Belmondo en dix films incontournables
DiaporamaLa rédaction de 20 Minutes
Bébel a 85 ans ! L'un des acteurs chouchous des Français n'est plus aussi virevoltant qu'avant. Il a abandonné autant les plateaux que les planches, mais il a marqué de son empreinte le cinéma hexagonale des soixante dernières années. Pour fêter cet anniversaire comme il se doit, retour en images sur dix rôles incontournables.
Bébel a 85 ans ! L'un des acteurs chouchous des Français n'est plus aussi virevoltant qu'avant. Il a abandonné autant les plateaux que les planches, mais il a marqué de son empreinte le cinéma hexagonale des soixante dernières années. Pour fêter cet anniversaire comme il se doit, retour en images sur dix rôles incontournables.
Dans A double tour de Claude Chabrol, sorti en décembre 1959, Jean-Paul Belmondo joue (déjà) le provocateur séducteur allergique à la bienséance bourgeoise. L'acteur tient là son premier grand rôle.
En 1962, Bébel croise la route de Jean Gabin dans Un singe en hiver de Henri Verneuil. L'histoire de deux hommes qui se retrouvent dans l'ivresse pour supporter leur vie.
Jean-Paul Belmondo devient l'aventurier que l'on connaît à partir de février 1964 et la sortie de L'Homme de Rio de Philippe de Broca. Il doit retrouver sa fiancée (Françoise Dorléac), enlevée et emmenée au Brésil.
Pierrot le fou est probablement le film qui définit le mieux l'acteur. Réalisé par Jean-Luc Godard et sorti en 1965, il compte l'odyssée en France de deux amants poursuivis par des gangsters. S'il ne devait en rester qu'un...
Un trésor de l'Otan, un criminel de haut rang, des petits escrocs dépassés et un hold up qui tourne mal... En 1969 sort Le Cerveau de Gérard Oury. Belmondo et Bourvil sont hilarants.
Dans un registre beaucoup plus sérieux, on retrouve Bébel dans Borsalino de Jacques Deray, sorti en 1970. Des truands, des vrais, qui ambitionnent de devenir les rois de la pègre à Marseille.
En 1973, Belmondo est à nouveau dans une comédie, Le Magnifique de Philippe de Broca. Aventure exotique sur fond de médiocrité littéraire.
Humour toujours dans L'Animal de Claude Zidi (1977). Jean-Paul Belmondo est un cascadeur raté, mais terriblement touchant et amoureux fou.
Au menu de L'As des as de Gérard Oury, on retrouve un cocktail d'humour, de castagne et d'amitié indéfectible, sur fond d'Allemagne nazie.
Jean-Paul Belmondo est déjà une figure connue et reconnue de tout le cinéma français quand sort Itinéraire d'un enfant gâté de Claude Lelouch en 1988, où il donne la réplique à Richard Anconina. L'histoire d'un homme vieillissant qui cherche à échapper au monde en se réfugiant en Afrique. Un rôle qui lui vaudra le césar du meilleur acteur en 1989.