Revivez les réactions et les annonces au lendemain du 1er tour des cantonales en direct
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Revivez les réactions et les annonces au lendemain du 1er tour des cantonales en direct

C'est la cacophonie à droite pour les consignes de vote au second tour...
Jean-François Copé, en campagne à Marseille, le 9 mars 2011.
Jean-François Copé, en campagne à Marseille, le 9 mars 2011. - AFP PHOTO / ANNE-CHRISTINE POUJOULAT
20minutes.fr

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Ce direct est désormais terminé. Ce qu'il faut retenir de la journée de lundi, c'est par ici

19h50

Xavier Bertrand appelle à «voter blanc» en cas de duels FN/PS

19h22

François Bayrou appelle à « un vote républicain» contre le FN.

19h10

«Je pense qu’aujourd’hui Jean Jaurès aurait voté FN comme toute une série de patriotes de gauche» , a dit lundi sur Europe 1 Louis Aliot, le vice-président du FN, en lice pou r le second tour des cantonales dans les Pyrénées-Orientales.

18h50

«La République n’est pas en danger», selon Copé Lors de son point-presse de lundi après-midi, Jean-François Copé a redonné les consignes pour le second tour des cantonales: «pas d’alliance avec le FN». «Pas question de voter pour le FN, pas question non d’un front républicain», a-t-il répété, car cela «fait accroire que la gauche et la droite, c’est pareil». Et «last but not least», le secrétaire général de l’UMP a rappelé que le «PS n’a jamais condamné les alliances avec l’extrême gauche». Il a nié tout différent avec François Fillon qui a appelé, lui, à voter clairement contre le FN. «La République n’est pas en danger», a insisté Jean-François Copé. «Ce sont des élections cantonales et non une présidentielle».

18h40

Après que François Fillon a dit qu’il fallait voter contre le FN, Valérie Rosso-Debord, députée de Meurthe-et-Moselle proche de François Fillon a envoyé un communiqué dans lequel elle «appelle les électeurs à faire barrage au Front National en ne le leur accordant pas une seule voix, pas un seul siège dans nos assemblées départementales» .

18h33

«Aucune voix de la droite et du centre ne doit se porter sur l’extrême-droite», a assuré François Fillon lundi devant un bureau politique de l’UMP à l’Assemblée national. «En cas de duels PS/FN, il faut voter contre le FN», a-t-il assuré. Des consignes claires, qui tranchent avec le «ni-ni» du chef de l’Etat et de Jean-François Copé.

18h23

Mariani tacle les socialistes et s'oppose au front républicain «La gauche ne pavoise jamais davantage que quand le peuple se réfugie dans une abstention record», attaque Thierry Mariani, conseiller politique de l’UMP dans un communiqué intitulé «Ni Front Républicain, ni Front National!». «Le PS ne sort pas grand vainqueur de ce scrutin», ajoute-t-il. «L’UMP a raison de surmonter la tentation d’un front républicain avec une gauche opposée à ses valeurs», insiste-t-il ajoutant que l’UMP «a tout autant raison de récuser la posture du Front National qui stérilise le vote de l’électorat populaire, au lieu de lui proposer une perspective».

18h15

François Fillon devrait appeler à voter contre le FN dans tous les cantons où un candidat frontiste est opposé face à un socialiste , selon des opérations d'Europe 1.

18h08

Jean-Luc Mélenchon est favorable à «un désistement républicain» face au FN

17h08

Les scores exacts de chaque parti après le premier tour des élections cantonales, le nombre de duels FN/PS, le nombre de triangulaire, c'est par ici.

17h05

«Je n’ai pas peur de prononcer ces mots de front républicain. Je n’ai pas peur de dire qu’il faut voter pour le candidat républicain qui sera opposé à un candidat FN , qu’il soit socialiste, vert, ou autre. Pour moi, les choses sont claires: pas une seule voix ne doit aller au FN», nous explique Fabienne Keller dans une interview. Au moins, à l’UMP, certains sont plus clairs que d’autres.

16h49

«Toujours les mêmes arrangements pour confisquer la démocratie», dit Le Pen Dans une déclaration depuis le siège du FN, à Nanterre, Marine Le Pen a critiqué les partis qui appellent à voter contre le FN. «Tout le débat tourne autour des petites manœuvres qu’il faudrait mêttre en place pouyr empêcher le FN d’avoir un conseiller régional», a tancé la présidente du FN. Pour elle, c’est «l’UMPS», «toujours les mêmes arrangements pour confisquer la démocratie». Les deux partis, d’après elle, mène «une politique de caniveau», « sans analyse des raisons du vote FN». En bref, le FN «trace sa route, s’intéresse aux vrais porblèmes» et fait «des propositions pour les résoudre».

