Bon réveil à tous, on se retrouve dans quelques minutes pour le palmarès complet. Mais la grande gagnante de la soirée est incontestablement Adele, qui remporte cinq trophées.

C'est LE moment de ces Grammy, tout le monde s'attendait à une victoire de Queen B. Et après avoir perdu face à Beck, elle s'incline face à Adele. En pleurs, cette dernière dit à l'Académie "Je suis désolé, je ne peux pas accepter ce trophée", puis elle fait une déclaration d'amour à Beyoncé, "source d'inspiration". Bon, elle l'accepte quand même son trophée, hein.

Cette catégorie récompense la production (et pas l'artiste). Le producteur, qui avait été coupé, peut cette fois remercier tout le monde.

Ca fait quand même déjà 3h30, dont sans doute 1h30 de pub.

Après avoir remercié Dieu 42 fois, il se lance dans un gospel.

C'est correct, avec un bon solo de guitare. Pas de quoi réveiller les morts quand même.

Le collectif se paie "President Agent Orange" et critique son "muslim ban"puis chante "Resist". Un des seuls moments politiques de la soirée.

La cérémonie est interminable, il faut bien un peu d'alcool pour supporter ca. A voir si elle aura des ennuis avec le CSA américain.

Ils sont tous nommés mais apparemment ils ont décidé que les Grammy était ringards. Ils n'ont pas forcément tort...

Avec Hello, sans grande surprise. Elle reçoit son trophée des mains de Céline Dion et s'excuse encore pour le couac sur l'hommage à George Michael, quand elle a lâché un "fuck" et recommencé la chanson.

Le micro de James Hetfield n'a pas de son et Gaga tient la baraque, comme si elle avait fait ca toute sa vie. Elle slam dans la foule et ça se termine en apothéose, quelle pied!

2e trophée de la soirée pour le jeune artiste, album rap de l'année pour Coloring Book. Il remercie encore Dieu et ses parents.

Quelques fausses notes et Adele s'arrête en pleine interprétation de Fastlove. "I'm sorry, this is live TV but we have to restart, I can't mess that up for him". Comme quoi, Adele est humaine. Et sa seconde tentative est la bonne.

C'était attendu. Le suspense se jouera pour l'album de l'année face à Adele: Beyoncé n'a jamais remporté la catégorie suprême.

C'est son come back. Pas sûr de comprendre les références de Chained to the rythm, "we live in a bubble". C'est un gros show, qui compense la voix assez moyenne.

Enfin un peu d'énergie. Bon, il est venu avec son big band, ca aide.

James Corden chance Sweet Caroline (wohoho) avec JLo, Neil Diamond et John Legend. C'est très crispé. Il ne reste plus que le duo Lady Gaga et Metallica pour sauver le show.

Pas de chance, je connaissais 3 artistes nominés sur 5. Voici donc Karren Morris, pour les amateurs.

Oui, Lemonade est plutôt cool, enfin faut pas pousser. Certains appeleront ça du "performance art" mais c'était quand même 7 minutes assez prétentieuses, un trip visuel à la gloire de la Reine qui peut faire ce qu'elle veut. Une longue intro parlée, avec sa fille Blue Ivy et sa mère, suivie de Love Drought. Un hyme aux femmes noires, à la maternité et surtout à son égo.

C'est le danois Lukas Graham (7 year old) et une jeune chanteuse country qui n'a pas de voix Kelsea Ballerini. Bon on attend Beyoncé pour secouer tout ca.

C'est LE moment de ces Grammy, tout le monde s'attendait à une victoire de Queen B. Et après avoir perdu face à Beck, elle s'incline face à Adele. En pleurs, cette dernière dit à l'Académie "Je suis désolé, je ne peux pas accepter ce trophée", puis elle fait une déclaration d'amour à Beyoncé, "source d'inspiration". Bon, elle l'accepte quand même son trophée, hein.

Cette catégorie récompense la production (et pas l'artiste). Le producteur, qui avait été coupé, peut cette fois remercier tout le monde.

Avec Hello, sans grande surprise. Elle reçoit son trophée des mains de Céline Dion et s'excuse encore pour le couac sur l'hommage à George Michael, quand elle a lâché un "fuck" et recommencé la chanson.

2e trophée de la soirée pour le jeune artiste, album rap de l'année pour Coloring Book. Il remercie encore Dieu et ses parents.

Quelques fausses notes et Adele s'arrête en pleine interprétation de Fastlove. "I'm sorry, this is live TV but we have to restart, I can't mess that up for him". Comme quoi, Adele est humaine. Et sa seconde tentative est la bonne.

C'était attendu. Le suspense se jouera pour l'album de l'année face à Adele: Beyoncé n'a jamais remporté la catégorie suprême.

Oui, Lemonade est plutôt cool, enfin faut pas pousser. Certains appeleront ça du "performance art" mais c'était quand même 7 minutes assez prétentieuses, un trip visuel à la gloire de la Reine qui peut faire ce qu'elle veut. Une longue intro parlée, avec sa fille Blue Ivy et sa mère, suivie de Love Drought. Un hyme aux femmes noires, à la maternité et surtout à son égo.

Les mystères de la programmation des Grammy, avec un titre de novembre 2015 nominé en 2017. Un joli hommage à Bowie ceci dit!

Vous avez dû entendre Stressed out à la radio.

Y a pas photo, son album est une tuerie. C'était entre le jeune rappeur et l'électro commercial de Chainsmokers.

En chantant son tube Hello. Bon, on peut dire que la chanson est ennuyeuse à mourir mais quelle interprétation ! Pas une seule fausse note. Et ceux s’y sont déjà frottés bourrés au karaoké savent que c’est un titre compliqué à interpréter. Standing ovation.

Une partie des résultats est donnée avant la cérémonie. C'est Cage The Elephant qui s'impose pour l'album rock et Megadeth pour la performance métal. C'est vraiment dommage pour les Français qui sont au sommet de leur art avec leur death metal progressif.