Terminé
Revivez en direct l'intervention de Nicolas Sarkozy à la télévision
Il a présenté la feuille de route du nouveau gouvernement...© 2010 AFP, C.C. pour le live
Ce live est désormais terminé, merci de l'avoir suivi sur 20minutes.fr.
21h41
"Nul n'est indispensable, ni dans votre métier, ni dans le mien" , indique Nicolas Sarkozy, David Pujadas le "sait bien". Pour finir, pas d'alliance possible avec le Front national, jamais. David Pujadas clôt le débat, c'est terminé.
21h39
Nicolas Sarkozy prend son air grave sur ce genre de sujet... il adoucit sa voix... "Le pouvoir change votre vision de la vie, du monde, du pouvoir", dit encore le chef de l'Etat. Mais avant que l'émotion ne l'emporte, David Pujadas évoque les rivalités au sein de l'UMP.
21h35
Sans transition, Nicolas Sarkozy parle de la justice, puis logement et urbanisme... Cela n'intéresse pas les trois intervieweurs qui l'interrogent sur sa relation au pouvoir. Des moments de découragement? "Oui, parfois, mais j'ai une famille qui me soutient, une femme d'une intelligence..." , répond le chef de l'Etat qui vient "moins influençable" sur les grands sujets.
21h33
Michel Denisot interroge alors le chef de l'Etat sur la présidentielle. Il n'a pas encore pris sa décision, ce sera pour l'automne 2011. Puis, cette candidature, ce n'est rien par rapport à l'attente des Français.
21h29
La spéculation sur les matières premières, le chef de l'Etat déteste cela. Il a à ce sujet une pensée pour les agriculteurs français. Nicolas Sarkozy va parler de ces sujets mercredi avec Nicolas Sarkozy qu'il loue. "C'était mon candidat au FMI", indique-t-il. Ainsi, les journalistes l'agrippent sur sa relation avec DSK, possible candidat socialiste à la présidentielle. Nicolas Sarkozy répond du tac au tac, il a beaucoup d'estime pour lui, il a bien géré la crise internationale. 2012, c'est encore loin...
21h27
Passons au G20. "La question, c'est d'obtenir des résultats", explique Nicolas Sarkozy. "Il faut un nouveau système monétaire international ", ajoute-t-il. "L'échec de l'Afrique sera le drame de l'Europe" , poursuit-il, indiquant qu'il faut encourager le développement du continent africain.
21h25
On termine le chapitre économique avec le chômage. Les jeunes seront les premiers bénéficiaires des prochaines mesures. "On peut s'en sortir, il n'y a pas de fatalité" , selon Nicolas Sarkozy.
21h23
Et le déficit? On réduira les dépenses publiques, mais on n'augmentera pas les impôts, explique Nicolas Sarkozy qui ne se sent pas responsable du déficit français qui existe depuis 1974.
21h20
David Pujadas est finalement le plus vif des trois intervieweurs de la soirée, comme pour effacer sa prestation critiquée de juillet. Revenons au bouclier fiscal, ce "boulet politique". Nicolas Sarkozy essaye "de faire le mieux" pour le pays. "Il faut bien que j'apporte des réponses", martèle-t-il. La présidentielle de 2012 ne le fera pas changer de cap. "Vous voulez que je reste tranquillement dans mon bureau?", interroge-t-il.
21h17
Mais le chef de l'Etat ne fait que comparer la France à l'Allemagne, se justifiant ainsi. Oui, car l'Allemagne a supprimé son bouclier fiscal et ainsi, l'impôt sur le revenu a augmenté. Et les cas à la Liliane Bettencourt? Encore un sujet que Nicolas Sarkozy n'apprécie pas, il fait des gestes d'écartement avec son bras. "Elle serait partie en Suisse", selon lui et ce n'est pas dans l'intérêt de la France. Mais de toute manière, c'est un mauvais exemple selon le chef de l'Etat et les journalistes n'ont rien compris à son cas.
21h14
Petite toux pour le chef de l'Etat avant de parler de la réforme fiscale. "J'essaye de donner une feuille de route précise", explique-t-il justifiant sa mise en perspective, "si vous me permettez monsieur Pujadas". Nicolas Sarkozy parle d'autres pays, de la Chine, de l'Inde, la compétitivité internationale... puis de l'Allemagne, cité en exemple, mais "nous n'allons pas tout faire comme l'Allemagne", s'amuse-t-il.
21h12
Nicolas Sarkozy ne donnera pas de solutions sur le sujet ce mardi soir. "On m'accuse d'aller trop vite", se justifie-t-il, habile.
21h09
Parlons des réformes. Pujadas lance Denisot qui interroge Nicolas Sarkozy sur la dépendance, prochain grand chantier du gouvernement. Pour une fois, les faits donnés par le journaliste dans sa question sont "exacts". "Je souhaite la création, pour la première fois, d'une nouvelle branche de la sécurité sociale", indique le chef de l'Etat.
21h07
Nicolas Sarkozy prend un ton solennel. Les choses sont un peu meilleures pour les journalistes en Afghanistan, mais pour les autres, il ne pipe mot. La France ne bougera pas "d'un iota" sa politique.
21h05
Pas de scandale ni problème avec la justice avec Nicolas Sarkozy, jamais. Et les ordinateurs volés? "Vous m'accusez de les avoir volés", interroge le chef de l'Etat. David Pujadas est pugnace sur le sujet, ça s'envenime, mais Claire Chazal coupe à nouveau le sujet en demandant des nouvelles des otages français dans le monde.
21h02
Michel Denisot intervient enfin. Il parle des écoutes de journalistes qui ont fait également couler beaucoup d'encre. "Jamais, à aucun moment, à aucune façon" il n'y a eu des écoutes selon Nicolas Sarkozy qui est légèrement énervé pour le coup. Parce que le seul chef de l'Etat à avoir agi ainsi, c'était François Mitterrand et il était "de gauche". "Cela ne sert à rien", renchérit Nicolas Sarkozy qui coupe court aux insistances de David Pujadas, peu après avoir fait taire Michel Denisot d'un geste de la main.
20h58
"Pas de stigmatisation" des Roms pour le chef de l'Etat. Mais si les Roms sont des camps illégaux, il faut les ramener en Roumanie, dit-il. Une dame a fait une déclaration blessante pour lui et pour les personnes juives. Il s'agit de Viviane Reding, mais il ne la cite pas. Puis Nicolas Sarkozy a "vu le pape". Du coup, il se met à parler en latin...
20h56
Michel Denisot est toujours muet depuis sa première question ou presque. David Pujadas enchaîne avec les Roms et Grenoble. Nicolas Sarkozy résume les faits, racontés dans les JT, insiste-t-il. Ce fut une tempête médiatique selon lui. Il fallait donc réagir. Puis, "il n'y a aucune outrance dans le discours de Grenoble".
20h53