16h39

Pas de front républicain au NPA Le NPA, qui n’a pas été convié à la réunion de dimanche soir sur la péniche qui réunissait le PS, EELV et le PCF, a appellé aujourd’hui à voter «pour le candidat de gauche lorsqu'il reste e nlice contre le Front national» au second tour des cantonales. « Pour le second tour, chaque candidat du NPA précisera les consignes de vote», affirme le parti d’Olivier Besancenot dans un communiqué. Toutefois, l e NPA « n'est pas pour la constitution d'un Front républicain et n'appelle pas à voter po ur un candidat UMP contre le FN» . Satisfait

16h34

Avec 67,3% d'abstention, c'est en Seine-Saint-Denis que les Français se sont le moins déplacés pour voter au 1er tour des cantonales dimanche.

16h20

Jean-Louis Borloo a pris position pour le second tour des cantonales. Le président du Parti radical a appelé à faire barrage au FN. «Pour l'ensemble des centristes, il ne peut pas y avoir une voix, un vote, et un élu du FN» aux cantonales, a-t-il dit lors d’une conférence de presse.

14h00

Carton du FN à Marseille et dans les Bouches-du-Rhône Le Front national a obtenu plus de 30% des voix à Marseille. En conséquence, le parti de Marine Le Pen sera présent au second tour dans 26 des 29 cantons renouvelables dans les Bouches-du-Rhône. A Marseille, il est le seul à se maintenir dans les 11 cantons, flirtant avec ses scores historiques du milieu des années 1980. «Je n'en suis pas surpris, les gens en ont marre des promesses non tenues par l'UMP, comme par le PS», déclaré le leader du FN à Marseille, Stéphane Ravier.

13h49

Sarkozy répète la consigne du «ni-ni» D’après des sources internes à l’UMP, Nicolas Sarkozy a réaffirmé lundi la consigne du «ni-ni» pour le second tour des cantonales. C'est-à-dire ni un appel au front républicain et donc à voter à gauche, ni une alliance avec le FN. Il a affirmé devant les responsables de l’UMP qu’ «’il n'y aura pas d'infléchissement de la ligne officielle» de l'UMP consistant à dire «ni vote pour le Front national ni vote pour la gauche» en cas de duels PS-FN au second tour, selon des responsables présents. Il faut au contraire s'en tenir à cette consigne et «la confirmer devant le bureau politiqu » de l'UMP, qui «n'a rien à voir avec le PS». Il répète donc les consignes délivrées dimanche soir par Jean-François Copé.

13h40

«Chaque voix va compter dimanche», selon Royal La présidente PS de la région Poitou-Charentes Ségolène Royal a appelé lundi «les électeurs à sanctionner la politique de Nicolas Sarkozy et ceux qui la soutiennent» au lendemain du 1er tour des élections cantonales. «Chaque voix va compter dimanche prochain (27 mars) et il ne faut donc pas s’abstenir», explique Ségolène Royal dans un communiqué transmis à l'AFP. «Toutes les voix qui se sont portées sur des candidats ‘sans étiquette’ ou ‘majorité départementale’ parce qu'ils n'osent plus assumer leur appartenance à l’UMP, ont été présentées lors des résultats nationaux comme faisant partie de la ’majorité présidentielle’», a-t-elle ajouté. «C'est-à-dire comme un vote de soutien à Nicolas Sarkozy», a-t-elle raillé..

12h35

Un bulletin de vote prend feu en Corse Dimanche, à Luri en Corse, une urne a pris feu en début d'après-midi, rapporte Corse Matin . Une enveloppe déjà présente dans l'urne s'est enflammée. Elle aurait été piégée avec un composant chimique, et un retardant aurait permis de différer la mise à feu de plusieurs heures. Le parquet de la République de Bastia a saisi l'antenne bastiaise de la direction régionale de la police judiciaire pour faire toute la lumière sur l'incident. En parallèle, certains candidats considèrent que l'incident a faussé les résultats, et ils comptent entamer une procédure d’annulation du vote. En effet, après l'incident, le bureau de vote a été fermé un peu moins de trois heures pour permettre à la police d'effectuer une enquête préliminaire, mais empêchant plusieurs électeurs d'aller voter.