A Marseille, il suffit de battre
le 16e du classement pour bénéficier d’une double prime. Dimanche à Nancy, le président Dassier s’est montré généreux dans le vestiaire, ce qui a choqué une partie des supporters marseillais, vu le pedigree de l’adversaire. «Si l’on s’étonne de ça, c’est qu’on ne comprend pas grand-chose. Beaucoup s’en offusquent? C’est leur problème», répond le président marseillais
dans une interview à La Provence. le 16e du classementA Marseille, il suffit de battre
le 16e du classement pour bénéficier d’une double prime. Dimanche à Nancy, le président Dassier s’est montré généreux dans le vestiaire, ce qui a choqué une partie des supporters marseillais, vu le pedigree de l’adversaire. «Si l’on s’étonne de ça, c’est qu’on ne comprend pas grand-chose. Beaucoup s’en offusquent? C’est leur problème», répond le président marseillais
dans une interview à La Provence. dans une interview à La Provence.Il explique même qu’une renégociation devrait être envisagée en vu des trois prochains matchs de championnat, jugés cruciaux (Lille, Rennes, PSG). «On va même aller plus loin encore! Avec Antoine (Veyrat), on va voir comment on peut bâtir un système de récompenses. Si les supporters ne le comprennent pas, je le regrette. Mais pour autant, je ne vais pas changer ce que je considère comme parfaitement naturel et normal.»
Une forme d’encouragement pour Dassier
Pour Jean-Claude Dassier, il n’y a pas matière à s’indigner. Si les supporters exigent des résultats, il faut que les joueurs olympiens soient récompensés (2.500 euros la prime simple). En clair, sans une belle carotte, pas de miracle sur le terrain. «Il faut savoir ce qu’on veut dans la vie et être un peu cohérent, enchaîne Dassier. Cette décision a évidemment fait plaisir aux joueurs. Ce n’est même pas une question d’argent, car par rapport aux salaires, il s’agit de sommes modestes. Il faut considérer ce geste comme un signe de solidarité forte et d’encouragement.»
Pourtant,
mercredi dernier dans Le Parisien, Vincent Labrune, le président du conseil de surveillance de l'OM avait demandé à ce que le train de vie du club soit réduit. «L’actionnaire prendra ses
responsabilités, on sera là, en espérant
que tout le monde fasse des efforts», indiquait Labrune. Jean-Claude Dassier n'a peut être pas tout saisi.
mercredi dernier dans Le ParisienPourtant,
mercredi dernier dans Le Parisien, Vincent Labrune, le président du conseil de surveillance de l'OM avait demandé à ce que le train de vie du club soit réduit. «L’actionnaire prendra ses
responsabilités, on sera là, en espérant
que tout le monde fasse des efforts», indiquait Labrune. Jean-Claude Dassier n'a peut être pas tout saisi.
Pourtant,
mercredi dernier dans Le Parisien, Vincent Labrune, le président du conseil de surveillance de l'OM avait demandé à ce que le train de vie du club soit réduit. «L’actionnaire prendra ses
responsabilités, on sera là, en espérant
que tout le monde fasse des efforts», indiquait Labrune. Jean-Claude Dassier n'a peut être pas tout saisi.
Pourtant,
mercredi dernier dans Le Parisien, Vincent Labrune, le président du conseil de surveillance de l'OM avait demandé à ce que le train de vie du club soit réduit. «L’actionnaire prendra ses
responsabilités, on sera là, en espérant
que tout le monde fasse des efforts», indiquait Labrune. Jean-Claude Dassier n'a peut être pas tout saisi.