CINEMAAu cinéma, les morts-vivants ont toujours l'appétit

Au cinéma, les morts-vivants ont toujours l'appétit

CINEMALa sortie de «World War Z» ce mercredi le confirme. Avec ou sans Brad Pitt, jamais les morts-vivants n'ont autant tenu la forme. Retrouvez-les dans notre zapping...
Caroline Vié et Thomas Lemoine pour la vidéo

Caroline Vié et Thomas Lemoine pour la vidéo

Dans World War Z de Marc Forster, Brad Pitt affronte des zombies. Ils n’est ni le premier, ni sans doute le dernier à en rencontrer. Revue des détails des morts-vivants du 7ème Art avec zapping à l'appui.

Les précurseurs

White Zombie (1932) est le premier film de l’histoire du cinéma à mettre en scène l’une de ces créatures. Bela Lugosi, star du cinéma d’horreur, transforme une jeune femme en zombie pour pouvoir la séduire.

Les bosseurs

John Gilling met les zombies au boulot dans L’invasion des morts-vivants (1938). Sous l’égide de la légendaire Hammer Films, il conte les aventures d’un savant qui transforme de braves gens en zombies pour les faire bosser dans une mine.

Les classiques

En 1968, George A. Romero donne ses lettres de noblesse au zombie avec La nuit des morts-vivants. Là, pas question d’envoûtement : les créatures des cadavres qui mangent les humains. Ils sont lents et inexorables…Franchement terrifiants, ils sont inégalables. A vous de les comparer ci-dessous.

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Les gourmets

Les créatures du Retour des morts-vivants (1985) de Dan O’Bannon sont sélectives. Elles ne mangent que des cerveaux qu’elles réclament au cri dépourvu d’ambiguïté de «cervelle». Entre horreur gore et comédie noire, le zombie entre dans l’ère du délire.

Les malades

Dans 28 jours plus tard (2002), Danny Boyle explique pourquoi les morts-vivants le sont devenus. Ce sont des expériences qui ont mal tourné qui rendent les gens malades commet out et prêts à croquer leurs prochains.

Les sprinteurs

Si George Romero avait été mort, il se serait retourné dans sa tombe ! Les zombies de L’Armée des morts (2004) courent ce qui les rend moins inquiétants mais plus efficaces ! Ils sont vifs et voraces et toujours amateurs de chair fraîche.

Les rigolos

Comptez sur les Britanniques pour ne rien prendre au sérieux. Simon Pegg tentant de fuir les croqueurs d’humains de Shaun of the Dead (Edgar Wright, 2004), c’est vraiment hilarant…et terrifiant. Une bonne façon de secouer le mythe/ Même Romero a aimé !

Les romantiques

D’habitude les zombies ne sont pas des intellos. Le héros de Warm Bodies (Jonathan Levine, 2012) ne se contente pas de déguster des cerveaux. Il a aussi un cœur qu’il utilise pour tomber amoureux d’une mortelle, une bonne façon de renouer avec sa part d’humanité.