie pas sa nationalité, ses convictions: je suis social-démocrate, je suis fier de l’être mais on devient commissaire européen, défenseur de l’intérêt général européen», a-t-il dit.

Ni exception, ni dérogation

«Il ne faut faire de mauvais procès à personne», a-t-il insisté, alors que l’Allemagne s’est longtemps opposée à la nomination de l’ancien ministre français des Finances, voyant d’un mauvais œil le fait de confier la surveillance budgétaire au représentant d’un pays coupable de multiples dérapages budgétaires.

Il n’y aura «pas de suspension, de dérogation, d’exception pour un pays quelconque», a assuré M. Moscovici, même s’il y a «des possibilités d’interprétation à partir d’un certain nombre de situations, d’efforts». Il a refusé de dire si l’inflation basse pouvait être considérée comme des circonstances exceptionnelles justifiant un changement de trajectoire budgétaire pour la France.

Il a également balayé les critiques de ceux qui voient dans la création de postes de vice-présidents chargés de piloter les priorités de l’Union une mise sous tutelle. Il n’y aura «pas de rapport» de «supervision, de chaperonnage, de sujétion», a-t-il affirmé, promettant de «bien travailler» avec le Letton Valdis Dombrovskis, vice-président en charge de l’euro, et le Finlandais Jyrki Katainen, vice-président chargé de l’emploi et de la croissance.