Rodin : Une sculpture inédite vendue aux enchères pour plus d'un million d'euros
ART•La sculpture de 2,15 m de hauteur a été coulée dans le bronze pour la première fois l'année dernière...20 Minutes avec AFP
Une sculpture inédite de l’artiste français Auguste Rodin coulée dans le bronze pour la première fois l’année dernière, a été vendue aux enchères mardi soir à Londres pour plus d’un million d’euros.
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La sculpture Aphrodite, dont on pensait jusqu’à récemment que certains de ses moules étaient perdus, a été créée par Rodin en 1913, pour une pièce de théâtre éponyme. Elle était alors en plâtre. « Cette sculpture n’avait jamais pu être fondue, les moules contenant la partie supérieure des bras n’ayant été retrouvés que très récemment », précise Pierre Martin-Vivier, directeur du département XXe siècle à Christie’s Paris.
La statue représente la déesse de l’amour
Ce n’est qu’en 2014, lors de recherches sur les donations de Rodin à l’Etat, que le musée accueillant cette œuvre a découvert les moules complets de l’œuvre, permettant ainsi le moulage en bronze.
De taille imposante (2,15 m de hauteur), la statue qui représente la déesse de l’amour, nue, ses bras élégamment étirés au-dessus de sa tête, est l’agrandissement par deux d’une étude qui aurait servi pour la Porte de l’enfer de l’artiste, connu surtout pour Le Penseur et Le Baiser.
La statue de plâtre, partie du décor de la pièce, est restée au théâtre de la Renaissance à Paris au moins jusqu’en 1933, mais aucun moulage en bronze n’avait été réalisé. La statue nouvellement coulée dans le bronze a été vendue pour 1,02 million d’euros à Londres mardi soir.
La sculpture Aphrodite, dont on pensait jusqu’à récemment que certains de ses moules étaient perdus, a été créée par Rodin en 1913, pour une pièce de théâtre éponyme. Elle était alors en plâtre. « Cette sculpture n’avait jamais pu être fondue, les moules contenant la partie supérieure des bras n’ayant été retrouvés que très récemment », précise Pierre Martin-Vivier, directeur du département XXe siècle à Christie’s Paris.
La statue représente la déesse de l’amour
Ce n’est qu’en 2014, lors de recherches sur les donations de Rodin à l’Etat, que le musée accueillant cette œuvre a découvert les moules complets de l’œuvre, permettant ainsi le moulage en bronze.
De taille imposante (2,15 m de hauteur), la statue qui représente la déesse de l’amour, nue, ses bras élégamment étirés au-dessus de sa tête, est l’agrandissement par deux d’une étude qui aurait servi pour la Porte de l’enfer de l’artiste, connu surtout pour Le Penseur et Le Baiser.
La statue de plâtre, partie du décor de la pièce, est restée au théâtre de la Renaissance à Paris au moins jusqu’en 1933, mais aucun moulage en bronze n’avait été réalisé. La statue nouvellement coulée dans le bronze a été vendue pour 1,02 million d’euros à Londres mardi soir.
La sculpture Aphrodite, dont on pensait jusqu’à récemment que certains de ses moules étaient perdus, a été créée par Rodin en 1913, pour une pièce de théâtre éponyme. Elle était alors en plâtre. « Cette sculpture n’avait jamais pu être fondue, les moules contenant la partie supérieure des bras n’ayant été retrouvés que très récemment », précise Pierre Martin-Vivier, directeur du département XXe siècle à Christie’s Paris.
La statue représente la déesse de l’amour
Ce n’est qu’en 2014, lors de recherches sur les donations de Rodin à l’Etat, que le musée accueillant cette œuvre a découvert les moules complets de l’œuvre, permettant ainsi le moulage en bronze.
De taille imposante (2,15 m de hauteur), la statue qui représente la déesse de l’amour, nue, ses bras élégamment étirés au-dessus de sa tête, est l’agrandissement par deux d’une étude qui aurait servi pour la Porte de l’enfer de l’artiste, connu surtout pour Le Penseur et Le Baiser.
La statue de plâtre, partie du décor de la pièce, est restée au théâtre de la Renaissance à Paris au moins jusqu’en 1933, mais aucun moulage en bronze n’avait été réalisé. La statue nouvellement coulée dans le bronze a été vendue pour 1,02 million d’euros à Londres mardi soir.
La sculpture Aphrodite, dont on pensait jusqu’à récemment que certains de ses moules étaient perdus, a été créée par Rodin en 1913, pour une pièce de théâtre éponyme. Elle était alors en plâtre. « Cette sculpture n’avait jamais pu être fondue, les moules contenant la partie supérieure des bras n’ayant été retrouvés que très récemment », précise Pierre Martin-Vivier, directeur du département XXe siècle à Christie’s Paris.
La statue représente la déesse de l’amour
Ce n’est qu’en 2014, lors de recherches sur les donations de Rodin à l’Etat, que le musée accueillant cette œuvre a découvert les moules complets de l’œuvre, permettant ainsi le moulage en bronze.
De taille imposante (2,15 m de hauteur), la statue qui représente la déesse de l’amour, nue, ses bras élégamment étirés au-dessus de sa tête, est l’agrandissement par deux d’une étude qui aurait servi pour la Porte de l’enfer de l’artiste, connu surtout pour Le Penseur et Le Baiser.
La statue de plâtre, partie du décor de la pièce, est restée au théâtre de la Renaissance à Paris au moins jusqu’en 1933, mais aucun moulage en bronze n’avait été réalisé. La statue nouvellement coulée dans le bronze a été vendue pour 1,02 million d’euros à Londres mardi soir.
La sculpture Aphrodite, dont on pensait jusqu’à récemment que certains de ses moules étaient perdus, a été créée par Rodin en 1913, pour une pièce de théâtre éponyme. Elle était alors en plâtre. « Cette sculpture n’avait jamais pu être fondue, les moules contenant la partie supérieure des bras n’ayant été retrouvés que très récemment », précise Pierre Martin-Vivier, directeur du département XXe siècle à Christie’s Paris.
La statue représente la déesse de l’amour
Ce n’est qu’en 2014, lors de recherches sur les donations de Rodin à l’Etat, que le musée accueillant cette œuvre a découvert les moules complets de l’œuvre, permettant ainsi le moulage en bronze.
De taille imposante (2,15 m de hauteur), la statue qui représente la déesse de l’amour, nue, ses bras élégamment étirés au-dessus de sa tête, est l’agrandissement par deux d’une étude qui aurait servi pour la Porte de l’enfer de l’artiste, connu surtout pour Le Penseur et Le Baiser.
La statue de plâtre, partie du décor de la pièce, est restée au théâtre de la Renaissance à Paris au moins jusqu’en 1933, mais aucun moulage en bronze n’avait été réalisé. La statue nouvellement coulée dans le bronze a été vendue pour 1,02 million d’euros à Londres mardi soir.